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Présentation :...
août 2009 mise à jour le 25.08.2013
Cette page est un développement à partir du texte ....
LES RACINES
DE L'EUROPE... thème de la revue NRH ... de
juillet/août 2009.
J'y ai relevé particulièrement
l'article de Dominique Venner LA TRIADE HOMERIENNE
..ci-dessosus ..
Cette
approche met nettement en évidence « la vision du monde et même une
philosophie» de « l'homme HÉROS »... l'homme binaire ET COQ...
dont la triade ci-dessous est très révélatrice. ( ...et que DV
reprend en page 36 du son livre testament Un samouraï d'Occident )
Sur la base
de cette triade, l'homocoques pose en face sa triade de «l'homme
RELATIONNEL » ENtre deux)... Ce
qui donne schématiquement :
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« La nature source de LA beauté. »
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« La nature EST vérité :
c'est EN notre relation d'amour communion avec ELLE qu'est l'harmonie. »
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La triade homérienne ....
de l'homme
Héros .(.dualiste ...individualiste
...narcissique ...en:immaturation affective ???)
1. la nature comme socle
2. L'excellence comme but
3. La beauté comme horizon
|
vers
?
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triade de l'homocoques multENUn ... des familles humaines
EN l'A
Totalité :
1. la relation d'amour en la vérité ... comme socle
2 "le co-développement intégral de tout enfant
parents....comme but de nos vies
3. " la vraie Grandeur comme horizon
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en
relations '
( 08. 09
>>>:
)
Naissance de l'homocoques : de l'homJE à l'homocoques.
le
25.08.01
SOI à la rencontre du
NOUS
Les NOUS à la rencontre de l'A Totalité
CARITAS IN
VERITATE
....La
vérité doit être cherchée, découverte et exprimée dans l'
« économie » de l'amour, mais l'amour à son tour doit être
compris, vérifié et pratiqué à la lumière de la vérité. Benoît
XVI
de triades ....
de l'homme dualiste "autocentré" vers celle de l'humain
trine "hétérocentré EN l'Â Totalité"
La vrai Grandeur....
par Simone Weil
Nos Nous, nos metaxu ..sans lesquels une vie humaine n'est pas possible
... de Simone Weil
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n La
Triade homérienne
Auteur:
Dominique Venner
Source: La
Nouvelle Revue de l'Histoire, page 38
Date :
juillet/août 2009
La Nouvelle
Revue De L'Histoire dirigée par Dominique Venner... de juillet/août 2009. a
comme sous-titre : d'Homère a Clovis et pour articles principaux:
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une mémoire
millénaire en l'héritage
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L'Iliade et
l'odyssée: les poèmes fondateurs
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l'héritage
antique du moyen âge
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Rome : un
empire aristocratique
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Clovis et le
miracle franc
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le corps de la
femme : un enjeu identitaire
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comme on peut
le constater l'héritage chrétien '( et non catholico-romain ...à
l'exception, à ma connaissance, de l'apport de Josef Ratzinger - Benoit
XVI) est relativement occulté.
EXTRAIT :
Pour les Anciens, Homère était « le commencement, le milieu et
la fin". Une vision du monde et même une philosophie se déduisent
implicitement de ses poèmes. Héraclite en a résumé le socle cosmique
par une formulation bien à lui : « L'univers, le même pour tous les
êtres, n 'a été créé par aucun dieu ni par aucun homme ; mais il a
toujours été, est et sera feu éternellement vivant... »
L'avenir prend racine dans
la mémoire du passé...
1. la nature comme socle
Chez Homère, la perception d'un cosmos incréé et ordonné s'accompagne
d'une vision enchantée portée par les anciens mythes. Les mythes ne sont
pas une croyance, mais la manifestation du divin dans le monde. Les
forêts, les roches, les bêtes sauvages ont une âme que protège Artémis
(Diane pour les Romains). La nature tout entière se confond avec le
sacré, et les hommes n'en sont pas isolés. Mais elle n'est pas destinée
à satisfaire leurs caprices. En elle, dans son immanence, ici et
maintenant, ils trouvent en revanche des réponses à leurs angoisses : «
Comme naissent les feuilles, ainsi font les hommes. Les feuilles, tour à
tour, c'est le vent qui les épand sur le sol et la forêt verdoyante qui
les fait naître quand se lèvent les jours du printemps. Ainsi des hommes
: une génération naît à l'instant où une autre s'efface» (Iliade, VI,
146). Tourne la roue des saisons et de la vie, chacun transmettant
quelque chose de lui-même à ceux qui vont suivre, assuré ainsi d'être
une parcelle d'éternité. Certitude affermie par la conscience du
souvenir à laisser dans la mémoire du futur, ce que dit Hélène dans
l'Iliade: "Zeus nous i a fait un dur destin afin que nous ' soyons plus
tard chantés par les hommes à venir» (VI, 357-358).
Peut-être, mais la gloire d'un noble " nom s'efface comme le reste.
Ce qui ne passe pas est intérieur, face à soi-même, dans la vérité de la
conscience : avoir vécu noblement, sans bassesse, avoir pu se maintenir
en accord avec le modèle que l'on s'est fixé.
2. L'excellence comme but
À l'image des héros, les hommes véritables, nobles et accomplis (kalos
agatos), cherchent dans le courage de l'action la mesure de leur
excellence {arête), comme les femmes cherchent dans l'amour ou le don de
soi la lumière qui les fait exister. Aux uns et aux autres importe
seulement ce qui est beau et fort. « Être toujours le meilleur,
recommande Pelée à son fils Achille, l'emporter sur tous tes autres»
(Iliade, VI, 208). Quand Pénélope se tourmente à la pensée que son fils
Télémaque pourrait être tué par les «prétendants» (usurpateurs), ce
qu'elle redoute, c'est qu'il meure « sans gloire», avant d'avoir
accompli ce qui ferait de lui un héros à l'égal de son père (Odyssée,
IV, 728). Elle sait que les hommes ne doivent rien attendre des dieux et
n'espérer d'autre ressource que d'eux-mêmes, ainsi que le dit Hector en rejetant un présage funeste : « Il n'est qu'un bon présage,
c'est de combattre pour sa patrie» (Iliade, XII, 243). Lors du combat
final de l'Iliade, comprenant qu'il est condamné par les dieux ou le
destin, Hector s'arrache au désespoir par un sursaut d'héroïsme
tragique: "Eh bien ! non, je n'entends pas mourir sans lutte ni sans
gloire, ni sans quelque haut fait dont le récit parvienne aux hommes à
venir» (XXII, 304-305).
3. La beauté comme horizon
L'Iliade commence par la colère d'Achille et se termine par son
apaisement face à la douleur de Priam: Les héros d'Homère ne sont pas
des modèles de perfection. Ils sont sujets à l'erreur et à la démesure
en proportion même de leur vitalité. Pour cette raison, ils tombent sous
le coup d'une loi immanente qui est le ressort des mythes grecs et de la
tragédie. Toute faute comporte châtiment, celle d'Agamemnon comme celle
d'Achille. Mais l'innocent peut lui aussi être soudain frappé par le
sort, comme Hector et tant d'autres, car nul n'est à l'abri du tragique
destin. Cette vision de la vie est étrangère à l'idée d'une justice
transcendantale punissant le mal ou le péché. Chez Homère, ni le
plaisir, ni le goût de la force, ni la sexualité ne sont jamais
assimilés au mal. Hélène n'est pas coupable de la guerre voulue par les
dieux [Iliade, III, 161-175) : seuls les dieux sont coupables des
fatalités qui s'abattent sur les hommes.
Les vertus chantées par Homère ne sont pas morales mais esthétiques.
Il croit à l'unité de l'être humain que qualifient son style et ses
actes. Les hommes se définissent donc au regard du beau et du laid, du
noble et du vil, non du bien ou du mal. Ou, pour dire les choses
autrement, l'effort vers la beauté est la condition du bien. Mais la
beauté n'est rien sans loyauté ni vaillance. Ainsi Paris ne "peut être
vraiment beau puisqu'il est couard. Ce n'est qu'un bellâtre que
méprisent son frère Hector et même Hélène qu'il a séduite par magie. En
revanche, Nestor, en dépit de son âge, conserve la beauté de son
courage.
Une vie belle, but ultime du meilleur de la philosophie grecque, dont Homère fut l'expression primordiale, suppose le culte de la nature,
le respect de la pudeur (Nausicaa ou Pénélope), la bienveillance du fort
pour le faible (sauf dans les combats), le mépris pour la bassesse et
la laideur, l'admiration pour le héros malheureux. Si l'observation de
la nature apprend aux Grecs à mesurer leurs passions, à borner leurs désirs, l'idée qu'ils se font de la sagesse avant
Platon est sans fadeur. Ils savent qu'elle est associée aux accords
fondamentaux nés d'oppositions surmontées, masculin et féminin,
violence et douceur, instinct et raison. Héraclite s'était mis à
l'école d'Homère quand il a dit : « La nature aime les contraires :
c'est avec eux qu 'elle produit l'harmonie. » :
DOMINIQUE VENNER
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« La nature est
échange et féconde ENtre
polarités disymétriques : c'est entre-elles que se produit la vie en
autogénése »
l'homocoques |
essais
des
triades comparative EN homocoques ...
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La triade homérienne .... de l'homme
Héros .
1. la nature comme socle
2. L'excellence comme but
3. La beauté comme horizon
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vers
?
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à la triade de l'homocoques
multENUn ... EN l'A
Totalité :
1. la relation d'amour en la vérité ... comme socle
2 "le co-développement intégral de tout homme
et de l'humanité toute entière ....comme but
3. " la vraie Grandeur EN la Vérité ....comme horizon
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bb |
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1. "EN l'inter-relationnalité " comme socle
Chez Homère, la perception d'un cosmos incréé et ordonné s'accompagne
d'une vision enchantée portée par les anciens mythes. Les mythes ne sont
pas une croyance, mais la manifestation du divin dans le monde. Les
forêts, les roches, les bêtes sauvages ont une âme que protège Artémis
(Diane pour les Romains). La nature tout entière se confond avec le
sacré, et les hommes n'en sont pas isolés. Mais elle n'est pas destinée
à satisfaire leurs caprices. En elle, dans son immanence, ici et
maintenant, ils trouvent en revanche des réponses à leurs angoisses :
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«
Comme naissent les feuilles, ainsi font les hommes. Les feuilles, tour à
tour, c'est le vent qui les épand sur le sol et la forêt verdoyante qui
les fait naître quand se lèvent les jours du printemps. Ainsi des hommes
: une génération naît à l'instant où une autre s'efface» (Iliade, VI,
146). Tourne la roue des saisons et de la vie, chacun transmettant
quelque chose de lui-même à ceux qui vont suivre, assuré ainsi d'être
une parcelle d'éternité. Certitude affermie par la conscience du
souvenir à laisser dans la mémoire du futur, ce que dit Hélène dans
l'Iliade: "Zeus nous a fait un dur destin afin que nous ' soyons plus
tard chantés par les hommes à venir» (VI, 357-358).
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vers
?
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Loin que ce soit être qui illustre la relation ,
c'est la relation qui illumine l'être.
Les composantes de la société ne
sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre
ses polarités.
l’homme comme relation fait de
l’amour le fondement où l’homme se découvre lui-même ...
le coupleEN la famille, foyer de la vie
...base de l'humain
famille de personnes .... famille
...
Famille de familles
.... peuple ...
famille de peuples ... famille humaine
multiples unsENUn
la totalité est plus grande que
l'addition de ses
composants
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Peut-être, mais la gloire d'un noble " nom s'efface comme le reste.
Ce qui ne passe pas est intérieur, face à soi-même, dans la vérité de la
conscience : avoir vécu noblement, sans bassesse, avoir pu se maintenir
en accord avec le modèle que l'on s'est fixé.
2 "le co-développement de
tout humain en la relation d'amour EN la vérité" comme but
À l'image des héros, les hommes véritables, nobles et accomplis (kalos
agatos), cherchent dans le courage de l'action la mesure de leur
excellence {arête), comme les femmes cherchent dans l'amour ou le don de
soi la lumière qui les fait exister. Aux uns et aux autres importe
seulement ce qui est beau et fort. « Être toujours le meilleur,
recommande Pelée à son fils Achille, l'emporter sur tous tes autres»
(Iliade, VI, 208). Quand Pénélope se tourmente à la pensée que son fils
Télémaque pourrait être tué par les «prétendants» (usurpateurs), ce
qu'elle redoute, c'est qu'il meure « sans gloire», avant d'avoir
accompli ce qui ferait de lui un héros à l'égal de son père (Odyssée,
IV, 728). Elle sait que les hommes ne doivent rien attendre des dieux et
n'espérer d'autre ressource que d'eux-mêmes,
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ainsi que le dit Hector en rejetant un présage funeste : « Il n'est qu'un bon présage,
c'est de combattre pour sa patrie» (Iliade, XII, 243). Lors du combat
final de l'Iliade, comprenant qu'il est condamné par les dieux ou le
destin, Hector s'arrache au désespoir par un sursaut d'héroïsme
tragique: "Eh bien ! non, je n'entends pas mourir sans lutte ni sans
gloire, ni sans quelque haut fait dont le récit parvienne aux hommes à
venir» (XXII, 304-305). |
vers
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individuellement et
collectivement co-créateurs En l'amour-vérité
" On ne devient soi qu'en
renonçant à soi"
se sacrifier ou sacrifier l'autre
de la fécondité masculin/féminin
EN l"amour comm-union
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3. " la vraie Grandeur de l'humain
EN l'A
Totalité infinie" comme horizon
L'Iliade commence par la colère d'Achille et se termine par son
apaisement face à la douleur de Priam: Les héros d'Homère ne sont pas
des modèles de perfection. Ils sont sujets à l'erreur et à la démesure
en proportion même de leur vitalité. Pour cette raison, ils tombent sous
le coup d'une loi immanente qui est le ressort des mythes grecs et de la
tragédie. Toute faute comporte châtiment, celle d'Agamemnon comme celle
d'Achille. Mais l'innocent peut lui aussi être soudain frappé par le
sort, comme Hector et tant d'autres, car nul n'est à l'abri du tragique
destin. Cette vision de la vie est étrangère à l'idée d'une justice
transcendantale punissant le mal ou le péché.
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Chez Homère, ni le
plaisir, ni le goût de la force, ni la sexualité ne sont jamais
assimilés au mal. Hélène n'est pas coupable de la guerre voulue par les
dieux [Iliade, III, 161-175) : seuls les dieux sont coupables des
fatalités qui s'abattent sur les hommes. |
vers
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je ne suis pas simplement
responsable devant ma conscience, mais que je suis responsable d’abord de
la conscience, de l’état de la conscience
le discernement
"EN l'harmonie et la gloire
de l'ATotalité"
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Les vertus chantées par Homère ne sont pas morales mais esthétiques.
Il croit à l'unité de l'être humain que qualifient son style et ses
actes. Les hommes se définissent donc au regard du beau et du laid, du
noble et du vil, non du bien ou du mal. Ou, pour dire les choses
autrement, l'effort vers la beauté est la condition du bien. Mais la
beauté n'est rien sans loyauté ni vaillance. Ainsi Paris ne "peut être
vraiment beau puisqu'il est couard. Ce n'est qu'un bellâtre que
méprisent son frère Hector et même Hélène qu'il a séduite par magie. En
revanche, Nestor, en dépit de son âge, conserve la beauté de son
courage.
Une vie belle, but ultime du meilleur de la philosophie grecque, dont Homère fut l'expression primordiale, suppose le culte de la nature,
le respect de la pudeur (Nausicaa ou Pénélope), la bienveillance du fort
pour le faible
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(sauf dans les combats), le mépris pour la
bassesse et la laideur, l'admiration pour le héros malheureux.
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vers
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une vie créatrice d'elle-même en
venir-de-venir
... EN autogénese ...
On reconnaît l'arbre à ses fruits
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Si l'observation de la nature apprend aux Grecs à
mesurer leurs passions, à borner leurs désirs, l'idée qu'ils se font de
la sagesse avant Platon est sans fadeur. Ils savent qu'elle est associée aux accords
fondamentaux
|
nés d'oppositions surmontées, masculin et féminin,
violence et douceur, instinct et raison. Héraclite s'était mis à
l'école d'Homère quand il a dit : « La nature
aime les contraires : c'est avec eux qu 'elle produit l'harmonie.
»
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EN l"amour comm-union
mais l'amour à son tour
doit être compris, vérifié et pratiqué à la lumière de la vérité
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des "auto-centré" masculin
en compétition ... civilisation mortifère
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...au ...monde "hétéro-centré" ..multipolaire
co-créateur .;;en autogenèse ..la civilisation de l'amour .. de la
vie |
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images extraites de la revu
cliquez dessus pour agrandir
homme femme dans la relation
maître-sujet |
vers
?
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l'image à l'adresse suivante >>>>>
femme-homme, l'unité relationnelle fondatrice de l'humain
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Figuration d'un drame éternel
: la mort d'Hector au chant 14 de Liliade. Andromaque pleure sur
la dépouille de son époux. Dans ses bras se réfugie son fils Ast
deyanax. Toile de Jacques Louis-David XVIIIe siècle. |
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Pénélope par Domenico
Beccafumi, au but du XVIe siècle. le peintre l'a représentée,
seule, mystérieuses, dans l'attente du retour d'Ulysse. |
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La bannière du
haut nous dit :
" Respectez les femmes, elles
filent et tressent les roses célestes EN cette vie terrestre "
...la bannière de
l'homme à gauche dit :
"
protection
".....et celle à
droite :
"
confiance-fidélité
"
...la bannière sous l'ensemble de la femme-trinitaire et l'homme
binaire
"soins - amour -
connaissance"
....la
"co-naissance" en somme...
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image extraite de la revue
cliquez dessus pour agrandir |
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cliquez dessus pour agrandir |
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La cité (polis), que l'on
croit une invention de l'époque classique, est déjà décrite dans
plusieurs passages importants de l'Illiade (le bouclier
d'Achille) et de L'Odyssée (le voyage de Télémaque dans la
Sparte de Ménélas et d'Hélène). C'est la cité de Ménélas qui est
ici figurée par cette gravure du XIXe siècle.
Cité très washingtonienne
...élitiste ..de l'homenTranche ... celle du
haut..
...de l'oligarchie mondialiste .. |
vers
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L'Est rencontre l'Ouest
La culture traditionnelle helvétique inspire
des artistes chinois. Des champions chinois du ciseau se sont
rendus en Appenzell, où ils se sont laissés imprégner par la
culture locale. De retour chez eux, ils ont usé la technique du
découpage pour retranscrire leurs impressions. Nous proposant un
nouveau regard sur nos propres traditions, leurs oeuvres sont à
voir à la Maison d'Appenzell, à Zurich, jusqu'à la fin janvier
2010.
Wenn Ost und West sich begegnen
Chinesische Scherenschnitte über das Appenzellerland und das
Toggenburg
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