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       Auteur:   Satprem

Source:  le livre

Dossier panorama :  Bouddhisme  le couple HF

Jour OuvrOir :30 septembre 2014

Date page: 03.10.14 

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EXTRAITS

 

page 75

Conscience-Force, Conscience-Joie

En découvrant la conscience  ( hcq : l'esprit d'amour comm-Union EN la vérité >>>..) , nous avons découvert que c'était une force. Le fait remarquable, même, est que l'on commence par percevoir un courant ou une force intérieure, avant de s'apercevoir que c'est une conscience. La conscience est une force, conscience-force dit Sri Aurobindo, car, en vérité, les deux termes sont inséparables et convertibles l'un en l'autre. La sagesse ancienne de l'Inde connaissait bien ce fait et ne parlait jamais de conscience, Chit, sans y adjoindre le terme Agni, chaleur, flamme, énergie, Chit-Agni (parfois, elle emploie aussi le mot Tapas, qui est synonyme d'Agni : Chit-Tapas). Le mot sanscrit qui désigne les diverses disciplines spirituelles ou yoguiques est tapasyâ, c'est-à-dire ce qui produit de la chaleur ou de l'énergie, ou plus exactement de la conscience-chaleur ou de la conscience-énergie. Et cet Agni, ou Chit-Agni, est le même partout. Nous parlons de Force descendante ou de Force ascendante, ou de force intérieure, ou nous disons la force mentale, la force vitale, la force matérielle, mais il n'y a pas trente-six forces - il n'y a qu'une Force au monde, un seul courant unique qui passe en nous  ( hcq  ..et.ENtre Nous f-h ...) et en toute chose, et qui, suivant le niveau auquel il opère, se revêt d'une substance ou d'une autre. Notre courant électrique peut éclairer un tabernacle  ( ... ou une chambre à coucher ...)ou un bouge, une salle d'étude, un réfectoire ( ...un repas en famille... ), et il ne cesse pas d'être le même courant, encore qu'il éclaire des objets différents. De même, cette Force ou cette Chaleur, Agni, ne cesse pas d'être la même, qu'elle anime ou éclaire notre retraite intérieure, notre usine mentale, notre théâtre vital ou notre antre matériel; de niveau en niveau elle se revêt d'une lumière plus ou moins intense et de vibrations plus ou moins lourdes - supraconscientes, mentales, vitales, matérielles - mais c'est elle qui relie tout, anime tout; elle, la substance fondamentale de l'univers : Conscience-Force, Chit-Agni. ...( ...l'Esprit-d'amour-EN-la-vérité-EN-l'UNi-vers ...)

S'il est vrai que la conscience est une force, inversement la force est une conscience et toutes les forces sont conscientes9. La Force universelle est une Conscience universelle. C'est ce que découvre le chercheur. Quand il a pris contact avec ce courant de conscience-force en lui, il peut se brancher sur n'importe quel niveau de l'universelle réalité, n'importe quel point et percevoir, comprendre la conscience qui est là, ou même agir sur elle, parce que c'est partout le même courant de conscience avec des modalités vibratoires différentes, dans la plante et dans les réflexions du mental humain ( ... du couple ...), dans le supraconscient lumineux et dans l'instinct de la bête, dans le métal ou dans nos méditations profondes. Si le morceau de bois était inconscient, le yogi n'aurait pas le pouvoir de le déplacer par sa concentration, parce qu'il n'aurait aucun point de contact avec lui. Si un seul point de l'univers était totalement inconscient, l'univers entier serait totalement inconscient, parce qu'il ne peut pas y avoir deux choses. Einstein nous a appris, et c'est vraiment la grande découverte, que Matière et Énergie sont convertibles l'un en l'autre : E=mc2,.la Matière est de l'Énergie condensée   ( ...du deux procède l'Un  dont l'ENfant...en l'UNivers qui nous est pré-donné ...). Il nous reste à découvrir pratiquement que cette Énergie ou cette Force est une Conscience, et que la Matière, elle aussi, est une forme de conscience, comme le Mental est une forme de conscience, comme le Vital ou le Supraconscient sont d'autres formes de conscience. Quand nous aurons trouvé ce Secret, la conscience dans la force, nous aurons la vraie maîtrise des énergies matérielles - une maîtrise directe. Mais nous ne faisons que redécouvrir de très anciennes vérités ; il y a quatre mille ans, les Upanishads savaient déjà que la Matière est de l'Énergie condensée, ou, plutôt, de la Conscience-Énergie condensée : « Par l'énergie de sa conscience*, Brahman s'est massé; de cela la Matière est née, et de la Matière, la Vie, le Mental et les mondes » (Mundaka Upanishad, 1.1.8).

Et tout est Conscience ici-bas, parce que tout est l'Être ou Esprit. Tout est Chit, parce que tout est Sat - Sat-Chit - à divers niveaux de Sa propre manifestation. L'histoire de notre évolution terrestre, finalement, est l'histoire d'une lente conversion de la Force en Conscience, ou, plus exactement, un lent rappel à la mémoire de soi, de cette Conscience engloutie dans sa Force' Aux premiers stades de l'évolution, la conscience de l'atome, par exemple, est absorbée dans son tourbillonnement, comme la conscience de l'artisan est absorbée dans la pièce qu'il façonne, oublieuse de tout le reste, comme la plante est absorbée dans sa fonction chlorophyllienne, comme notre propre conscience est absorbée dans un livre, un désir, oublieuse de tous les autres niveaux de sa propre réalité. Tout le progrès évolutif, en fin de compte, se mesure à la capacité de dégagement ou de décrochage de l'élément conscience hors de son élément force - c'est ce que nous avons appelé l'individualisation de la conscience.

Au stade spirituel ou yoguique de notre évolution, la conscience est totalement dégagée, dégluée de ses tourbillonnements mentaux, vitaux, physiques et maîtresse d'elle-même, capable de parcourir toute la gamme des vibrations de conscience, de l'atome à l'Esprit; la Force est devenue totalement Conscience, elle s'est totalement souvenue de soi. Et se souvenir de soi, c'est se souvenir de tout, parce que c'est l'Esprit en nous qui se souvient de l'Esprit partout. Simultanément, à mesure que la Force recouvre sa Conscience, elle recouvre la maîtrise de sa force et de toutes les forces; car être conscient, c'est pouvoir. Eatome qui tournoie ou l'homme qui suit la ronde biologique et qui peine dans son usine mentale, n'est pas le maître de sa force mentale, vitale ou atomique; il tourne, il tourne; tandis qu'au stade conscient, nous sommes dégagé et maître; alors nous vérifions tangiblement que la conscience est une force, une substance, que l'on peut manipuler comme d'autres manipulent des oxydes ou des champs électriques : Si l'on commence à percevoir la conscience intérieure, dit Sri Aurobindo, on peut en faire toutes sortes de choses : l'envoyer à l'extérieur sous forme de courant de force. tracer un cercle ou un mur de conscience autour de soi, diriger une idée pour qu'elle entre dans la tête de quelqu'un en Amérique, etc. 10 Il expliquait encore : Que cette force puisse avoir des résultats tangibles tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, est le sens même de la conscience yoguique... Si nous n'avions pas fait des milliers d expériences prouvant que le Pouvoir dedans  ( ..et ..surtout ENtre-deux ...) peut modifier le mental, développer ses  ( ...nos ...) capacités, en ajouter de nouvelles, découvrir de nouvelles strates de conscience, maîtriser les mouvements du vital, changer le caractère, influencer les hommes  ( ... voir épigénétique ...) et les choses, avoir de l'autorité sur le fonctionnement et l'état du corps, modifier les événements... nous n'en parlerions pas comme nous le faisons. En outre, ce n'est pas seulement par ses résultats, mais dans ses mouvements  ( ...dans ses inter-actions ) mêmes que la Force est tangible et concrète. Quand je parle de « sentir la Force ou le Pouvoir », je ne veux pas dire simplement en avoir un vague sentiment, mais la sentir concrètement et, par conséquent, - être capable de la diriger, de la manipuler, de surveiller ses mouvements, d'être conscient de sa masse et de son intensité, et de même pour toutes les autres forces qui peuvent s'opposer à elle".

À un stade ultérieur, nous verrons que la Conscience peut agir sur la Matière et la transfouiler. Cette ultime conversion de la Matière en Conscience, et peut-être même, un jour, de la Conscience en Matière, est !'objet du yoga supramental dont nous reparlerons plus tard. Mais il y a bien des degrés du développement de la conscience-force, depuis le chercheur ou l'aspirant qui s'éveille tout juste à la poussée dedans, jusqu'au yogi; et même parmi ceux-ci il y a bien des échelons - c'est ici que la vraie hiérarchie commence. Il est une ultime équivalence. Non seulement la conscience est force, non seulement la conscience est être, mais la conscience est joie, Ânanda - Conscience-joie, Chit-Ânanda. Être conscient,'c' est la joie. Quand on a dégagé la conscience des mille vibrations mentales, vitales, physiques qui l'absorbent, on découvre la joie ( ....la vérité de ce qui nous est pré-donné ...?). Tout l'être est comme empli d'une masse de force vivante (« comme un pilier bien formé », dit le Rig-Véda, V.45.2), cristalline, sans mouvement, sans objet - conscience pure, force pure, joie pure, parce que c'est la même chose -, une joie solide, une substance de joie, vaste, paisible, qui semble n'avoir ni commencement ni fin ni cause, qui semble être partout aussi, dans les choses, dans les êtres, leur fondation secrète et leur secret besoin de grandir - personne ne veut quitter la vie, parce qu'elle est là partout. Qui n'a besoin de rien pour être, elle est, irréfutablement, comme un roc à travers tous les temps, tous les lieux, comme un sourire derrière et partout. Toute l'Énigme de l'univers est là. Il n'y en a pas d'autre. Un sourire imperceptible, un rien qui est tout. Et toute cette joie, parce que,tout est l'Esprit qui est joie, Sat-Chit-Ânanda, Existence-Conscience-Joie, triade éternelle qui est l'univers et que nous sommes, secret que nous devons découvrir et vivre à travers le long voyage évolutif : « De la joie tous ces êtres sont nés; par la joie ils existent et grandissent; à la joie ils retournent » (Taïttiriya Upanishad 111.6).

 

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page 375

La Mère

(hcq ....La Mère ..cette contre-polarité nécessaire au développement et la mise en mouvement de  ...? .. UNivers ..?.)

Sri Aurobindo n'était pas venu seulement pour écrire, il avait à faire. 1920 est l'année où il termine l'Ar-~va et où la Mère vient s'installer à Pondichéry : Quand je vins à Pondichéry, dit Sri Aurobindo, un programme me fut dicté du dedans pour ma discipline. Je le suivis et progressai pour ma part, mais n'arrivai pas à grand-chose quant à l'aide à apporter aux autres. Puis vint la Mère; avec son aide je trouvai la méthode nécessaire`'.

Nous ne pouvons guère parler de la Mère, sans doute parce qu'une personnalité comme la sienne souffre mal qu'on l'enferme dans une petite histoire - c'est une Force en mouvement. Tout ce qui s'est passé hier seulement, tout ce qui a été dit, fait, expérimenté la veille encore, est déjà vieux pour elle, sans intérêt. Elle est toujours plus loin, toujours en avant. Elle est née pour briser les limites, comme Savitri. Nous aurions donc mauvaise grâce à l'emprisonner dans un curriculum vitae.

Disons simplement qu'elle est née à Paris un 21 février 1878 et qu'elle avait eu aussi, de son côté, la vision supramentale. Il n'est pas sui-prenant qu'avec cette conscience elle ait reconnu l'existence de Sri Aurobindo avant même de le rencontrer physiquement et qu'elle soit venue le rejoindre. Entre onze et treize ans, dit-elle, une série d expériences psychiques et spirituelles rie révélèrent non seulement l'existence de Dieu, mais qu'il était possible, pour l homme, de Le trouver et de Le révéler intégralement dans sa conscience et dans ses actes, et de Le rani fester sur la terre dans une vie divine. Cette révélation et la discipline pratique pour arriver au but rie furent données pendant le sommeil de mon corps par plusieurs instructeurs, que je rencontrai par la suite dans la vie, du moins certains d'entre eux. Plus tard, comme ce développement intérieur et extérieur progressait, la relation spirituelle et psychique que j'avais avec l'un de ces êtres devint de plus en plus claire et féconde... Dès que je vis Sri Aurobindo, je reconnus que c'était lui qui était venu faire l'oeuvre sur la terre et que c'est avec lui que je devais travailler. La « transformation » allait commencer. C'est la Mère qui va prendre la direction de l'Ashram quand Sri Aurobindo se retirera dans une solitude complète en 1926, c'est elle qui continue l'OEuvre depuis son départ en 1950. La conscience de la Mère et la mienne sont une seule et même conscience . .. ( hcq : .. que la conscience de la mère-'épouse-femme et du père-époux-homme  soient EN une seule et même conscience en co-naissance ...voir page accueil de l'homocoques ...)

Il est bien symbolique que la synthèse ( ... cet UNi-vers ...) vivante que Sri Aurobindo représente déjà entre l'Orient et l'Occident, s'achève par cette nouvelle rencontre de l'Ouest et de l'Est, comme si le monde, vraiment, ne pouvait être accompli que par la jonction de ces deux pôles de l'existence, la Conscience et la Force, l'Esprit et la terre, Lui et Elle toujours.( ..Couple ...lui-homme et elle-femme toujours ...)

Aperçu sur l'évolution

Nous sommes tous, un jour ou l'autre, appelés à faire le travail de transformation auquel Sri Aurobindo et la Mère sont en train de se livrer, parce que c'est notre avenir évolutif. Si nous voulons comprendre exactement le processus, les difficultés, les possibilités d'échec ou de succès, il faut donc comprendre, d'abord, le sens de notre propre évolution, afin de pouvoir y participer activement, au lieu de laisser les siècles et les millénaires faire le travail pour nous au bout d'interminables méandres. Sri Aurobindo n'est pas intéressé par les théories, sa vision de l'évolution repose essentiellement sur une expérience, et, s'il a tenté de la formuler en termes qui peuvent nous apparaître théoriques, parce que nous n'avons pas l'expérience (pas encore), ce n'est pas pour nous faire partager une idée de plus parmi les millions d'idées-forces qui circulent, mais pour nous faire saisir le levier de notre propre dynamisme et précipiter le cours de l'évolution. Nul doute, la position actuelle de l'humanité ne mérite guère qu'on s'y attarde.

Ce levier est Agni, la conscience-force, et toute l'évolution peut être décrite comme un voyage d'Agni en quatre mouvements - involution (hcq : ...incarnation ..), dévolution, involution, évolution - à partir du Centre éternel et en  (hcq : ..EN...) Lui. En fait, le quadruple mouvement est Lui. Tout est Lui. Lui-même le jeu, Lui-même le joueur, Lui-même le terrain de jeu ".  ( hcq : Tout est EN le couple d'ENfant-PAIR-ENt-TERtra-polaire ...Eux-mêmes le jeu, Eux-mêmes  les joueurs, Eux-mêmes le terrain de jeu...)

Lui hors du temps, hors de l'espace, l'Être pur, la Conscience pure, le Grand Silence blanc où tout est en état d'involution, contenu, sans forme encore  ( ... si EN le pré-donné à chac-und'ENtre NOUS .....). Et Lui qui devient : la Force se sépare de la Conscience, Elle de Lui, le voyage d'Agni commence

Sur les profondeurs scellées son lumineux sourire erra

Et mit en feu le silence des mondes"

Elle, ( hcq : ..l' Eprit d'amour EN la vérité ..) qui se jette hors de Lui dans un éclatement de joie, pour jouer à Le redécouvrir dans le Temps - Lui et Elle, deux en un. ( ... le couple d'époux f-h ...

Quel fut donc le commencement de toute l'histoire?

L'Existence qui s'est multipliée pour la seule joie d'être et s est plongée en d'innombrables trillions de formes pour se retrouver Elle-même innombrablement". Mais c'est un commencement perpétuel, qui ne se situe nulle part dans le temps; quand nous disons « d'abord » l'Éternel, « puis » le Devenir, nous tombons dans l'illusion du langage spatio-temporel, de même quand nous disons « haut » et « bas »; notre langage est faux, comme notre vision du monde. En réalité, l'Être et le Devenir, Lui et Elle, sont deux visages simultanés d'un même FAIT éternel - l'univers est un phénomène perpétuel, aussi perpétuel que le Silence hors du temps : Au commencement, dit-on, était l'Éternel, l'Infini, l'Un. Au milieu, dit-on, est le fini, le transitoire, la Multitude. À la fin, dit-on, sera l'Un, l'Infini, l Éternel. Mais quand était le commencement? À aucun moment dans le temps; le commencement est à chaque moment; le commencement était toujours, est toujours, sera toujours. Le commencement divin est avant le temps, dans le temps et à jamais au-delà  du temps. L'Éternel Infini et Un est un commencement sans fin. Et où est le milieu ? Il n'y a pas de milieu; il n'y a que la jonction de la fin perpétuelle et du commencement éternel; c'est le signe de la création qui est nouveau à chaque moment. La création était à jamais, est à jamais sera à jamais. L'Éternel Infini et Un est le magique moyen terme de sa propre existence; c est lui qui est la création sans commencement ni fin. Et quand sera la fin? Il n'y a pas de fin. À aucun moment concevable il ne peut y avoir de cessation. Car la fin des choses est le commencement de choses nouvelles, qui sont encore le même Un sous un signe toujours plus vaste et toujours récurrent. Rien ne peut être détruit, car tout est Lui qui est à jamais. L'Éternel Infini et Un est la fin inimaginable qui ne se referme jamais sur les horizons interminablement nouveaux de sa gloire. Et Sri Aurobindo dit encore . L'expérience de la vie humaine sur une terre ne se joue pas pour la première fois maintenant. Elle a eu lieu des millions de fois avant, et le long drame se répétera des millions de fois encore. Dans tout ce que nous faisons maintenant, tous nos rêves, nos découvertes, nos accomplissements rapides ou difficiles, nous profitons subconsciemment de l'expérience d'innombrables précurseurs, et notre labeur fécondera des planètes inconnues de nous et des mondes pas encore nés. Le plan, les péripéties, le dénouement diffèrent continuellement, mais tout est gouverné toujours par les conventions d'un Art éternel. Dieu, l'Homme (hcq ..f-h ..), la Nature, sont les trois symboles perpétuels. L'idée d'une éternelle récurrence fait frissonner le mental qui vit retranché dans la minute, l'heure, les années, les siècles, tous les bastions irréels du fini. Mais l'âme forte, consciente de sa substance immortelle et de l'océan inépuisable de ses énergies à jamais vives, est saisie d'un ravissement inconcevable. Elle ( hcq : ..l'ENtre conscience f-h époux...) entend par-derrière le rire d'enfant et l'extase de l'Infini`.

Ce passage perpétuel de l'Être au Devenir est ce que Sri Aurobindo appelle la dévolution. C'est un passage graduel. La Conscience suprême ne devient pas d'un seul coup la Matière. La Matière est le précipité final, l'ultime produit d'une incessante fragmentation ou densification de la conscience, qui s'opère lentement, à travers des plans successifs.

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Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

Loin que ce soit être qui illustre la relation , c'est la relation qui illumine l'être.     Gaston Bachelard

Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

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