l'Eurotranches  ... à l'image des banlieue ...???

Dossier :

Présentation :...voici quelques textes en illustration bien, à mon avis, l'idée de la lutte de l'Eurotranches instrumentalisant la soif d'extension de ENUN pour assurer sa domination. Le premier concédant des sous-coques de pouvoir au second pour asseoir son pouvoir. Le second constituant ces sous coques espérant pouvoir un jour les adjoindre; les englober à la Coque Unique de ENUN.... au dépend de l'HOMENTRANCHE .... La lutte est ouverte pour la constitudetion de l'Euromillets  ( l'Europe de Bruxelles); étape intermédiaire soit vers  l'HOMENTRANCHE mondial (le gouvernement mondial) .... soit de l'extension occidentale de  l'Eurorond ... (l'Eurabia )... Tout ceci, naturellement, au détriment de homocoques français --européen-- occidental ...perdant radical

Extraits :   Les fabricants de la toussaint grise ...l’idée d’une mise en place de la « discrimination positive » progresse. .....tout le monde sait les ravages que cette expérience, « affirmative action », a provoqués aux États-Unis. Personne n’ignore qu’elle est aujourd’hui abandonnée. 

Violences urbaines : c'est l'Etat qui a pris feu ..Qui reconnaîtra l'inanité du discours archéo-républicain puisque des communautés existent ?  Qui admettra que l'affirmative action à l'américaine aurait dû être tentée depuis longtemps, puisque la discrimination est réelle ?

Violences urbaines en France: la faute à la CIA ... et de l'Etat ... A l'origine des événements qui secouent la France on trouve "un mélange explosif", composé du "désir des services spéciaux américains d'affaiblir l'Europe" et de "conditions favorables offertes aux immigrés",

en z relations ....  

 l'Euromillets ...à l'image des banlieue ...???...le Premier ministre (en) exprimant "à la communauté musulmane tout entière son estime, son respect et qui est dans son coeur à égalité avec tous les cultes de France". ... allégeance  ....

 l'Eurorond ....à l'image des banlieue ...?????? 

 

 

 

 

VENDREDI 4 NOVEMBRE 2005

JG Malliarakis  et son site http://www.europelibre.com

http://www.europelibre.com/CL2005/etl051104.htm

LES FABRICANTS DE LA TOUSSAINT GRISE

Cette nuit, les bandes ont encore répondu ainsi à l'appel au « calme » du pépé gâteux dépassé par les « événements »...

Depuis une semaine la France vit à l'heure d'une (petite) Toussaint grise. On commence, ce n'est encore qu'un vent léger, à parler des « événements » de Clichy-sous-Bois. Ces « événements » se sont rapidement étendus à plusieurs autres communes de l’Ile-de-France. Les « événements » partent d'un accident provoqué par l'imbécillité de deux malheureux « fuyards innocents ». Les bandes se « colèrent » (1) en brûlant des voitures, des départs d'incendie par centaines.

Dans cette « nuit calme » du 3 au 4 novembre, répondant ainsi à l'appel au « calme » du chef de l'État, pépé gâteux dépassé par les « événements », il y aura eu « moins d'affrontements », mais 400 voitures brûlées « environ », et seulement 27 bus dans un dépôt à Trappes.

Dans ces « événements » l'assassinat, à froid, d'un Français à Épinay-sur-Seine fait figure d'incident de parcours.

Le « 9-3 » a vite fait tache d’huile et les forces de l’ordre paraissent singulièrement désarmées. On continuera donc peut-être à parler des « événements » sans évidemment jamais parler de « guerre ». La guerre c'est pour les autres. Notre armée n'a pas d'ennemis, et haro sur les militaires qui se lasseraient de faire la nounou. La guerre c'est bon pour la Côte-d’Ivoire, malgré les accords de Marcoussis pensés par M. Chirac et imposés, sur le papier, aux Ivoiriens par M. de Villepin.

Toujours les mêmes. Mais qu'allais-je dire ? En France quand des bandes incendient et caillassent les forces de l'ordre aux cris de « Allah ou-akbar », sous le règne de Chirac et le gouvernement de M. de Villepin ce n'est pas pareil.

Fait rarissime, cependant, dans l’histoire des gouvernements républicains, les désaccords entre ministres s’étalent au grand jour. C'est ce qui se passe très souvent à la veille des invasions (2).

Fait gravissime dans un pays où le roi Dagobert (622-639) avait supprimé le statut personnel distinguant les conquérants barbares des régnicoles gallo-romains, l’idée d’une mise en place de la « discrimination positive » progresse.

Ce funeste programme réconcilie secrètement les clans apparemment antagonistes.

Enfonçons un peu le clou : tout le monde sait les ravages que cette expérience, « affirmative action », a provoqués aux États-Unis. Personne n’ignore qu’elle est aujourd’hui abandonnée. Or, sous des formes différentes, la classe politique française semble en voix de s’accorder pour la mettre en place dans l’hexagone. Et, chose importante à souligner, ceci se développe à contre-emploi, comme à contre-jour dans un théâtre d’ombres.

Officiellement, le ministre de l’Intérieur « avec un joli mouvement du menton » (3) adopte une mâle attitude de lutte contre ce qu'il appelle lui-même la « racaille »

Aucun mot n’est trop fort. Demain on l'entendra parler de canaille, de chienaille, etc. Mais, hélas, les solutions qu’il propose, celles qu’il a déjà commencé à instituer avec le Conseil du Culte musulman, relèvent très exactement du communautarisme et se réclament de la discrimination positive.

Au contraire, ses rivaux, aussi bien le Premier ministre, le p. de la r. et leur poisson-pilote Azouz Begag, se disent hostiles à cette doctrine. Ce sont des jacobins, que diable ! Des républicains purs et durs ! Cela ne les empêche pas de suggérer concrètement qu’on s’appuie un peu plus sur les représentants (non élus) communautariste. Dans la pratique, la ligne de démarcation est mince.

Tentons un débrouillage de ce « combat de nègres dans un tunnel » (oh !).

D’abord, en France, que sont les « cités » ?

Et qui les a installées ?

Pour ceux qui auraient manqué les épisodes précédents : il existerait entre 700 et 800 zones périurbaines, chacun le sait, où non seulement l’ordre public n’existe plus, mais également où les fonctions professionnelles élémentaires ne peuvent plus être assumées. Les dépanneurs, les médecins, les livreurs refusent de plus en plus d’être à la merci de la violence du contre-pouvoir, de fait, des éléments « jeunes » et « communautaires ».

Depuis quelque 20 ans on prétend répondre à cette situation par une « politique de la ville ». Hier Tapie (empêché) aujourd'hui Borloo. On crie, à chaque fois : bravo !

Mais pour mettre en place cette politique, on utilise les mêmes équipes, les mêmes principes, les mêmes mécanismes financiers qui ont construit, géré, financé, la construction, l’aménagement, le peuplement et la dégradation de ces réalités grises.

On dit par exemple : « l’office public de HLM », géré par les cocos et les francs-macs, a du mal à encaisser les loyers, à faire payer les charges, à faire observer les règlements, à entretenir, etc… On va donc donner ou essayer de lui donner « plus de moyens ». C’est le discours de la CGT.

De suspects N° 1, le PC et le grand orient se transforment ainsi en procureurs.

Mais, curieusement, alors que ce parti, électoralement, ne représente plus rien, ce qu’il suggère en noir, on l’applique en gris. On pourrait égrener la triste litanie de nos politiciens, on peut s’arrêter à n'importe quel visage : tous suivent la même pente. Le PC demande 100, ils promettent 50 et donneront finalement 25, volés au contribuable, et sur lesquels ils prélèveront 15 : cela n’a pas d’importance, l’unité de compte est la même, la direction est identique.

Or, si l’on veut bien observer la politique du logement et de la construction en France, (depuis le moratoire des loyers de 1914-1918 et depuis la loi Loucheur de 1928), tout s’est enchaîné selon la même logique de pénurie, de misérabilisme et de collectivisme.

Ah ! Mais, dira-t-on, tout cela était supportable jusqu’à l’arrivée des affreux immigrés. Je conçois bien, descendant d’un précipice, que certains n'en mesurent la chute qu’à l’arrivée. Nous y sommes presque et les yeux s’ouvrent de plus en plus. Mais on doit bien comprendre, aussi, que ce n’est pas l’immigration qui a produit l’assistanat, c'est le contraire. Au départ, les « cités » n’ont pas été faites pour les Étrangers.

Or, une seule chose n’a pas changé dans ces jolis villages devenus d’affreuses banlieues : c’est le nom des rues, c’est la couleur du conseil municipal, c’est la doctrine administrative. On est toujours avenue Lénine, Duclos ou Benoît Frachon, on vote toujours pour « l’union de la gauche », on pleure et communie toujours dans la nostalgie de Robespierre, dans le mythe de l’Égalité et de l’Étatisme.

Dernier détail pittoresque : aux « jeunes » on propose un produit étatiste directement importé d’Allemagne de l’Est par le « crétinisme municipal ». Le désœuvrement les ronge ? on leur construit donc des stades et des piscines (tout cela étant ouvert en fonction des horaires syndicaux). Bientôt on les conviera à la fête de l’Être suprême, à fleurir le char de la Déesse Raison. Ce jour-là, nous pourrons espérer entrevoir la fin de la Terreur.

On n’arrête pas le Progrès…

En attendant, la faille apparente de nos dirigeants ne doit pas nous tromper. La République est « une et indivisible », et « la Révolution est un bloc »…

JG Malliarakis

©L'Insolent

(1) Ce verbe « colérer » est un legs langagier de Robespierre : « il faut colérer le peuple ». Remarquer que dans la langue conventionnelle franco-médiatique d'aujourd'hui, la « colère » des mécontents est supposée légitime ; la « grogne » des classes moyennes l'est moins : ce sont les cochons (cochons de payants sans doute) qui « grognent ».

(2) Voir à ce sujet le premier chapitre La Conquête de l'Espagne par les Arabes. La suite, hélas dure 800 ans...

(3) Rien n'a changé, de ce point de vue, depuis Maurice Barrès.

 
 
 

Violences urbaines : c'est l'Etat qui a pris feu

 

Auteur:   Guy Sorman *

Source:  http://www.lefigaro.fr/debats/20051114.FIG0161.html

Date :     14.11.05   

La guérilla urbaine engagée par les «jeunes des banlieues» n'est qu'un témoignage de plus de la déconnexion totale entre la société française telle qu'elle est devenue et la classe politique telle qu'elle ne change pas. L'Etat en France, c'est-à-dire ceux qui le dirigent, manifeste depuis une trentaine d'années un remarquable autisme qui affecte équitablement tous les partis : tous, il est vrai, recrutent dans le même marigot défini par quelques grandes écoles parisiennes. Pour l'Etatocratie, rien ne change et rien ne doit changer parce que la France est parfaite comme elle est et parfaite comme elle le fut. La conception de l'Etat, les manières de le gérer sont immuables, définies au XIIIe siècle : il convient que la société s'y adapte. Dans cette idéologie de l'Etat, il existe un modèle parfait que le monde nous envie, l'Etat en haut, la société en bas. L'Etat fixe le cap, la société suit. Cette société est constituée d'individus égaux par définition.

Or, depuis les années 1980, l'Etat parle dans le vide et la société file dans mille autres directions. Exemple : il n'existe plus aucune relation entre l'économie française, capitaliste et mondialisée, et une politique économique hexagonale à base de subventions aux agriculteurs qui entre-temps ont disparu. De même, il n'existe plus de relation entre le discours d'Etat sur l'immigration – interdite en droit – et les immigrés qui arrivent en nombre pour jouir de nos excellentes écoles et de nos très bons hôpitaux. Plus aucune relation non plus entre le discours d'Etat républicain sur la citoyenneté et la laïcité d'un côté et la Constitution de l'autre, de communautés ethniques et religieuses.

En somme, l'Etat est nu, mais il ne le sait pas ; la classe politique réfugiée dans ses palais du XVIIIe siècle et, dans deux arrondissements de Paris, assistés d'une haute fonction publique à son image, fort peu représentative, plus que jamais occupée à ses querelles internes, a pour principal objectif sa propre survie. Pendant ce temps, la France – réelle – brûle. Notre police étant efficace, on ne doute pas que le feu sera éteint et que tout reprendra comme avant car l'autisme d'Etat n'est pas plus curable que celui des enfants.

La société française s'est balkanisée, auto-organisée sur la base de solidarités nouvelles, à tous les milieux : le patronat s'est internationalisé, les étudiants se sont dépolitisés, les syndicats ne défendent plus les ouvriers mais leurs intérêts particuliers, les partis ont perdu leurs militants, les immigrés ont créé une économie parallèle. Toutes ces microsociétés habitent en France mais ne constituent plus une République française : les jeunes immigrés le disant plus clairement que d'autres, car ne possédant rien, ils n'ont rien à perdre. Il existerait bien une thérapie, mais lourde qui pourrait tuer le patient. Elle s'appelle l'autocritique. Mais imagine-t-on la classe politique avouer qu'elle a très mal géré l'Etat depuis vingt-cinq ans ? Qui s'avouera responsable du déficit public le plus sérieux en Europe ? Qui reconnaîtra l'inanité du discours archéo-républicain puisque des communautés existent ? Qui admettra que l'affirmative action à l'américaine aurait dû être tentée depuis longtemps, puisque la discrimination est réelle ? Qui avouera que l'Etat français se mêlant de tout, d'économie, de culture, d'interventions militaires et autres nobles ambitions, est devenu sur le terrain totalement inefficace : il y a deux ans, il laissa mourir trente mille vieillards déshydratés dans des maisons de retraite non climatisées. Voici qu'il se montre incapable de résister à quelques centaines de commandos de voyous. L'Etat ? Il est partout où la société n'a plus besoin de lui ; il est absent là où il serait nécessaire. Cet autisme politique est la véritable cause des incendies : à force de nous interroger sur une poignée d'incendiaires adolescents, demandons-nous pourquoi l'Etat ne les a pas vus venir ? Qui a créé les zones de non-droit d'où l'incendie est parti ? Les adolescents ou l'Etat autiste ?

* Essayiste.

texte hébergé en  11/05

 

 
 

 

 

Source:  

http://forum.subversiv.com/index.php?id=90604

http://fr.news.yahoo.com/07112005/202/violences-urbaines-en-france-la-faute-la-cia-selon-jirinovski.html

 

lundi 7 novembre 2005, 17h53

Violences urbaines en France: la faute à la CIA ... et de l'Etat ... selon Jirinovski

MOSCOU (AFP) - Le leader ultra-nationaliste russe Vladimir Jirinovski, coutumier de déclarations choquantes, a livré son interprétation des violences dans les banlieues parisiennes: il s'agit d'un complot des services spéciaux américains.

A l'origine des événements qui secouent la France on trouve "un mélange explosif", composé du "désir des services spéciaux américains d'affaiblir l'Europe" et de "conditions favorables offertes aux immigrés", a-t-il dit sur la radio Echo de Moscou lundi.

"J'estime qu'il s'agit d'une opération planifiée avec la participation des services spéciaux des Etats-Unis qui veulent mettre à genoux l'Europe devenue plus solide et en même temps détruire l'Union européenne", a encore asséné M. Jirinovski. Des théories de complot mondial, souvent anti-russe, sont relativement populaires en Russie.

Il a conseillé aux autorités françaises de décréter l'état d'urgence et de fermer les frontières aux migrants.

"En France, on choie les étrangers, personne ne touche aux immigrés, on ne leur fait aucune observation, et donc ils ont compris qu'ils avaient le pouvoir, qu'on avait peur d'eux et qu'on pouvait passer à l'attaque", a estimé l'homme politique russe.

 

 

8.11.05....le fig ..CROISSANCE... Le FMI donne un bon point à la France  Le fonds monétaire international affiche encore des prévisions de croissance très inférieures à celles de Bercy mais loue la récente volonté de réformes. Et le FMI d'inviter le gouvernement à poursuivre sa méthode de «réforme par recherche graduelle de consensus» qui semble «s'avérer payante» sur certains sujets. ... le 8.11 ...le gouvernement annonce de la possibilité d'instauration du feu ... hausse de l'indice CAC ... du premier mort des émeutes ...

 

texte hébergé en  11/05

 

 
 
 

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