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EXTRAITS
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Conscience-Force, Conscience-Joie
En découvrant la conscience ( hcq : l'esprit
d'amour comm-Union EN la vérité >>>..) , nous avons découvert que c'était une
force. Le fait remarquable, même, est que l'on commence par percevoir un
courant ou une force intérieure, avant de s'apercevoir que c'est une
conscience. La conscience est une force, conscience-force dit Sri
Aurobindo, car, en vérité, les deux termes sont inséparables et
convertibles l'un en l'autre. La sagesse ancienne de l'Inde connaissait
bien ce fait et ne parlait jamais de conscience, Chit, sans y adjoindre le
terme Agni, chaleur, flamme, énergie, Chit-Agni (parfois, elle emploie
aussi le mot Tapas, qui est synonyme d'Agni : Chit-Tapas). Le mot sanscrit
qui désigne les diverses disciplines spirituelles ou yoguiques est tapasyâ,
c'est-à-dire ce qui produit de la chaleur ou de l'énergie, ou plus
exactement de la conscience-chaleur ou de la conscience-énergie. Et cet
Agni, ou Chit-Agni, est le même partout. Nous parlons de Force descendante
ou de Force ascendante, ou de force intérieure, ou nous disons la force mentale, la force vitale, la force
matérielle, mais il n'y a pas trente-six forces - il n'y a qu'une Force au
monde, un seul courant unique qui passe en nous
( hcq ..et.ENtre Nous f-h ...) et en toute chose, et qui,
suivant le niveau auquel il opère, se revêt d'une substance ou d'une
autre. Notre courant électrique peut éclairer un tabernacle
( ... ou une chambre à coucher ...)ou un bouge,
une salle d'étude, un réfectoire ( ...un repas en
famille... ), et il ne cesse pas d'être le même
courant, encore qu'il éclaire des objets différents. De même, cette Force
ou cette Chaleur, Agni, ne cesse pas d'être la même, qu'elle anime ou
éclaire notre retraite intérieure, notre usine mentale, notre théâtre
vital ou notre antre matériel; de niveau en niveau elle se revêt d'une
lumière plus ou moins intense et de vibrations plus ou moins lourdes - supraconscientes, mentales, vitales, matérielles - mais
c'est elle qui
relie tout, anime tout; elle, la substance fondamentale de l'univers : Conscience-Force, Chit-Agni.
...( ...l'Esprit-d'amour-EN-la-vérité-EN-l'UNi-vers ...)
S'il est vrai que la conscience est une force, inversement la force est une conscience et toutes les forces sont conscientes9.
La
Force universelle est une Conscience universelle. C'est ce que découvre le
chercheur. Quand il a pris contact avec ce courant de conscience-force en
lui, il peut se brancher sur n'importe quel niveau de l'universelle
réalité, n'importe quel point et percevoir, comprendre la conscience qui
est là, ou même agir sur elle, parce que c'est partout le même courant de
conscience avec des modalités vibratoires différentes, dans la plante et
dans les réflexions du mental humain ( ... du couple
...), dans le supraconscient lumineux et
dans l'instinct de la bête, dans le métal ou dans nos méditations
profondes. Si le morceau de bois était inconscient, le yogi n'aurait pas
le pouvoir de le déplacer par sa concentration, parce qu'il n'aurait aucun
point de contact avec lui. Si un seul point de l'univers était totalement
inconscient, l'univers entier serait totalement inconscient, parce qu'il
ne peut pas y avoir deux choses. Einstein nous a appris, et c'est vraiment
la grande découverte, que Matière et Énergie sont convertibles l'un en l'autre :
E=mc2,.la Matière est de l'Énergie condensée
( ...du deux procède l'Un dont l'ENfant...en l'UNivers
qui nous est pré-donné ...). Il nous reste à découvrir
pratiquement que cette Énergie ou cette Force est une Conscience, et que
la Matière, elle aussi, est une forme de conscience, comme le Mental est
une forme de conscience, comme le Vital ou le Supraconscient sont d'autres
formes de conscience. Quand nous aurons trouvé ce Secret, la conscience
dans la force, nous aurons la vraie maîtrise des énergies matérielles -
une maîtrise directe. Mais nous ne faisons que redécouvrir de très
anciennes vérités ; il y a quatre mille ans, les Upanishads savaient déjà
que la Matière est de l'Énergie condensée, ou, plutôt, de la
Conscience-Énergie condensée : « Par l'énergie de sa conscience*, Brahman
s'est massé; de cela la Matière est née, et de la Matière, la Vie, le
Mental et les mondes » (Mundaka Upanishad, 1.1.8).
Et tout est Conscience ici-bas, parce que tout est l'Être ou Esprit.
Tout est Chit, parce que tout est Sat - Sat-Chit - à divers niveaux de Sa
propre manifestation. L'histoire de notre évolution terrestre, finalement,
est l'histoire d'une lente conversion de la Force en Conscience, ou, plus
exactement, un lent rappel à la mémoire de soi, de cette Conscience
engloutie dans sa Force' Aux premiers stades de l'évolution, la conscience
de l'atome, par exemple, est absorbée dans son tourbillonnement, comme la
conscience de l'artisan est absorbée dans la pièce qu'il façonne,
oublieuse de tout le reste, comme la plante est absorbée dans sa fonction
chlorophyllienne, comme notre propre conscience est absorbée dans un
livre, un désir, oublieuse de tous les autres niveaux de sa propre
réalité. Tout le progrès évolutif, en fin de compte, se mesure à la
capacité de dégagement ou de décrochage de l'élément conscience hors de
son élément force - c'est ce que nous avons appelé l'individualisation de
la conscience.
Au
stade spirituel ou yoguique de notre évolution, la conscience est
totalement dégagée, dégluée de ses tourbillonnements mentaux, vitaux,
physiques et maîtresse d'elle-même, capable de parcourir toute la gamme
des vibrations de conscience, de l'atome à l'Esprit; la Force est devenue
totalement Conscience, elle s'est totalement souvenue de soi. Et se
souvenir de soi, c'est se souvenir de tout, parce que c'est l'Esprit en
nous qui se souvient de l'Esprit partout. Simultanément, à mesure que la
Force recouvre sa Conscience, elle recouvre la maîtrise de sa force et de
toutes les forces; car être conscient, c'est pouvoir. Eatome qui tournoie
ou l'homme qui suit la ronde biologique et qui peine dans son usine
mentale, n'est pas le maître de sa force mentale, vitale ou atomique; il
tourne, il tourne; tandis qu'au stade conscient, nous sommes dégagé et
maître; alors nous vérifions tangiblement que la conscience est une force,
une substance, que l'on peut manipuler comme d'autres manipulent des
oxydes ou des champs électriques : Si l'on commence à percevoir la
conscience intérieure, dit Sri Aurobindo, on peut en faire toutes sortes
de choses : l'envoyer à l'extérieur sous forme de courant de force. tracer
un cercle ou un mur de conscience autour de soi, diriger une idée pour
qu'elle entre dans la tête de quelqu'un en Amérique, etc. 10 Il expliquait
encore : Que cette force puisse avoir des résultats tangibles tant à
l'intérieur qu'à l'extérieur, est le sens même de la conscience yoguique...
Si nous n'avions pas fait des milliers d expériences prouvant que le
Pouvoir dedans ( ..et ..surtout ENtre-deux
...) peut modifier le mental, développer ses
( ...nos ...) capacités, en
ajouter de nouvelles, découvrir de nouvelles strates de conscience,
maîtriser les mouvements du vital, changer le caractère, influencer les
hommes
( ... voir épigénétique
...) et les choses, avoir de l'autorité sur le fonctionnement et l'état
du corps, modifier les événements... nous n'en parlerions pas comme nous
le faisons. En outre, ce n'est pas seulement par ses résultats, mais dans
ses mouvements ( ...dans ses inter-actions ) mêmes que la Force est tangible et concrète. Quand je parle
de « sentir la Force ou le Pouvoir », je ne veux pas dire simplement en
avoir un vague sentiment, mais la sentir concrètement et, par conséquent,
- être capable de la diriger, de la manipuler, de surveiller ses
mouvements, d'être conscient de sa masse et de son intensité, et de même
pour toutes les autres forces qui peuvent s'opposer à elle".
À un stade
ultérieur, nous verrons que la Conscience peut agir sur la Matière et la transfouiler. Cette ultime conversion de la Matière en Conscience, et
peut-être même, un jour, de la Conscience en Matière, est !'objet du yoga
supramental dont nous reparlerons plus tard. Mais il y a bien des degrés
du développement de la conscience-force, depuis le chercheur ou l'aspirant
qui s'éveille tout juste à la poussée dedans, jusqu'au yogi; et même parmi
ceux-ci il y a bien des échelons - c'est ici que la vraie hiérarchie
commence. Il est une ultime équivalence. Non seulement la conscience
est force, non seulement la conscience est être, mais la conscience est
joie, Ânanda - Conscience-joie, Chit-Ânanda. Être conscient,'c' est la
joie. Quand on a dégagé la conscience des mille vibrations mentales,
vitales, physiques qui l'absorbent, on découvre la joie
( ....la vérité de ce qui nous est
pré-donné ...?). Tout l'être est
comme empli d'une masse de force vivante (« comme un pilier bien formé »,
dit le Rig-Véda, V.45.2), cristalline, sans mouvement, sans objet -
conscience pure, force pure, joie pure, parce que c'est la même chose -,
une joie solide, une substance de joie, vaste, paisible, qui semble
n'avoir ni commencement ni fin ni cause, qui semble être partout aussi,
dans les choses, dans les êtres, leur fondation secrète et leur secret
besoin de grandir - personne ne veut quitter la vie, parce qu'elle est là
partout. Qui n'a besoin de rien pour être, elle est, irréfutablement,
comme un roc à travers tous les temps, tous les lieux, comme un sourire
derrière et partout. Toute l'Énigme de l'univers est là. Il n'y en a pas d'autre. Un
sourire imperceptible, un rien qui est tout. Et toute cette joie, parce que,tout est l'Esprit qui est joie, Sat-Chit-Ânanda,
Existence-Conscience-Joie, triade éternelle qui est l'univers et que nous
sommes, secret que nous devons découvrir et vivre à travers le long voyage
évolutif : « De la joie tous ces êtres sont nés; par la joie ils existent
et grandissent; à la joie ils retournent » (Taïttiriya Upanishad 111.6).
....
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La Mère
(hcq ....La Mère ..cette contre-polarité nécessaire au développement
et la mise en mouvement de ...? .. UNivers ..?.)
Sri Aurobindo n'était pas venu seulement pour écrire, il avait à faire.
1920 est l'année où il termine l'Ar-~va et où la Mère vient s'installer à
Pondichéry : Quand je vins à Pondichéry, dit Sri Aurobindo, un
programme me fut dicté du dedans pour ma discipline. Je le suivis et
progressai pour ma part, mais n'arrivai pas à grand-chose quant à l'aide à
apporter aux autres. Puis vint la Mère; avec son aide je trouvai la
méthode nécessaire`'.
Nous ne pouvons guère parler de la Mère, sans doute parce qu'une
personnalité comme la sienne souffre mal qu'on l'enferme dans une petite
histoire - c'est une Force en mouvement. Tout ce qui s'est passé hier
seulement, tout ce qui a été dit, fait, expérimenté la veille encore, est
déjà vieux pour elle, sans intérêt. Elle est toujours plus loin, toujours
en avant. Elle est née pour briser les limites, comme Savitri. Nous
aurions donc mauvaise grâce à l'emprisonner dans un curriculum vitae.
Disons simplement qu'elle est née à Paris un 21 février 1878 et qu'elle
avait eu aussi, de son côté, la vision supramentale. Il n'est pas
sui-prenant qu'avec cette conscience elle ait reconnu l'existence de Sri
Aurobindo avant même de le rencontrer physiquement et qu'elle soit venue
le rejoindre. Entre onze et treize ans, dit-elle, une série d
expériences psychiques et spirituelles rie révélèrent non seulement
l'existence de Dieu, mais qu'il était possible, pour l homme, de Le
trouver et de Le révéler intégralement dans sa conscience et dans ses
actes, et de Le rani fester sur la terre dans une vie divine. Cette
révélation et la discipline pratique pour arriver au but rie furent
données pendant le sommeil de mon corps par plusieurs instructeurs, que je
rencontrai par la suite dans la vie, du moins certains d'entre eux. Plus
tard, comme ce développement intérieur et extérieur progressait, la
relation spirituelle et psychique que j'avais avec l'un de ces êtres
devint de plus en plus claire et féconde... Dès que je vis Sri Aurobindo,
je reconnus que c'était lui qui était venu faire l'oeuvre sur la terre et
que c'est avec lui que je devais travailler. La « transformation »
allait commencer. C'est la Mère qui va prendre la direction de l'Ashram
quand Sri Aurobindo se retirera dans une solitude complète en 1926, c'est
elle qui continue l'OEuvre depuis son départ en 1950. La conscience
de la Mère et la mienne sont une seule et même conscience . ..
( hcq : .. que la conscience de la mère-'épouse-femme
et du père-époux-homme
soient EN une seule et même conscience en co-naissance ...voir
page accueil de l'homocoques ...)
Il est bien symbolique que la synthèse ( ...
cet UNi-vers ...) vivante que Sri Aurobindo
représente déjà entre l'Orient et l'Occident, s'achève par cette nouvelle
rencontre de l'Ouest et de l'Est, comme si le monde, vraiment, ne pouvait
être accompli que par la jonction de ces deux pôles de l'existence, la
Conscience et la Force, l'Esprit et la terre, Lui et Elle toujours.(
..Couple ...lui-homme et elle-femme toujours ...)
Aperçu sur l'évolution
Nous sommes tous, un jour ou l'autre, appelés à faire le travail de
transformation auquel Sri Aurobindo et la Mère sont en train de se livrer,
parce que c'est notre avenir évolutif.
Si nous voulons comprendre
exactement le processus, les difficultés, les possibilités d'échec ou de
succès, il faut donc comprendre, d'abord, le sens de notre propre
évolution, afin de pouvoir y participer activement, au lieu de laisser les
siècles et les millénaires faire le travail pour nous au bout
d'interminables méandres. Sri Aurobindo n'est pas intéressé par les
théories, sa vision de l'évolution repose essentiellement sur une
expérience, et, s'il a tenté de la formuler en termes qui peuvent nous
apparaître théoriques, parce que nous n'avons pas l'expérience (pas
encore), ce n'est pas pour nous faire partager une idée de plus parmi les
millions d'idées-forces qui circulent, mais pour nous faire
saisir le
levier de notre propre dynamisme et précipiter le cours de l'évolution.
Nul doute, la position actuelle de l'humanité ne mérite guère qu'on s'y
attarde.
Ce levier est Agni, la conscience-force, et toute l'évolution peut être
décrite comme un voyage d'Agni en quatre mouvements - involution
(hcq : ...incarnation ..), dévolution,
involution, évolution - à partir du Centre éternel et en
(hcq : ..EN...) Lui. En fait, le quadruple
mouvement est Lui. Tout est Lui. Lui-même le jeu, Lui-même le joueur,
Lui-même le terrain de jeu ".
( hcq
: Tout est EN le couple d'ENfant-PAIR-ENt-TERtra-polaire
...Eux-mêmes le
jeu, Eux-mêmes les joueurs, Eux-mêmes le terrain de jeu...)
Lui hors du temps, hors de l'espace, l'Être pur, la Conscience pure, le
Grand Silence blanc où tout est en état d'involution, contenu, sans forme
encore ( ... si EN le pré-donné à chac-und'ENtre
NOUS .....). Et Lui qui devient : la Force se sépare de la Conscience, Elle de
Lui, le voyage d'Agni commence
Sur les
profondeurs scellées son lumineux sourire erra
Et mit en feu
le silence des mondes"
Elle, ( hcq : ..l' Eprit d'amour EN la vérité
..) qui se jette hors de Lui dans un éclatement de joie, pour
jouer à Le redécouvrir dans le Temps - Lui et Elle, deux en un. (
... le couple d'époux f-h ...
Quel fut donc le commencement de toute l'histoire?
L'Existence qui
s'est multipliée pour la seule joie d'être et s est plongée en
d'innombrables trillions de formes pour se retrouver Elle-même innombrablement". Mais c'est un commencement perpétuel, qui ne se situe
nulle part dans le temps; quand nous disons « d'abord » l'Éternel, « puis
» le Devenir, nous tombons dans l'illusion du langage spatio-temporel, de
même quand nous disons « haut » et « bas »; notre langage est faux, comme
notre vision du monde. En réalité, l'Être et le Devenir, Lui et Elle, sont
deux visages simultanés d'un même FAIT éternel - l'univers est un
phénomène perpétuel, aussi perpétuel que le Silence hors du temps :
Au commencement, dit-on, était l'Éternel, l'Infini, l'Un. Au milieu,
dit-on, est le fini, le transitoire, la Multitude. À la fin, dit-on, sera
l'Un, l'Infini, l Éternel. Mais quand était le commencement? À aucun
moment dans le temps; le commencement est à chaque moment; le
commencement était toujours, est toujours, sera toujours. Le commencement
divin est avant le temps, dans le temps et à jamais au-delà du
temps. L'Éternel Infini et Un est un commencement sans fin. Et où est le
milieu ? Il n'y a pas de milieu; il n'y a que la jonction de la fin
perpétuelle et du commencement éternel; c'est le signe de la création
qui est nouveau à chaque moment. La création était à jamais, est à
jamais sera à jamais. L'Éternel Infini et Un est le magique moyen terme de
sa propre existence; c est lui qui est la création sans commencement ni
fin. Et quand sera la fin? Il n'y a pas de fin. À aucun moment concevable
il ne peut y avoir de cessation. Car la fin des choses est le
commencement de choses nouvelles, qui sont encore le même Un sous un signe
toujours plus vaste et toujours récurrent. Rien ne peut être détruit,
car tout est Lui qui est à jamais. L'Éternel Infini et Un est la fin
inimaginable qui ne se referme jamais sur les horizons interminablement
nouveaux de sa gloire. Et Sri Aurobindo dit encore .
L'expérience de la vie humaine sur une terre ne se joue pas pour la
première fois maintenant. Elle a eu lieu des millions de fois avant, et le
long drame se répétera des millions de fois encore. Dans tout ce que nous
faisons maintenant, tous nos rêves, nos découvertes, nos accomplissements
rapides ou difficiles, nous profitons subconsciemment de l'expérience
d'innombrables précurseurs, et notre labeur fécondera des planètes
inconnues de nous et des mondes pas encore nés. Le plan, les péripéties,
le dénouement diffèrent continuellement, mais tout est gouverné toujours
par les conventions d'un Art éternel. Dieu, l'Homme (hcq
..f-h ..), la Nature, sont les trois symboles perpétuels. L'idée
d'une éternelle récurrence fait frissonner le mental qui vit retranché
dans la minute, l'heure, les années, les siècles, tous les bastions
irréels du fini. Mais l'âme forte, consciente de sa substance
immortelle et de l'océan inépuisable de ses énergies à jamais vives, est
saisie d'un ravissement inconcevable. Elle ( hcq :
..l'ENtre conscience f-h époux...) entend par-derrière le rire
d'enfant et l'extase de l'Infini`.
Ce passage perpétuel de l'Être au Devenir est ce que Sri Aurobindo
appelle la dévolution. C'est un passage graduel. La Conscience suprême ne
devient pas d'un seul coup la Matière. La Matière est le précipité final,
l'ultime produit d'une incessante fragmentation ou densification de la
conscience, qui s'opère lentement, à travers des plans successifs.
......
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