lecture EN
relationnalité ET. ...
MOI E
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XXX
"Mais il va
encore bien au-delà en commençant là où tous s'arrêtent,
inconsciemment ou non, affolés devant le néant qui menace l'horizon de
l'incroyance. Ce que le recours à des abstractions comme l'Histoire,
la Nature ou l'Homme... va permettre d'occulter, en payant le prix
fort de la désincarnation.
ET
MON DROIT à
MOI
De toute
façon pour Sade, il n'y a pas d'idées sans corps, pas plus qu'il n'y a
de corps sans idée. D'où son apport considérable pour nous débarrasser
des idées auxquelles recourt la fausse ( hcq : ..bonne
conscience ...?) conscience pour camoufler les
incohérences qui la fondent. ....????? ...Philosophie Magazine
...????
Sade ...le désir de souveraineté
de l’individu ...
Clip
Despo
Rutti Legitime Defense EXCLU 2010
... dans le même cellule que SADE ?? ...frappant ???
...n'est ce pas ???...
D'ou l'étrange
téléscopage, de la CEDH (Cour européenne des droits de l'homme)
qui promeut un individu souverain qui présente une parenté indéniable
avec l'homme sadien ....un homme maître de ses
désirs, égoïste et hédoniste.... à
« l'autonomie personnelle » à la «faculté pour chacun de
mener sa vie comme il l'entend »
>>>>>
en
relations
.... .
ENUN ..autocentré ...
narcissisme..... perversité ... hypocrisie ... imagination
...fantasmes....onanisme
...transgression ....EN
TRANCHE . pouvoir/amour ... maître-esclave ... démocratie
représentative..... les casseurs de coques ... quantitatif/qulitatif
... ... ...
la réification de
l'homme modernité ..
guerre secrète ...culture
de vie/de mort
le sens du
combat
|
|
n Sade, un recours contre
l'obscénité
Auteur:
des propos recueillis par Martin Duru auprès de
Annie Le Brun
Source:
philosophie magazine n° 41
Date :
Juillet-Août 2010
.
EXTRAIT
..... p66
En quel sens Sade est-il l'ombre des Lumières?
Sade s'est incontestablement nourri des
philosophes des Lumières, auxquels il ne cesse d'emprunter autant
concernant l'athéisme que les théories matérialistes.
Mais c'est toujours pour en radicaliser le propos,
non seulement dans le but d'en tirer toutes les conséquences mais
aussi de les mettre à l'épreuve du corps. Et alors que les
encyclopédistes se livrent à une sorte de moralisation de
l'athéisme, Sade, lui, renoue avec ; la tradition du premier
libertinage philosophique des les débuts du XVIIe siècle qui ne
dissocie pas la liberté de lapensée de celle des corps."Mais il va
encore bien au-delà en commençant là où tous s'arrêtent,
inconsciemment ou non, affolés devant le néant qui menace l'horizon
de l'incroyance. Ce que le recours à des abstractions comme
l'Histoire, la Nature ou l'Homme... va permettre d'occulter, en
payant le prix fort de la désincarnation.
Ainsi est-il bouleversant de le voir descendre,
avec Les Cent Vingt Journées de Sodome, au plus profond des
ténèbres, jusqu'à l'insoutenable, où le désir surgit indissociable
d'une criminalité première.
Démarche qui en principe, pourrait s'inscrire dans
la réflexion des Lumières sur les passions. À ceci près que les
philosophes ont alors pour seul. souci de les socialiser, alors que
Sade, lui, ne s'intéresse qu'aux passions criminelles et, par
définition, absolument irrécupérables. Ce faisant, il dévoile
au-dessus de quel abîme se développe l'illusion de maîtrise des
Lumières, dès lors qu'on croit pouvoir s'en remettre à la raison
pour dominer le monde extérieur comme le monde intérieur.
Pareillement, dans Français encore un effort..., va-t-il jusqu'à
s'en prendre aux idées neuves de Liberté, d'Égalité et de Fraternité
qui, réduites à n'être que notions abs- » traites, peuvent servir à
couvrir n'importe quelle monstruosité. En ce sens, il n'est pas
indifférent qu'au moment même où s'invente l'idéologie, il établisse
là qu'un crime est un crime, quel qu'en soit le maquillage
idéologique. Car il s'agit pour lui de déjouer l'occultation majeure
sur laquelle reposent les Lumières, celle de l'inhumanité qui est en
nous. Et c'est bien pourquoi les volcans le fascinent tant, c'est
cette violence-là que la pensée doit être en mesure d'affronter et
d'autant qu'il n'en finit pas de montrer que cette même violence
nous habite.
Qu'en est-il de l'actualité de Sade?
Ce n'est nullement le précurseur de
l'ultralibéralisme comme certains le prétendent. En revanche, contre
l'obscurantisme démocratique » qui, pour Marcel Gauchet, nous menace
avec « les mensonges de la foi déguisés en science ou de l'autorité
travestie en liberté » venant s'ajouter à l'obscurantisme
traditionnel, il y a heureusement Sade. Car, le premier, il a su
traquer, au-delà même de toute religion, une religiosité endémique
dont se nourrissent justement les multiples formes de « servitude
volontaire » devenues les modèles d'incohérence politique,
intellectuelle ou culturelle, dans lesquels presque tous se
reconnaissent aujourd'hui. N'en va-t-il pas ainsi de la
diabolisation de la pédophilie qui sert à couvrir le gigantesque
détournement de mineurs avec lequel se confond la prise en otage de
l'enfance par les marques et le racket des jeux vidéo ?
De toute façon pour Sade, il n'y a pas d'idées
sans corps, pas plus qu'il n'y a de corps sans idée. D'où son apport
considérable pour nous débarrasser des idées auxquelles recourt la
fausse conscience pour camoufler les incohérences qui la fondent.
Je pense, par exemple, à la réitération des
diatribes moralisatrices ....
.....
Annie Le Brun
Écrivain, poète et critique, amie d'André Breton, elle a
^participé au mouvement surréaliste jusqu'à sa dissolution en 1969. Elle
a renouvelé la lecture de Sade en lui consacrant plusieurs essais, dont
Soudain, un bloc d'abîme, Sade (« Folio », Gallimard, repris dans
la collection « Tel » avec Les Châteaux de la subversion, à paraître) et
On n'enchaîne pas les volcans (Gallimard, ). Dans son dernier
ouvrage. Si rien avait une forme, ce serait cela (Gallimard),
elle se réfère à nouveau au Marquis comme à l'un de ces «morceaux
d'espoir» [avec Novalis ou Jarry), à l'heure où le monde court, selon
elle, à sa catastrophe.
l'homme sadien,
souverain
dans son droit
même revue page 75
Bernard Edelman
Bernard Edelman,
docteur en droit, avocat et philosophe, auteur notamment du Sacre de
fauteur
(Seuil, 2004),
a récemment publié un article intitulé « Naissance de l'homme sadien »
(dans la revue
Droits, PUF, 2009) et Ni chose ni personne. Le corps humain en question
(Hermann, 2009).
J'étudie depuis des années la jurisprudence de la
Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) et je m'interroge sur
le type d'homme qu'elle construit par se arrêts. Or étrange
téléscopage, la CEDH promeut un individu souverain qui présente une
parenté indéniable avec l'homme sadien ! Dans Français,
encore un effort si vous voulez être républicains , Sade
critique les droits de l'homme en les prenant au pied de la lettre.
Pour dénoncer leur abstraction, il raisonne par l'absurde : si
l'égalité est un principe fondamental, alors il faut légaliser le
vol, car il permet d'« égaliser les richesses »... Sade considère
également que la loi ne doit pas briser les passions humaines. Le
droit doit être perpétuellement transgressé par un homme maître de
ses désirs, égoïste et hédoniste. À partir du milieu des années
1980, la CEDH a rendu plusieurs arrêts sadiens, qui vont dans le
même sens :
l'État n'a pas à s'ingérer dans la sphère privée des
individus, à juger de leurs conduites, des usages qu'ils font de
leur corps. Ils disposent de ce que la CEDH appelle « l'autonomie
personnelle », soit la «faculté pour chacun de mener
sa vie comme il l'entend » (arrêt Pretty c/Royaume-Uni,
2002). Par exemple, la CEDH a jugé non conforme à sa jurisprudence
la décision d'une juridiction belge qui avait condamné un magistrat
se prêtant à des séances filmées de sadomasochisme. ; Le souci des
bonnes mœurs s'arrête là où commence la liberté du sujet privé. En
France, la Cour de cassation a admis en 2004 qu'un homme marié
pouvait verser une donation à sa maîtresse, et donc reconnu
juridiquement la double vie. Bien sûr, je ne dis pas que les
magistrats européens et français ; s'inspirent explicitement de Sade
! Mais le nouvel homme des droits de l'homme, fabriqué par la
jurisprudence, est un être charnel, souverain dans ses affects et
ses plaisirs. Cette \ évolution donne une actualité singulière au
Marquis. »
culture de mort ...ou anti-culture
de la vie ?
d'holocaustes en
holocaustes....
http://www.americatho.org/evangile-de-la-vie/le-temoignage-bouleversant-d%E2%80%99une-americaine-
rescapee-d%E2%80%99un-avortement
Ultime holocauste
Un rabbin parle du
militantisme homosexuel
Le mal ultime consisterait à prendre un juif, ou n’importe
qui d’autre, et d’essayer de le détruire spirituellement. C’est cela
qui serait l’ultime holocauste. »
Humour en autocentré ?
par
Frédéric Dard
« Les moyens termes sont toujours des moyens
ternes. »
«
Mon Dieu, que votre volonté soit
fête ! »
« N’hésitez jamais à priver vos mômes de dessert,
surtout s’il n’y en a pas beaucoup et que vous l’aimez ! »
«
Ah ! Si les hommes voulaient
s’aider ! Ah ! Si les femmes voulaient céder ! »
« Le futur n’est autre que du présent qui se
précipite à notre rencontre. »
«
Le cercle n’est qu’une ligne
droite revenue à son point de départ. »
« Si vous n’attendez pas tout de la vie, vous
n’aurez rien ! »
«
Quand je pense à tout ce que
Dieu m’a fait ! À commencer par moi. »
« L’honneur, c’est comme les coquilles
Saint-Jacques : bien lavé, ça ressert. »
« Certaines gens ont tellement honte
d’emprunter qu’ils n’osent pas rendre. »
(Tirées du site : Evene fr
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via le site ...
http://maykan.wordpress.com/2010/06/30/ephemerides-2/#comments
...vaut la visite
20 novembre 2012
la pornographie,
c’est le mal.... ..... la pornographie ne
relève pas de la liberté d’expression mais qu’elle empêche au contraire
de penser et de s’exprimer ...« On asservit les peuples
plus facilement avec la pornographie qu’avec des miradors »
29 novembre 2012
Bébés achevés après un avortement raté ?
Entre l'année 2000 et l'année 2009, 491 bébés sont nés
vivants après un avortement raté.
Il semble que ces bébés sont morts sans assistance médicale.
Les militants pro-vie réclament une enquête pour savoir si parmi
ces morts ne seraient pas des homicides.
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