..

       Auteur:   Ja

Source:  différents textes trouvés à  l'occasion de l'exposition de Sade au Musée d'Orsay fin 2014

Dossier panorama : Elans du JE

Date page: 12.11.12

Sade ...le désir de souveraineté de l’individu ..

.suite de...  >>>>>

 

SADE ... ESSAIME ...

trouvé sur internet ..via le Figaro

http://www.lemonde.fr/culture/visuel/2014/11/08/sade-essaime_4519532_3246.html#ancre0

 

Il y a deux siècles, en 1814, à 74 ans, mourait le Marquis de Sade, météore noir de la littérature française, sans doute l’auteur le plus sexuel et le plus blasphématoire jamais publié – quand il l’a été.

« Sade » un nom qui inquiète dans le monde entier, rattaché à une perversion cruelle du désir, mais d’abord celui de l’auteur des Cent Vingt journées de Sodome (1785) et de Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice (1801), des romans libertins extrêmes, scandés d’orgies et d’appels philosophiques à rejeter toutes entraves, illustrés en leur temps de gravures pornographiques qui dépassent souvent en invention le X contemporain.

Donatien Alphonse François de Sade, surnommé « le divin marquis », aux livres interdits jusque dans les années 1950, qui a passé 27 années de sa vie en prison pour des outrages au mœurs et des relations violentes avec des prostituées, à la fois romancier et homme de théâtre prolifique, philosophe athée radical - il disait adorer « insulter Dieu » quand il foutait - le narrateur enthousiaste et méthodique de centaines de vices sexuels, jusqu’aux plus cruels, aux plus criminels, si bien qu’on le dit le précurseur de la psychopathologie et la psychanalyse, mais aussi le peintre effrayant, certains disent complaisant, de la férocité humaine - lui qui conservait dans ses récits débridés un humour permanent.

Sade, un classique du mal ...

Si Sade a été longtemps interdit, marginalisé et ixé, les expositions, les études historiques et les rééditions associées au bicentenaire de sa mort nous montrent la place noire, détestée et unique qu’il occupe dans la pensée et la littérature française. La bibliothèque de la Pléiade publie cet automne Justine et autres romans, un ouvrage relié pleine peau sous coffret illustré. La Philosophie dans le boudoir est publiée sous étui, en édition limitée, augmenté des gravures orgiaques de l'édition originale. Une exposition Sade-Marquis de l’ombre, prince des Lumières, présentée à l’Institut des Lettres et Manuscrits de Paris jusqu’au 18 janvier 2015 (où l’on peut voir le rouleau manuscrit des Cent vingt journées) montre son influence souterraine sur la littérature de mœurs du XIXe et du XXe siècle, qu’il déniaise et fait passer du libertinage galant à une pornographie assumée et réfléchie.

Une vaste exposition lui est encore consacrée au Musée d’Orsay jusqu’en mars, Attaquer le soleil, qui révèle combien la vision sadienne de l’homme, absolument incorrecte, sexuelle et violente, tout comme sa mise en scène crue et extrême des désirs a influencé en sous-main la représentation du corps, de l’érotisme et de la guerre dans les arts graphiques du XIXe siècle. Avant de séduire les surréalistes, apôtres du désir, jusqu’aux cinéastes et aux photographes des années 30 et d’après guerre qui se sont affranchis de la censure.

Sade l’écrivain maudit semble être devenu le « classique du mal » par excellence.

Sade philosophe... en quoi il nous concerne aujourd'hui ...

Avec toutes ces expositions, ces rééditions, ces commentaires n’assiste-t-on pas à une tentative de neutraliser et banaliser Sade ?

Annie Le Brun : L’extraordinaire chez Sade est qu’avant Nietzsche, avant la psychanalyse, il mette la pensée à l’épreuve du corps. Il met vraiment la philosophie « dans le boudoir » (ndlr, là où au XVIIIe les femmes s’isolent et rencontrent les hommes). Il nous révèle que l’exercice de la pensée n’est pas une activité abstraite, mais qu’elle est déterminée par les mouvements des désirs et que sa source est avant tout pulsionnelle. C’est la phrase fameuse dans Histoire de Juliette : «On déclame contre les passions sans songer que c’est à leur flambeau que la philosophie allume le sien».

Les héros de Sade ne pensent jamais « à froid », ils discutent vivement, y prennent du plaisir, il y a chez eux un constant «échauffement» de l’esprit. Le dialogue montre la montée du trouble dans la pensée, au cours d’une continuelle surenchère de l’imagination érotique sur le raisonnement. D’ailleurs Juliette, l’héroïne favorite de Sade, le dit bien : « Ma pensée est prompte à s’échauffer », révélant comment la pensée se met en mouvement. Sade est le premier à nous dire cela, et plus encore, à nous le faire ressentir. C’est un projet sans équivalent dans l’histoire de la pensée.

Vous parlez d’un « cogito » sadien, fondé sur la prééminence du corps et des passions sur la raison, qui nous précipite dans la modernité ?

Annie Le Brun : Dès 1782, il s’oppose en effet à Descartes : « Je pense, donc je suis. Cette idée, dit cet auteur, n’a aucun son, aucune couleur, aucune odeur, etc ., donc elle n’est pas l’ouvrage des sens. Peut-on s’astreindre aussi servilement à la poussière de l’école ? », pour conclure : « Point de sens, point d’idées ». Pour lui, la pensée est toujours incarnée, Il nous montre que le corps désirant travaille et sape toujours la raison, les beaux discours, la morale, et qu’en revanche une pensée est à l’œuvre qui nourrit les désirs, incite à les poursuivre sans jamais y renoncer, quel qu’en soit l’excès, jusqu’au crime parfois. Car il y a pour Sade une criminalité inhérente au désir, comme il l’affirme dans La philosophie dans le boudoir : «Il n’est point d’homme qui ne veuille être despote quand il bande.» Voilà ce qu’on ne peut lui pardonner.

 Sade ..précurseur de la psychopathologie sexuelle

Les Cent vingt journées de Sodome, écrits à la Bastille en 1785, consistent en un catalogue délirant de perversions de toutes sortes – la psychanalyse est déjà là, qui va parler de « sadisme » ?

Annie Le Brun : Sade y décrit six cents passions, des « passions simples », « doubles »,« criminelles » et « meurtrières », ce qui a fait dire à Maurice Heine, son éditeur dans les années 1930, que Sade est « l’homme à qui revient l’initiative de l’observation méthodique et de la description systématique » des perversions sexuelles.

Seulement, à la différence des descriptions qu’en fait le psychiatre austro-hongrois von Krafft-Ebing dans sa Psychopathia Sexualis, Sade nous les montre en action, il les incarne dans des personnages assumant leurs vices, tenant des propos scandaleux. Il les accompagne dans leur vertige et le pire est qu’il nous entraîne. Georges Bataille l’a bien vu, quand il rappelle qu’on ne saurait lire Les Cent Vingt Journées de Sodome sans une sorte d’« énervement sensuel » qui réveille en nous des pulsions enfouies.

D’autant que dans cette perspective Sade a continuellement conscience qu’il replace l’homme au milieu des forces qui régissent l’univers, le faisant participer d’une nature violente, sexuée et immorale, qu’il lui importe en même temps d’excéder, en ce qu’elle constitue un défi pour la pensée.

Sade ..athée radical ....

Toute sa vie, Sade montre résolument matérialiste et ne cesse de blasphémer. N’est-il pas le plus radicalement athée de tous les libertins de son temps ?

Annie Le Brun : Sade a lu les matérialistes et les athées du XVIIIe siècle, Nicolas Fréret, La Mettrie, Diderot, Helvétius, le baron d’Holbach, qui, en quelques décennies, ont bouleversé la pensée européenne et voulu libérer l’homme des entraves religieuses et politiques. Les personnages de ses romans les citent, ou plus souvent les détournent. S’appuyant sur eux, il ne rate jamais une occasion de démontrer l’inexistence de Dieu, comme une gymnastique nécessaire à la santé de l’esprit.

Et si Sade rejoint là le Don Juan de Molière et les penseurs des Lumières, il se propose en même temps d’éradiquer en l’homme le besoin de croire, d’instaurer une transcendance, à l’origine de toutes les formes de servitude volontaire. En cela, il va plus loin que tous les autres. Il ne lui suffit pas de rejeter Dieu, mais il en tire les conséquences, en opposant la notion de souveraineté à toute loi divine ou politique susceptible de limiter les passions, et du même coup d’attenter à la singularité de chacun.

Sade républicain, l'individualiste..peintre des ravages de l'impunité- ou défenseur des crimes de le liberté ?

Le 2 juillet 1789, Sade a rameuté les émeutiers autour de la Bastille en hurlant depuis sa cellule « Ici on égorge les prisonniers ! » et les engageant à brûler la forteresse. Libéré à la Révolution, il s’est opposé à Robespierre, pourquoi ?

Annie Le Brun : Pour lui, qui a passé vingt-sept années en prison, soit un tiers de sa vie, une lutte continuelle est engagée entre le désir de souveraineté de l’individu, les lois de la société et les préjugés moraux ou politiques. Cette affirmation sauvage est bouleversante parce qu’elle advient au moment où la Révolution et Robespierre célèbrent le culte de l’Etre suprême, s’installent dans le mensonge idéologique que Sade dénonce avec force dans «Français, encore un effort si vous voulez être Républicains», cinquième dialogue de La Philosophie dans le boudoir. En cela, il annonce les grands enjeux de la modernité…

De son vivant, Sade a dénoncé les massacres des guerres de religion et l’Inquisition, il s’est opposé à la guillotine. Face à Robespierre qui, en principe opposé à la peine de mort, va la justifier pour des raisons idéologiques, c’est paradoxalement Sade qui est moral, refusant une fois pour toutes que la fin justifie les moyens. Son « malheur », comme il le dit encore, est « d’avoir reçu une âme ferme qui n’a jamais su plier et qui ne pliera jamais ».

A penser comme un de ses héros libertins que la philosophie « n’est point l’art de consoler les faibles » et qu’« elle n’a d’autre but que de donner de la justesse à l’esprit et d’en déraciner les préjugés », Sade est encore moral.

Défendant un individu libre, souverain et jouisseur, certains ont dit que Sade vouait un culte maladif à des aristocrates despotiques. Ou encore qu’il était un individualiste ultra-libéral et égotique avant l’heure. Qu’en dites-vous ?

Annie Le Brun : En faire le premier penseur ultralibéral, une sorte de libertaire libertin épanoui, est sans objet. Sade sait combien la liberté est dangereuse et l’homme souverain inquiétant. Il est un des très rares écrivains, peut-être le seul, à mettre la nature humaine à nu. Il peint des personnages libérant toute la violence de la passion sexuelle, l’exerçant au détriment des autres, parfois jusqu’à une cruauté sans pareille. Mais, là où il nous inquiète le plus, c’est en nous rappelant que ces actes sont monnaie courante dans l’histoire. Ses personnages jouissant de leurs crimes sont de tous les temps.

Dès la première page des Cent vingt journées, il nous prévient qu’il va mettre en scène quelques unes de «ces sangsues toujours à l’affût des calamités publiques qu’ils ont fait naître au lieu d’apaiser, et cela pour être à même d’en profiter avec plus d’avantages.»

Il nous oblige à regarder ses personnages en face, il montre qu’ils nous troublent et qu’ils vivent en nous. C’est pourquoi Sade nous concerne tous. Ses livres nous rappellent combien le vernis de la civilisation est fragile et de quelle nuit inquiétante viennent nos désirs, qui peuvent ressurgir à tout moment. Regardez ce qui s’est passé tout près d’ici, dans l’ex-Yougoslavie, au cours des années 1990, tous ces massacres, ces femmes enlevées, ces viols… sans parler de ce qui se produit aujourd’hui (ndlr, les décapitations, les tortures et les viols de l’Etat islamique) que beaucoup se complaisent à regarder sur Internet.

 

Sade, écrivain du désir et de l'excès ..

Si le Baudelaire des «Les Fleurs du Mal» doit beaucoup à Sade, nombreux sont les écrivains qui ont été transformés par lui…

Annie Le Brun : Si l’influence de la pensée de Sade dans les profondeurs du XIXe siècle a été reconnue pour décisive en ce qui concerne la littérature, que ce soit chez Baudelaire, Flaubert, Barbey d’Aurevilly, Huysmans, Apollinaire, Lautréamont, on ne l’a pas perçue en tant que telle dans la peinture de l’époque. Ensuite, au début du XXe siècle, le grand passeur de Sade est Apollinaire. Son roman Les onze mille verges (1907) ne sont pas la plaisanterie à laquelle on a voulu les réduire, mais un texte dérangeant, inquiétant, sur la férocité du désir…

Quelques années après, c’est par Apollinaire que Breton, Soupault, Aragon accèdent à Sade. Un peu plus tard, Robert Desnos publie De l'érotisme. Considéré dans ses manifestations écrites et du point de vue de l'esprit moderne (1923) où il explique qu’il y a un avant et après-Sade dans l’écriture de l’érotisme, la revue Révolution surréaliste ouvre une rubrique intitulée «Actualité du marquis de Sade», Georges Bataille donne un texte érotique sous influence sadienne, L’histoire de l’œil (1928), et les manifestes de Breton incitent l’homme à aller au bout de ses désirs et de ses rêves. C’est dire l’influence de Sade à cette époque…

Sade, travaille souterrainement du corps et du désir ..dans la peinture du XIXe ..

De quelle manière l’œuvre de Sade interpelle-t-elle les peintres du XIXe ?

Annie Le Brun : Suite à la montée de l’incroyance, les cadres de pensée comme les normes de la représentation étant en train de s’écrouler, les questions qu’il posent autour de l’irreprésentable violence du désir sont celles qui inquiètent alors la peinture. Dans son journal, Delacroix parle de « ce fond tout noir à contenter ». Très proche de Baudelaire, il a vraisemblablement lu Sade. Ne l’aurait-il pas fait, la rencontre est telle qu’à considérer, par exemple, l’étude pour La mort de Sardanapale qu’on a la chance d’avoir obtenu du Louvre, on peut se demander si ce n’est pas une illustration des Cent vingt journées de Sodome, alors que le texte en reste inconnu jusqu’au début du XXe siècle.

Ainsi Degas, avec Scène de guerre au Moyen Age (1863-1865) qui représente une chasse aux femmes, où l’une est poursuivie à cheval, les autres abattues ou tuées à coups de flèches, rend compte d’une violence qui va le conduire à réinventer le nu. C’est sans doute pourquoi Degas se rendra dans les bordels parisiens pour y saisir sur ses monotypes la sauvagerie des corps dénudés échappant aux attitudes codées. De son côté, Ingres peint des corps de plus en plus érotisés, comme en témoigne le chemin parcouru entre la première version de Roger délivrant Angélique (1819) et Le Bain Turc (1862). Sans parler de Courbet et de la violence qui est à l’œuvre dans L’Origine du monde (1866) ; violence plus grande encore qu’on retrouvera dans la première période de Cézanne…

Sade...Picasso et les surréalistes ...

N’est-ce pas au début du XXe siècle, avec Picasso, les peintres surréalistes, que Sade est officiellement reconnu comme un auteur majeur ?

Annie Le Brun : Sans aucun doute, mais c’est l’histoire d’un grand décentrement, au cours duquel le désir va devenir le sujet de la peinture. A cette époque, l’image du corps va être bouleversée de l’intérieur, comme en témoigneront violemment le Félicien Rops, Edward Munch, André Masson ou Alfred Kubin, se rapprochant d’une expression longtemps tenue dans les marges des curiosa ou de la folie (d’ailleurs évoquées dans l’exposition), pour rejoindre ainsi la pensée nue de Sade qui n’admet aucun des présupposés religieux, idéologiques ou sociaux.`

En fait, c’est une histoire souterraine qui, partant de La Philosophie dans le boudoir, aboutit aux Demoiselles d’Avignon (1907) – dont le titre de départ est Le Bordel philosophique. Et non sans raison, puisque, avec ce tableau, Picasso, d’une certaine façon, en arrive à mettre la peinture dans le boudoir, avant que le surréalisme ne reconnaisse le désir comme le grand inventeur de formes…

Sade...la photo, le cinéma, l'érotisme et la pornographie ...

La photo, le cinéma, le film X et d’horreur, les nouveaux arts du siècle ont aussi été touchés. Il devient difficile, après la lecture de Sade, de censurer la mise en scène crue, troublante ou effrayante du désir ?

Annie Le Brun : De nombreuses photos de Man Ray, d’Henri Cartier-Bresson, des cartes postales érotiques mises en scène, des photomontages de Jindrich Heisler, de Hans Bellmer, autant d’œuvres dont Sade semble être le foyer lointain, et qui bousculent les représentations connues de la sexualité. Dans le cycle « Sade au cinéma », nous présentons L’Age d’or (1930), de Luis Buñuel, Salo ou Les Cent Vingt Journées de Sodome (1975), de Pasolini, ou encore L’Empire des sens (1976), de Nagisa Oshima, le premier film non pornographique à montrer de véritables scènes sexuelles et toute l’intensité sinon la férocité du désir féminin.

Comment ne pas penser à la Juliette de Sade, dont on a dit qu’elle était la première femme sexuellement libre ?

La Juliette de Sade est un personnage extraordinaire, dans lequel je crois que Sade s’est beaucoup projeté, et son coup de génie est d’avoir choisi une femme pour incarner cette liberté radicale. Dans ce roman, la femme et l’homme se retrouvent à égalité dans la liberté, l’ambition, la perversion et le crime. Tous les rôles traditionnels de la femme sont balayés par Juliette elle-même, qui invente jour après jour sa singularité pour aller chercher en elle, au cours de sortes de rêveries érotiques, ce qu’elle désire vraiment.

Pour Apollinaire, Juliette représente « la femme nouvelle » que Sade entrevoyait, un être, dit-il dans une formule un peu angélique, «dont on n’a pas encore idée, qui se dégage de l’humanité, qui aura des ailes et qui renouvellera l’univers». Ce n’est pas le moindre des paradoxes que Sade, qui décrit si souvent des femmes maltraitées, ait imaginé un personnage de femme radicalement libre qui proclame : « Le passé m’indiffère, le présent m’électrise, je crains peu l’avenir. » Tout est dit.

 

Sade ... La part d'ombre des lumières

Extrait de "Philosophie Magazine" du mois de décembre 2014 N°85

 

 

 

 

EN RELATION ....

 

Vidéo ....Un concours de beautés ukrainiennes pour lever des fonds pour soutenir l'armée ... voir le site également ..bien d'autres vue sur ce désir de souveraineté .de l'individu .. ... détente ... .... Elle, la future première dame de France ?...etc ...

 

>>>>>

 

Vidéo ... Derrière la débauche, la vérité ... hcq : ...de l'ËTre " Homme", de l'animus du mâle ..." dont l'aliment principal est le foutre" Sade

 

PAGE DE REFERENCE

SADE ... souverain en MON droit...SOUMETTRE ...

 

haut de page

nombre de consultation de cette page depuis sa création : Pages trouvées

 

... en France ..en Europe ...

...L'amour s'est en effet "refroidi »  ... la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

Loin que ce soit être qui illustre la relation , c'est la relation qui illumine l'être.     Gaston Bachelard

Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

  Â JE NOUS  

 

ÔùVrÔir