femme révolutionnaire ... un exemple

Dossier :l'homme et la femme - démographie - Sciences

Présentation:

Cet article nous montre d'une manière « étincelante » l'aspect idéologique révolutionnaire des mouvements de libération de la femme. Il illustre parfaitement l'affirmation de  « qui tient le ventre des femmes, tient la société... » (Lénine,? ?) ...

Comme conséquences.. pêle-mêle... :  la banalisation du fait de tuer, la culpabilisation des femmes, l'exclusion de Dieu , ... la réification de l'homme .. la promotion de la vision de l'HOMENTRANCHE, celle des droits de l'homme... et non du droits des coqs ... L'homme seul n'existe pas  .. à la base existe l'entité, la coque homme-- femme.

Extraits:  " II faut arriver à une révolution sociale profonde qui donnera plus de pouvoir aux femmes, et qui transformera les rapports entre hommes et femmes à tous les niveaux de la société. ....( un)  « leadership indispensable pour la santé et les droits des femmes et des jeunes filles ».

en io-relation ....

 quotas, ensemble-HOMENTRANCHE, planning familial, individualisme, embryon, cellules souches embryonnaires, réification, ONU, gouvernement mondial, totalitarisme, barbarie, société mortifère ....

identité ...altérité ... homme-femme

des cas particuliers ..faire un système ..... 

une société mortifère ....Qu'y a-t-il de plus triste, en effet que de voir une mère supprimer son enfant, un médecin son patient, une nation, sa jeune population....

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Journée internationale de la femme ....

Des « droits » révolutionnaires ...

 

Auteur: JEANNE SMITS

Source: Présent, le 6 mars 2004

paru à propos de la journée de la femme

C'est Kofi Annam, secrétaire général de l'ONU, qui l'a rappelé avec la plus grande clarté lors d'un gala en janvier. Recevant le prix de la Coalition internationale pour la santé_ des femmes (IWHC), il a insisté sur le caractère révolutionnaire du combat pour les « droits des femmes » « II faut arriver à une révolution sociale profonde qui donnera plus de pouvoir aux femmes, et qui transformera les rapports entre hommes et femmes à tous les niveaux de la société. »

Tel est l'agenda des organisations supra-nationales, le but qu'elles poursuivent avec acharnement, s'il le faut envers et contre la volonté des Etats. C'est le Nouvel Ordre Mondial, susceptible de bien des avatars mais toujours d'une façon ou d'une autre au service de la culture de mort.

A quelques jours de la Journée internationale de la femme, le 8 mars, le groupe de vigilance américain CFam a attiré l'attention du public sur la scandaleuse cérémonie à laquelle Kofi Annan s'est soumis avec enthousiasme, alors que l'IWHC fait ouvertement la promotion de l'avortement légal dans le monde entier, et là où celui-ci n'est pas en place, pour le contournement des législations trop « restrictives ».

Le secrétaire général de l'ONU a félicité l'organisme pour le travail qu'il accomplit à travers le monde, louant son « leadership indispensable pour la santé et les droits des femmes et des jeunes filles ».

Un exemple, donc, la politique de l'IWHC qui recommande aux avorteurs, dans les pays où celui-ci n'est possible qu'en cas de danger pour la mère, de redéfinir cette notion en y intégrant le « risque de mort qu'entraînerait une intervention illégale. Sans contester qu'aucun document de l'ONU n'exprime clairement le « droit à l'avortement », l'IWHC recommande d'interpréter ces instruments internationaux « de façon large et habile ». Ainsi; le « droit à la vie » affirmé au premier article de la Déclaration universelle des droits de l'homme inclut selon la Coalition le droit à l'avortement, au même motif que l'avortement illégal comporte un risque de mort (pour la mère...).

La Coalition encourage également les activités du Fonds de la Population des Nations unies visant à distribuer les abortifs chimiques et les pilules du lendemain, notamment dans les camps de réfugiés où les kits d'urgence estampillés ONU comportent des aspirateurs manuels pour ce qu'on appelle « la régulation menstruelle » : avortements très précoces qui se cachent derrière cette appellation anodine. Elle ouvre une fenêtre, explique l'IWHC, dans les pays où l'avortement est interdit...

Un exemple étincelant, je vous dis.

Pendant ce temps, en France, les ritournelles féministes sont à la une des journaux, des magazines et bien sûr de l'Humanité qui est depuis toujours à la pointe du combatpour-let-femmes.

Concrètement, la Ville de Paris organise des événements symboliques tel un match de football mixte entre enfants de CM2 sur le parvis de l'Hôtel de Ville, ou la création d'une place « Flora-Tristan » dans le Me arrondissement. Le PS propose des mesures pour prolonger l'action féministe de Lionel Jospin qui a assuré, entre autres, un « meilleur accès à l'IVG » et promu la réforme du droit de la famille (bientôt : la répudiation en deux ans). Le parti propose la mise en place de délégations régionales chargées de surveiller l'égalité entre hommes et femmes...

Plus cocasse, un député UMP, Jean-Yves Hugon, a demandé au gouvernement d'abroger enfin une loi du 26 brumaire de l'an IX qui interdit toujours aux femmes le port du pantalon.

Et pour les mères de familles nombreuses, les femmes au foyer, toutes les autres qui sont au travaux forcées (au régime de la double journée) ? Rien. Zéro. Pour avoir des droits, il faut penser à être politiquement correcte.

JEANNE SMITS

 

texte hébergé en  10/04

 

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