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L'Evangile,
la parole tierce ..ou chemin vers la vie
.... ou ... mode d'emploi de la vie ... ou ... éveilleur de conscience |
Dossiers :
de l'homme en coques |
Présentation : ...
...
la parole tierce :.... le divin parle : « Va vers toi
» ....Le fait est qu'un jour ou
l'autre, un être humain qui entend en lui-même un peu de parole libre et
qui trouve confirmation, dans l'écoute d'un autre, de ce qui parle en
lui, cet être humain change le cours de son destin.......
C'est bien le « Va vers toi »
qu'il recherche ; lorsque les communautés religieuses ne portent pas ou
plus cette parole, il faut bien que la société humaine se donne d'autres
passeurs, de ces êtres qui en conduisent d'autres vers l'autre rive
(hébreu : un de l'autre côté, un d'au-delà'). La guérison escomptée
vient par surcroît, comme conséquence d'une mutation autrement plus
radicale et qui concerne l'identité. Plus le sujet ira vers lui-même,
moins il sera malade.
"Il grandissait en sagesse,en taille et
en grâce sous le regard de Dieu et des hommes."
(Lc 2, 52)
Textes :
la
plupart des textes d'Evangile proviennent d'EVANGILE AU QUOTIDIEN auquel
vous pouvez vous abonner directement en cliquant
ICI ,
partie du site
http://www.fsjinfo.net/
Simone Weil
: L'amour inconditionnel de l'Eglise est de l'idolâtrie.
Evangile...craignez
(plutôt) celui qui peut faire périr dans la géhenne l'âme aussi bien que
le corps.
Un rabbin parle des
casseurs de coques « A un certain niveau, même
l’antisémitisme qui conduit à la destruction du peuple juif, n’est pas
le mal ultime. Le mal ultime consisterait à prendre un juif, ou
n’importe qui d’autre, et d’essayer de le détruire spirituellement.
C’est cela qui serait l’ultime holocauste. »
«
Que possèdes-tu que tu n'aies reçu ? » (1Co 4,7) ..« Sur le
rivage ... on ramasse ce qui est bon » .
« C'est ainsi que tout
scribe devenu disciple du Royaume des cieux est comparable à un maître
de maison qui tire de son trésor du neuf et de l'ancien. » ...
Le pape
explique pourquoi Jésus fait des miracles : « Jésus veut
ainsi révéler le visage du vrai Dieu, le Dieu proche, plein de
miséricorde pour tout être humain ; le Dieu qui nous donne la vie, sa
vie, en abondance. Le royaume de Dieu est donc la vie qui s'affirme sur
la mort, la lumière de la vérité qui dissipe les ténèbres de l'ignorance
et du mensonge »
La mesure
de la valeur de chacun est celle de l’amour « A ce moment-là et à
travers ce geste cette femme déclare : je crois que tu es l'amour. Je
n'avais pas rencontré l'amour jusqu'à aujourd'hui, mais maintenant que
je t'ai rencontré j'ai compris que Dieu est amour ». «
Et Jésus dit à Simon qui l'avait invité : en apparence tu es bon, mais
ton cœur est de glace, aux yeux de Dieu tu ne vaux rien. Cette femme en
revanche a compris, elle a rencontré l'amour. Eh, bien cette femme est
plus grande que toi .... "nous avons tous
besoin de nous convertir pour accueillir la merveilleuse nouvelle de
l'Evangile : la mesure de la valeur de chacun est celle de l'amour
».
« Je donne ma vie pour mes brebis » Dans l'Orient ancien, il était
d'usage que les rois se désignent eux-mêmes comme les pasteurs de leur
peuple. C'était une image de leur pouvoir, une image cynique : les
peuples étaient pour eux comme des brebis, dont le pasteur pouvait
disposer selon son bon vouloir.
« L'humilité intellectuelle » est la première règle pour qui scrute les
Ecritures ...« L'idéal moral, commente-t-il, consiste toujours à
réaliser une intégration harmonieuse entre la parole et l'action, la
pensée et l'engagement, la prière et le dévouement aux devoirs de son
propre état : telle est la route pour réaliser cette synthèse grâce à
laquelle le divin descend dans l'homme et l'homme s'élève jusqu'à
l'identification avec Dieu
En Jésus l'Ecriture est devenue vivante. Elle est devenue
Quelqu'un. Jésus est la parole de Dieu devenue homme. Il est le Verbe de
Dieu fait chair !
en
z
relations
....
homMULTenUN ...science de l'homme ...
Saint Grégoire
de Nysse, Il trouva ce bien suprême dans le christianisme, grâce
auquel est possible « l'imitation de la nature divine » Benoit
XVI
Liste de livre avec
" évangile et vie " fruit d'une recherche sur
Amazone
Card. Schönborn : Le christianisme, une véritable alternative (I)
co-naître
....et co-naissance .... Jean Chrysostome se soucia
d’accompagner par ses écrits le développement intégral de la personne,
dans les dimensions physique, intellectuelle et religieuse. Les diverses
phases de la croissance sont comparées à autant de mers d’un immense
océan ! « La première de ces mers est .....
Jean-Paul II, les universités catholiques et l'avenir de l'humanité
..... l’interaction vitale entre
la foi et la culture.
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n Simone
Weil
... Il n'y a que trois amours
inconditionnels : l'amour de Dieu, l'amour anonyme du prochain,
l'amitié de deux saints.
L'amour inconditionnel de l'Eglise
est de l'idolâtrie.
On a le droit d'aimer
inconditionnellement que ce qui est inconditionné. c'est-à-dire Dieu
et la présence infuse de Dieu -- soit actuelle dans un saint, soit
potentielle de toute créature pensante.
Il y a une chose inconditionnée
dans l'Eglise, mais c'est seulement en la présence du Christ dans
l'Eucharistie.
L'Eglise comme société émettant des
opinions est un phénomène de ce monde, conditionné.
Dieu a mis en tout être pensant la
capacité de lumière nécessaire pour contrôler la vérité de toute
pensée. Le Verbe est la lumière qui éclaire tout homme. Quel texte
plus formel pourrait-on désirer?
L'Évangile contient une conception
de la vie humaine, non une théologie.
Si dehors, dans la nuit, j'allume
une lampe électrique de poche, ce n'est pas en regardant l'ampoule que
j'en juge la puissance, mais en regardant quelle quantité d'objets est
éclairée.
L'éclat d'une source lumineuse
s'apprécie par l'éclairement projetée sur les objets non lumineux.
La valeur d'une forme de vie
religieuse, ou plus généralement spirituel, s'apprécie par
l'éclairement projetée sur les choses ici-bas.
Les choses charnelles sont le
critérium des choses spirituelles.
C'est ce qu'on ne veut généralement
pas reconnaître, par ce qu'on a peur d'un critérium.
La vertu d'une chose quelconque se
manifeste hors d'elle.
Si sous prétexte que les choses
spirituelles ont seule une valeur on refuse de prendre pour critérium
l'éclairage projeté sur les choses charnelles, on risque de n'avoir
pour trésor que du néant.
Les choses spirituelles ont seule
une valeur, mais les choses charnelles ont seule une existence
constatable. Par suite la valeur des premières les constatable que
comme éclairement projeté sur les secondes.
Dieu, qui a voulu créer ce monde, a
voulu qu'il en soit ainsi.
page ouverte en 0707
Ne craignez pas ceux
qui tuent le corps, mais ne peuvent pas tuer l'âme ; craignez plutôt
celui qui peut faire périr dans la géhenne l'âme aussi bien que le corps.
samedi 14
juillet 2007
Le samedi de la 14e semaine du
temps ordinaire
Saint(s) du jour :
St Camille de Lellis, fondateur (+ 1614),
St Ulric de Cluny, o.s.b. (+ 1093)
Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Saint Patrick :
« Ce que vous entendez dans le creux de l’oreille, proclamez-le sur
les toits »
Evangile de Jésus-Christ
selon saint Matthieu 10,24-33.
Le disciple n'est pas au-dessus de son maître, ni le serviteur
au-dessus de son seigneur. Le disciple doit se contenter d'être comme
son maître, et le serviteur d'être comme son seigneur. Si le maître de
maison s'est fait traiter de Béelzéboul, ce sera bien pire pour les
gens de la maison. Ne craignez pas les hommes ; tout ce qui est voilé
sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu. Ce que je vous dis
dans l'ombre, dites-le au grand jour ; ce que vous entendez dans le
creux de l'oreille, proclamez-le sur les toits. Ne craignez pas ceux
qui tuent le corps, mais ne peuvent pas tuer l'âme ; craignez plutôt
celui qui peut faire périr dans la géhenne l'âme aussi bien que le
corps. Est-ce qu'on ne vend pas deux moineaux pour un sou ? Or, pas un
seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille. Quant à vous,
même vos cheveux sont tous comptés. Soyez donc sans crainte : vous
valez bien plus que tous les moineaux du monde. Celui qui se
prononcera pour moi devant les hommes, moi aussi je me prononcerai
pour lui devant mon Père qui est aux cieux. Mais celui qui me reniera
devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est
aux cieux.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Commentaire du jour :
Saint Patrick (vers 385-vers 461), moine missionnaire, évêque
Confession, § 43- 47 (trad. SC 249, p. 119s rev.)
« Ce que vous entendez dans le creux de
l’oreille, proclamez-le sur les toits »
Je n’ai pas commencé ce travail de moi-même, mais c'est le
Christ Seigneur qui m'a ordonné de venir passer auprès des Irlandais
païens le reste de mes jours -- si le Seigneur le veut et s'il me
préserve de toute voie mauvaise… Mais je n'ai pas confiance en
moi-même « tant que je demeure dans ce corps de mort » (2P 1,13;Rm
7,24)… Je n'ai pas mené une vie parfaite comme d'autres fidèles, mais
je le confesse à mon Seigneur et je ne rougis pas en sa présence. Car
je ne mens pas : depuis que je l'ai connu dans ma jeunesse, l'amour de
Dieu a grandi en moi, ainsi que sa crainte, et jusqu'à présent, par la
grâce du Seigneur, « j'ai gardé la foi » (2Tm 4,7).
Que rie donc et que m'insulte qui voudra ; moi, je ne me tairai
pas et je ne cacherai pas « les signes et les merveilles » (Dn 6,27)
que le Seigneur m'a montrés, bien des années avant qu'ils ne soient
accomplis, lui qui connaît toutes choses. C'est pourquoi je devrais
rendre sans cesse grâces à Dieu, qui a si souvent pardonné ma sottise
et ma négligence, et aussi de ce qu'il ne se soit pas une seule fois
irrité contre moi, qui ai été donné comme évêque. Le Seigneur « a eu
pitié » de moi « en faveur de milliers et de milliers d'hommes » (Ex
20,6), parce qu'il voyait que j’étais disponible… En effet nombreux
étaient ceux qui s'opposaient à cette mission ; ils parlaient même
entre eux derrière mon dos et disaient : « Pourquoi celui-là se
jette-t-il dans une entreprise périlleuse chez des étrangers qui ne
connaissent pas Dieu ? » Ce n'est pas par malice qu'ils s'exprimaient
ainsi ; moi-même, je l'atteste : c’est à cause de ma rusticité qu’ils
ne pouvaient pas comprendre pourquoi j’ai été nommé évêque. Et moi, je
n’ai pas été prompt à reconnaître la grâce qui était en moi.
Maintenant tout cela est devenu clair pour moi.
Maintenant donc j’expose simplement à mes frères et à mes
compagnons de service qui m'ont cru, pourquoi « j'ai prêché et
continue de prêcher » (2Co 13,2), en vue de fortifier et de confirmer
votre foi. Puissiez-vous ambitionner, vous aussi, des buts plus élevés
et accomplir des oeuvres plus excellentes. Ce sera ma gloire, car « un
fils sage est la gloire de son père » (Pr 10,1).
Après la décision par la Haute Cour israélienne,
mardi, de reconnaître légalement en Israël les « mariages »
homosexuels contractés à l’étranger par les nationaux de ce pays,
un rabbin s’est exprimé en termes… étonnants, rapportés par
John-Henry Westen de
www.lifesite.net, réalisateur de cette interview. Le rabbin
Yehuda Levin était l’envoyé spécial en Israël de l’Union des
rabbins orthodoxes des Etats-Unis et de l’Alliance rabbinique
d’Amérique ; à Jérusalem, il venait en outre de représenter plus
de mille rabbins au sein de la coalition chrétienne, musulmane et
israélite qui avait réussi à y empêcher la tenue d’une « Gay Pride
» il y a quelques semaines.
Le rabbin Levin – qui jouit, selon Westen, d’un réel prestige
international – a déclaré qu’il serait « bien pire de permettre l’homosexualisation
de la Terre Sainte que de rendre de la terre aux Arabes ».
« Il y a quelque chose de bien pire que de prendre une
personne innocente et de l’exterminer en ce monde : c’est de
prendre une personne innocente et de l’exterminer en ce monde et
dans l’autre. On le fait en l’amenant au péché licencieux. Ainsi
vous le tuez, comme nos rabbins l’enseignaient dans le Talmud il y
a plus de 2000 ans : vous le tuez en ce monde et dans l’autre en
l’amenant au péché licencieux que ce soit l’adultère, ou une autre
perversion ou l’homosexualité, le péché sexuel. Cela, c’est pire
que de tuer », selon le rabbin Levin. Précisant que cela
n’excusait en aucune manière n’importe quel type de génocide ou
d’holocauste, il ajouta : « A un certain niveau, même
l’antisémitisme qui conduit à la destruction du peuple juif, n’est
pas le mal ultime. Le mal ultime consisterait à prendre un juif,
ou n’importe qui d’autre, et d’essayer de le détruire
spirituellement. C’est cela qui serait l’ultime holocauste. »
Le rabbin a appelé juifs, chrétiens et musulmans à coopérer dans
la lutte contre une « homosexualisation du monde » pour défendre
les exigences de Dieu, et pour éviter sa colère : « La meilleure
façon de montrer son opposition à l’holocauste historique est
d’arrêter l’holocauste de l’esprit qui est aujourd’hui perpétré
par le militantisme homosexuel ».
Pour le rabbin Levin, la décision de la Haute Cour israélienne est
directement liée au mouvement de la Gay Pride, et à son avis tout
cela constitue « une menace directe à l’égard de personnes à
travers le monde et spécialement des Amériques, dans la mesure où
certains éléments de la communauté musulmane internationale
n’attendent que ce genre de « preuve » de la malignité des
relations entre les Etats-Unis et Israël, l’Amérique étant accusée
d’exporter les pires éléments de sa culture vers l’Etat hébreu, vu
comme portail du Moyen-Orient.
Tout cela est dit en des termes qu’on ne peut qualifier de
politiquement corrects... Mais il est intéressant de connaître
l’avis d’un rabbin respecté sur la question.
Source :
ici.
page ouverte en 06/07
Le jeudi de la 17e semaine du
temps ordinaire
Saint(s) du jour :
St Etienne Ier, pape (+ 257),
St Pierre-Julien Eymard, fondateur (+ 1868)
Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Saint Augustin :
« Sur le rivage...on ramasse ce qui est bon »
Evangile de
Jésus-Christ selon saint Matthieu 13,47-53.
Le Royaume des cieux
est encore comparable à un filet qu'on jette dans la mer, et qui
ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur
le rivage, on s'assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et
on rejette ce qui ne vaut rien. Ainsi en sera-t-il à la fin du monde :
les anges viendront séparer les méchants des justes et les jetteront
dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des grincements de
dents. Avez-vous compris tout cela ? — Oui », lui répondent-ils. Jésus
ajouta : « C'est ainsi que tout scribe devenu disciple du Royaume
des cieux est comparable à un maître de maison qui tire de son trésor
du neuf et de l'ancien. » Jésus acheva ainsi de proposer des
paraboles, puis il s'éloigna de là.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Commentaire du jour :
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du
Nord) et docteur de l'Église
Discours sur le Psaume 95, 14-15 (trad. bréviaire)
« Sur le rivage...on ramasse ce qui est bon »
« Il jugera le monde avec justice, et les peuples
selon sa vérité. » (Ps 95,13) Quelle justice et quelle vérité ? Il
rassemblera auprès de lui ses élus (Mc 13,27) ; les autres, il les
séparera, car il mettra ceux-ci à sa droite, et ceux-là à sa gauche
(Mt 25,33). Qu'y aura-t-il de plus juste, de plus vrai que cela ? Ils
n'attendront pas du juge la miséricorde, ceux qui n'ont pas voulu
exercer la miséricorde avant la venue du juge. Ceux qui ont voulu
exercer la miséricorde seront jugés avec miséricorde (Lc 6,37). Car il
dira à ceux qu'il aura mis à sa droite : « Venez, les bénis de mon
Père, recevez en héritage le royaume préparé pour vous depuis la
création du monde ». Et il leur attribue des actes de miséricorde : «
J'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous
m'avez donné à boire », et toute la suite (Mt 25,31s)...
Parce que tu es injuste, le juge ne sera pas juste ? Parce qu'il
t'arrive de mentir, la vérité ne sera pas véridique ? Si tu veux
rencontrer un juge miséricordieux, sois miséricordieux avant qu'il
vienne. Pardonne, si l'on t'a offensé ; donne les biens que tu
possèdes en abondance... Donnes ce que tu tiens de lui : « Que
possèdes-tu que tu n'aies reçu ? » (1Co 4,7) Voilà les sacrifices
qui sont très agréables à Dieu : miséricorde, humilité,
reconnaissance, paix, charité. Si c'est cela que nous apportons, nous
attendrons avec assurance l'avènement du juge, lui qui « jugera le
monde avec justice, et les peuples selon sa vérité ».
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Voici une liste de livres
sélectionnés via Amazon.fr en recherchant à partir des
deux mots : "évangile vie"
Les livres précédés
de
ont été achetés ce 22.07.07
L'evangile, règle de vie par
Letousey Andre
Le sens chrétien formé par l'étude des textes .
Ouvrage couronné par l'Académie Française . 3e édition revue et
complétée . Dessins de Pierre PERRIN . Broché 681 Pages |
Jésus, la porte de la vie : L'Evangile de Jean- Anselm Grün
Broché
EUR 15,11
Présentation de l'éditeur
Anselm Grün livre ici pour la première fois sa
lecture toute personnelle et savoureuse, experte mais non savante, de
l'Évangile de Jean, chapitre après chapitre. Elle se nourrit de ses
interrogations, de ses découvertes, de sa longue expérience de
l'écoute et de l'accompagnement personnel, de sa connaissance intime
de la détresse humaine. Plus encore : elle puise dans la sagesse
orientale, la fréquentation du bouddhisme et la pratique de la
méditation zen. L'auteur renouvelle notre regard sur l'Évangile de
Jean, trésor de sagesse psychologique et spirituelle. Jésus s'y révèle
voie vers la vie pour l'homme contemporain, chemin d'accès à
soi-même en même temps qu'à Dieu.
Biographie de l'auteur
Anselm Grün est moine bénédictin, docteur en
théologie. Ses livres sont traduits dans le monde entier. Il s'impose
comme un grand maître spirituel d'aujourd'hui
La joie par l'evangile- Auclair Marcelle Reliure inconnue
Prix du vendeur :EUR 9,40
Présentation de l'éditeur
A deux hommes qui le suivaient, Jésus demanda : "Que cherchez-vous ?"
Cette question, il la pose à chacun de nous. Que cherchons-nous, l'âme
en peine ? A remplir un vide ? L'accomplissement d'une espérance
encore informulée ?
La réponse, les directives, sont dans Luc, Matthieu, Marc et Jean.
Et puis, il existe un "mode d'emploi" de l'Evangile; la Vierge Marie
nous le révèle lorsque aux noces de Cana elle dit aux serviteurs de
l'époux, en désignant son Fils : "Quoi qu'il vous dise, faites-le."
L'Evangile est fait pour être vécu. J'y ai choisi ce qui peut aider à
vivre même les incroyants: qui ne souhaite la joie ? " e vous ai dit
cela pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit parfaite."
Nulle allusion ici aux flammes éternelles: ce n'est pas par crainte
qu'on aime Jésus, qu'on le suit. Ce petit livre n'évoque que la
miséricorde du Père, la tendresse du Fils, l'illumination de l'Esprit.
Une histoire d'amour entre le Créateur et sa Créature.
Une histoire vraie.
La Vie Est Belle en Verite. l'Evangile Transforme la Vie- Kennedy
James Broché
EUR 11,02
L'Evangile de la vie- Jean-Pascal Perrenx Reliure inconnue
EUR 16,46
Ce livre incontournable fait le point sur la science
et la vie, par un prêtre médecin et théologien. Autant de compétence
dans les deux domaines est une chose rare. Préfacé par le Père Cottier,
théologien de la maison pontificale - c'est tout dire! Un ouvrage de
référence, sans aucun doute.
Par Abbé Bouchez (Cestas, France) -
Sexe, amour, fidélité : Quelques propos à mettre en toutes les mains
suivi de Ce que l'évangile dit du divorce et du mariage- Jacques
Bufquin Broché
EUR 10,45
Présentation de l'éditeur
Dire "je t'aime " ne signifie pas " je t'aime, toi seulement, pour
toujours", ni " je veux vivre avec toi toujours ". Qui se marie
aujourd'hui a souvent déjà vécu plusieurs ruptures. Il sait, et en
tout cas doit envisager, que la fidélité à l'autre, à soi-même, aux
enfants, peut exiger un jour la séparation, sans pour autant la vivre
comme une infidélité peccamineuse, de façon stupidement dramatique,
irrémédiablement traumatisante, y compris et surtout pour les enfants.
Si incongru que cela puisse paraître, il faut dès les premiers
engagements, et surtout dès qu'une naissance est envisagée, s'engager
aussi sur la façon dont nous gèrerons, concrètement, les conséquences
d'une possible séparation, d'abord pour les enfants et donc pour nous.
Dire que c'est mal, triste... ou que c'est bien, normal... ne résout
rien. Les discours qu'on nous a appris sur la famille et le mariage ne
sont pas conformes au réel. Par définition, ils ne sont donc plus
vrais. Les deux parties de ce livret ont la modeste ambition d'aborder
en vérité ces sujets d'actualité, pour que les responsables et chacun
de nous osent enfin, " parler vrai " : les jeunes en ont besoin.
Biographie de l'auteur
L'auteur a été formé à la lecture des Evangiles par quelques-uns des
exégètes français les plus connus de ces cinquante dernières années.
Il a animé, presque toujours à la demande de le hiérarchie religieuse,
des dizaines de groupes d'étude de la Bible. Parallèlement à la
réflexion présentée ci-dessus, il lui a bien fallu reconnaître que
l'Evangile ne dit rien du divorce ni du remariage, que l'Eglise
catholique tord le sens des textes pour maintenir des traditions tout
aussi tordues. Là encore il est grand temps de " parler vrai ".
Le Temps de Dieu : Cheminer avec l'Evangile de Matthieu- Rita
Gagné Broché
EUR 14,82
Présentation de l'éditeur
Après avoir longuement savouré l'Evangile de Matthieu, l'auteure offre
ces pages comme une Parole à déguster dans des mots d'aujourd'hui. Ses
propos invitent à voir, écouter, goûter, expérimenter la puissance de
cette Parole qui ne retourne pas à Dieu sans avoir accompli sa
mission. L'écriture de Rita Gagné est incisive, d'une grande force
évocatrice et en même temps d'une simplicité désarmante. Mots et
images frappent l'imagination, forcent les résistances, s'insinuent au
cour de l'être, suppliant qu'on les " prenne chez soi" pour que se
renouvelle notre vivre ensemble et qu'advienne aujourd'hui le Règne de
Dieu, ce Royaume des relations réussies, selon l'heureuse expression
de l'auteure.
Biographie de l'auteur
Rita Gagné est religieuse ursuline. Originaire de Grande-Vallée, en
Gaspésie, elle a enseigné à Rimouski puis à l'école normale de Gaspé.
Plus tard, après avoir obtenu une maîtrise en théologie, elle a œuvré
pendant vingt ans au diocèse de Gaspé. Depuis 1973 elle anime de
nombreuses retraites et sessions. Angèle Merici, Marie de
l'Incarnation et Jean Vanier ont marqué sa vie et l'approche
spirituelle qu'elle partage avec les groupes qu'elle rencontre.
Jean-Mohammed Abd-el-Jalil : Témoin du Coran et de l'Evangile-
Maurice Borrmans Broché
EUR 14,25
Présentation de l'éditeur
Jean-Mohammed Abd-el-Jalil, Marocain, franciscain, 1904-1979. Un homme
au parcours singulier. Une vie hors du commun... A l'occasion du
centenaire de sa naissance, ce livre présente des textes
autobiographiques, des écrits sur l'islam et sur la société, des
lettres personnelles, des témoignages de ses disciples et amis. Autant
d'éléments qui révèlent sa vie, sa sensibilité et son sens religieux :
une approche unique. Dans le contexte actuel marqué par le dialogue
interreligieux, un chemin ouvert par un homme à la croisée de deux
expériences spirituelles. Un livre réalisé sous la direction du père
Maurice Borrmans de l'Institut pontifical d'études arabes et
islamiques (PISAI). Préface du frère Joël Colombel, franciscain au
Maroc.
L'Evangile, une parole invincible- Guy Gilbert Broché
EUR 19,00
Présentation de l'éditeur
" Combien d'enfants sont perdus autour de nous ? Combien notre société
d'argent, de paraître et de possession fabrique-t-elle de ces êtres
brisés ? Les laissés-pour-compte passent par pertes et profits.
Drogués, blessés ou prostitués : leurs cœurs et leurs âmes sont
affamés. Faut-il considérer qu'ils sont exclus de tout projet de
sainteté ? Non, justement parce qu'ils sont les préférés du Seigneur.
" Guy Gilbert pratique son sacerdoce dans des conditions difficiles
auprès de jeunes que la société a rejetés. Par sa foi et son courage,
il a sauvé plusieurs centaines de vies qui étaient vouées au naufrage.
Dans ce livre, il donne de l'espoir à tous. En remontant à la source
de sa foi, l'Evangile, il pose son regard sur ce qui constitue une vie
humaine :
l'enfance, la vieillesse, la maladie, l'amour, le mariage, la famille,
le travail, la prière, les problèmes de société, le pardon, le
sacerdoce, la solitude, la mort. La riche expérience humaine de Guy
Gilbert, sa foi profonde en l'homme et son attachement au Christ font
de ce livre un compagnon de route précieux pour tous ceux qui
cherchent. Un compagnon qui transmet la force invincible de la parole
d'Amour.
Biographie de l'auteur
Prêtre-éducateur, Guy Gilbert est l'auteur d'une vingtaine de livres
dont les plus connus sont L'Evangile selon saint Loubard, jusqu'au
bout et Ma religion c'est l'Amour.
Suivre sa conscience : La liberté de conscience à la lumière de
l'Evangile- Tanguy-Marie Pouliquen Broché
EUR 20,43
Présentation de l'éditeur
Eclairer le thème de la conscience en morale est un grand service
rendu à la pensée et à la vie. Chacun s'appuie sur elle dans notre
culture, mais sans en apprécier la structure. Elle en vient ainsi
souvent, contre son sens authentique, à servir d'alibi pour échapper
aux exigences du vrai et du bien. Alors qu'elle est en nous l'écho de
la raison promulguant l'Idéal inscrit dans les profondeurs de
l'humanité de l'homme, la conscience est abusivement invoquée pour se
soustraire aux appels de notre propre nature métaphysique. On a perçu
l'enjeu de la morale fondamentale quand on a saisi que notre
conscience est le dernier juge en matière morale, sans être cependant
elle-même la source du bien. Un peu comme un juge tranche en dernière
instance, mais sans être pour autant le fondement du droit. Ainsi la
conscience est-elle l'instance ultime où se décide notre perception du
bien et notre rapport au bien, mais, comme elle n'est pas le fondement
de la vérité morale, mais seulement le sanctuaire intime où elle est
perçue et promulguée, le premier devoir de la conscience est de se
former elle-même. Si nous sommes responsables devant notre conscience,
nous sommes aussi responsables de notre conscience. Si donc le devoir
absolu est bien de suivre sa conscience, le premier devoir est de
former celle-ci en l'éclairant.
Biographie de l'auteur
Tanguy-Marie Pouliquen est prêtre et membre de la Communauté des
Béatitudes, où il est responsable de la formation des séminaristes du
premier cycle.
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L'Évangile dans ma vie- Jean Guitton Poche
EUR 5,70
L'Évangile intérieur - Maurice Zundel;
Au miroir de l'Evangile - Maurice Zundel
Les voies de l'intériorité : Méditations sur l'Evangile
Présentation de l'éditeur
Sous ce titre, nous sont proposées de brèves méditations sur
l'Évangile. Il s'agit d'homélies qui, bien que prononcées dans un
contexte liturgique précis, sont destinées à ouvrir notre esprit au
processus continu d'incarnation de la Parole de Dieu dans la vie
quotidienne, non par recherche d'applications morales extérieures,
mais par éveil d'une compréhension intérieure des situations vécues et
d'une attention accrue aux vrais motifs d'espérance. Comme pour les
Pèlerins d'Emmaüs, ces textes laissent entendre que la Parole
créatrice accompagne le lecteur en toute circonstance et lui permet de
nourrir un dialogue intérieur qui, n'imposant pas du dehors un sens
aux Écritures ni une justification à la spiritualité, cherche au
contraire à voir dans l'accueil de la vie pour elle-même le
dévoilement du vrai sens des Écritures et la manifestation la plus
concrète de l'Esprit : Notre cœur n'était-il pas tout brûlant
au-dedans de nous, quand il nous parlait en chemin ?... (Lc 24, 32.)
Les voies de l'intériorité sont les voies d'une conversion du
regard sur soi-même, sur le monde et sur Dieu : ce sont les voies
d'une réconciliation du vivant avec la vie et d'un retour aux sources
de la joie, bref, d'une redécouverte de l'Évangile comme Bonne
Nouvelle
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ZF08012708 - 27-01-2008
Permalink:
http://www.zenit.org/article-17139?l=french
ROME, Dimanche 27 janvier 2008 (ZENIT.org)
- Les miracles accomplis par Jésus étaient une provocation à
l'empire romain, a expliqué Benoît XVI dans son allocution avant la
prière de l'Angélus, car ils montraient que le « Royaume de Dieu »
était arrivé, que « le Seigneur du monde » était « Dieu, et non
l'empereur ».
Le pape a commenté l'Evangile de ce dimanche qui
décrit le début de la vie publique du Christ, lorsque celui-ci
annonçait le Royaume de Dieu et guérissait les malades.
« Au temps de Jésus, a expliqué Benoît XVI, le
terme ‘évangile' était utilisé par les empereurs romains pour leurs
proclamations. Indépendamment du contenu, celles-ci étaient définies
comme des ‘bonnes nouvelles', c'est-à-dire des annonces de salut,
car l'empereur était considéré comme le seigneur du monde et chacun
de ses édits comme annonciateur de bien ».
« Le fait d'appliquer cette parole à la
prédication de Jésus a donc eu un sens fortement critique, comme
pour dire : ‘Le Seigneur du monde est Dieu, et non l'empereur, et le
véritable Evangile est celui de Jésus Christ' », a poursuivi le
pape.
Benoît XVI a expliqué que la « bonne nouvelle »
que Jésus proclame se résume ainsi : « Le royaume de Dieu - ou
royaume des cieux - est proche ».
« La nouveauté du message du Christ, a-t-il
ajouté, est donc qu'en Lui Dieu s'est fait proche, qu'il
règne désormais au milieu de nous, comme le démontrent les miracles
et les guérisons qu'il accomplit ».
« Dieu règne dans le monde à travers son Fils fait
homme et avec la force de l'Esprit Saint qui est appelé ‘le doigt de
Dieu' », a précisé le pape.
« Là où Jésus arrive, l'Esprit créateur apporte la
vie et les hommes sont guéris des maladies du corps et de l'esprit.
La seigneurie de Dieu se manifeste alors dans la guérison intégrale
de l'homme », a déclaré Benoît XVI.
« Jésus veut ainsi révéler le visage du vrai Dieu,
le Dieu proche, plein de miséricorde pour tout être humain ; le Dieu
qui nous donne la vie, sa vie, en abondance. Le royaume de Dieu est
donc la vie qui s'affirme sur la mort, la lumière de la vérité qui
dissipe les ténèbres de l'ignorance et du mensonge », a souligné le
pape.
Benoît XVI a conclu en encourageant l'Eglise à
toujours avoir pour le Royaume la passion qui a animé la mission de
Jésus : « passion pour Dieu, pour sa seigneurie d'amour et de vie,
passion pour l'homme, rencontré dans la vérité avec le désir de lui
donner le trésor le plus précieux : l'amour de Dieu, son Créateur et
Père ».
Jesús Colina
VOIR AUSSI :
Jésus,
parcourant toute la Galilée, enseignait dans leurs synagogues,
proclamait la Bonne Nouvelle du Royaume, guérissait toute maladie et
toute infirmité dans le peuple.
La
mesure de la valeur de chacun est celle de l’amour, affirme le card.
Comastri
Messe célébrée au Centre international de jeunes San Lorenzo, à
Rome
ROME, Lundi 3 mars 2008 (ZENIT.org)
- « Si tu es dans l'amour, Dieu est avec toi, et si Dieu est avec toi,
tu es déjà au paradis. En revanche, si Dieu n'est pas avec toi, tu
n'as rien » : telles sont les paroles adressées par le cardinal Angelo
Comastri, archiprêtre de la basilique vaticane, aux jeunes qui
participaient vendredi dernier à la messe au Centre international de
jeunes « San Lorenzo » à Rome.
Commentant le passage liturgique de
l'Evangile ou un scribe demande à Jésus quel est le plus grand
commandement, le prélat a répondu : « Nous aussi ce soir, comme le
scribe, nous demandons à Jésus : quel est le premier commandement ?
Qu'est ce qui compte le plus aux yeux de Dieu ? ».
« Aux yeux de Dieu, la mesure de la
valeur de chacun est celle de l'amour. C'est une révolution. Dans le
monde, on utilise d'autres critères d'évaluation. Aux yeux de Dieu, il
n'existe qu'une seule valeur : l'amour », a-t-il expliqué.
« Au seuil de la vie, il nous pèsera
tous avec la balance de l'amour et chacun vaudra ce qu'il aura aimé
(cf. Mt 25) », a-t-il poursuivi.
Le cardinal a rappelé aux jeunes que
Mère Teresa, résumant l'Evangile disait : « L'Evangile tient sur les
cinq doigts de la main : c'est à moi que vous l'avez fait » (ndlr :
lo avete fatto a me ; you did it to me)
« Mais pourquoi ? s'est interrogé le
cardinal Comastri, pourquoi seule la charité compte ? »
« La réponse, a-t-il poursuivi, est
une fois encore la révolution du christianisme : parce que Dieu est
amour. Si tu es dans l'amour, Dieu est avec toi, et si Dieu est avec
toi, tu es déjà au paradis. En revanche, si Dieu n'est pas avec toi,
tu n'as rien ».
En se référant à l'épisode de la
femme pécheresse qui lave les pieds de Jésus et les sèche avec ses
cheveux dans la maison d'un noble pharisien, le cardinal a commenté :
« A ce moment-là et à travers ce geste cette femme déclare : je crois
que tu es l'amour. Je n'avais pas rencontré l'amour jusqu'à
aujourd'hui, mais maintenant que je t'ai rencontré j'ai compris que
Dieu est amour ».
« Et Jésus dit à Simon qui
l'avait invité : en apparence tu es bon, mais ton cœur est de glace,
aux yeux de Dieu tu ne vaux rien. Cette femme en revanche a compris,
elle a rencontré l'amour. Eh, bien cette femme est plus grande que toi
», a-t-il dit.
Puis s'adressant aux jeunes il a
posé la question suivante : « Nous venons à l'église, nous écoutons la
parole de Dieu, nous recevons l'Eucharistie, mais combien de fois
peut-on dire que la charité ne pénètre pas en nous ? »
« En ce temps de carême, nous sommes
tous invités à la conversion, nous avons tous besoin de nous
convertir pour accueillir la merveilleuse nouvelle de l'Evangile : la
mesure de la valeur de chacun est celle de l'amour ».
Le Centre San Lorenzo est un centre
de jeunes voulu et par le pape Jean-Paul II et inauguré par lui-même
le 13 mars 1983. Il offre un accueil et une animation liturgique et
sacramentelle aux jeunes résidents ou aux pèlerins de passage à Rome.
Au Centre est conservée la première croix des Journées mondiales de la
Jeunesse donnée par le pape Wojtyla aux jeunes au cours de l'Année
sainte de 1984.
Chaque vendredi, le programme du
centre prévoit deux heures d'adoration à partir de 16.00, suivies de
la prière du chapelet pour les Journées mondiales de la jeunesse et
d'une messe présidée en général par un évêque ou un cardinal.
Robert Cheaib
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Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la
vie éternelle. Jn 6, 68
« Je donne ma vie pour mes brebis »
lundi 14 avril 2008
Le lundi de la 4e
semaine de Pâques EAQ .....
ICI
Saint(s) du jour :
Saint Bénézet (1165-1184),
Sainte Lidwine (1380-1433)
Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Pape Benoît XVI:
« Je donne ma vie pour mes brebis »
Evangile de
Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-18.
Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour
ses brebis. Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les
brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne
les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. Ce berger
n'est qu'un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.
Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me
connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je
donne ma vie pour mes brebis. J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont
pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise.
Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul
pasteur. Le Père m'aime parce que je donne ma vie pour la reprendre
ensuite. Personne n'a pu me l'enlever : je la donne de moi-même. J'ai le
pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le
commandement que j'ai reçu de mon Père. »
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Commentaire du jour :
Pape Benoît XVI
Homélie de la Messe inaugurale de son pontificat, 24/4/05 (trad. DC
2337, p. 547, copyright © Libreria Editrice Vaticana)
« Je donne ma vie pour mes brebis »
Dans l'Orient ancien, il était d'usage que les rois se désignent
eux-mêmes comme les pasteurs de leur peuple. C'était une image de leur
pouvoir, une image cynique : les peuples étaient pour eux comme des
brebis, dont le pasteur pouvait disposer selon son bon vouloir. Tandis
que le pasteur de tous les hommes, le Dieu vivant, est devenu lui-même
un agneau ; il s'est mis du côté des agneaux, de ceux qui sont méprisés
et tués. C'est précisément ainsi qu'il se révèle comme le vrai pasteur :
« Je suis le bon pasteur... et je donne ma vie pour mes brebis ».
Ce n'est pas le pouvoir qui rachète, mais l'amour ! C'est là le
signe de Dieu : il est lui-même amour. Combien de fois désirerions-nous
que Dieu se montre plus fort ! Qu'il frappe durement, qu'il terrasse le
mal et qu'il crée un monde meilleur ! Toutes les idéologies du pouvoir
se justifient ainsi, justifient la destruction de ce qui s'oppose au
progrès et à la libération de l'humanité. Nous souffrons pour la
patience de Dieu, et nous avons néanmoins tous besoin de sa patience. Le
Dieu qui est devenu agneau nous dit que le monde est sauvé par le
Crucifié et non par ceux qui l'ont crucifié. Le monde est racheté par la
patience de Dieu et détruit par l'impatience des hommes.
Saint
François de Sales
« Je suis vôtre, Seigneur, et ne dois être qu’à vous ;
Mon âme est vôtre, et ne doit vivre que par vous ;
Mon amour est vôtre, et ne doit tendre qu’en vous ;
Je dois vous aimer comme mon premier principe, puisque je suis de vous ;
Je dois vous aimer comme ma fin et mon repos, puisque je suis pour vous
;
Je dois vous aimer plus que mon être, puisque mon être subsiste par vous
;
Je dois vous aimer plus que moi-même, puisque je suis tout à vous et en
vous. » Saint François de Sales, Traité de l’amour de Dieu, X, 10 : La
Pléiade (1969), p. 842
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http://www.zenit.org/article-18140?l=french
Catéchèse du mercredi sur saint Grégoire le Grand
ROME, Mercredi 4 juin 2008 (ZENIT.org)
- « L'humilité intellectuelle est la première règle pour celui qui
cherche à pénétrer les réalités surnaturelles en partant du livre
sacré », explique Benoît XVI en prenant l'exemple de saint Grégoire
le Grand.
Benoît XVI a en effet évoqué pour
la seconde fois ce mercredi, place Saint-Pierre, la figure du pape
Grégoire le Grand, et spécialement ses écrits.
Une lecture humble de
l'Ecriture
Le pape rappelait qu'on a gardé de
lui un Registre de plus de 800 lettres, mais surtout des « écrits de
caractère exégétique », spécialement son « Commentaire moral à
Job », ou « Moralia in Iob », les « Homélies sur Ezéchiel » et les
« Homélies sur les Evangiles ». S'y ajoute, disait le pape, « une
importante œuvre de caractère hagiographique, les « Dialogues »,
écrite pour l'édification de la reine lombarde Théodelinde ».Enfin,
« l'œuvre principale et la plus célèbre est sans aucun doute la
« Règle pastorale », que le Pape rédigea au début de son pontificat
dans le but précis de présenter un programme ».
Mais qu'est-ce qui inspire
l'écrivain ? « Il veut simplement, explique Benoît XVI, être la
bouche du Christ et de son Eglise, sur le chemin qu'il faut
parcourir pour arriver à Dieu ».
Pour ce qui est de la lecture de
la Bible, « il pensait que le chrétien ne devait pas tellement tirer
des connaissances théoriques de l'Ecriture Sainte, mais plutôt la
nourriture quotidienne pour son âme, sa vie d'homme dans ce monde »,
souligne Benoît XVI.
Et d'expliquer : « Aborder
l'Ecriture uniquement pour satisfaire son propre désir de
connaissance signifie céder à la tentation de l'orgueil et s'exposer
ainsi au risque de glisser dans l'hérésie. L'humilité intellectuelle
est la première règle pour celui qui cherche à pénétrer les réalités
surnaturelles en partant du livre sacré ».
Humilité et compétence, souligne
le pape : « L'humilité n'exclut pas du tout, bien sûr, l'étude
sérieuse ; mais si l'on veut que celle-ci soit bénéfique sur le plan
spirituel, en permettant d'entrer réellement dans la profondeur du
texte, l'humilité demeure indispensable. Ce n'est qu'avec cette
attitude intérieure que l'on écoute réellement et que l'on perçoit
enfin la voix de Dieu ».
Benoît XVI explique que
« lorsqu'il s'agit de la Parole de Dieu, comprendre n'est rien, si
la compréhension ne conduit pas à l'action » et il cite Grégoire le
Grand : « Le prédicateur doit tremper sa plume dans le sang de son
cœur ; il pourra ainsi arriver également jusqu'à l'oreille de son
prochain ».
Les différents sens de
l'Ecriture
« Le grand Pape ressent le devoir
d'orienter les pasteurs et les fidèles sur l'itinéraire spirituel
d'une lectio divina éclairée et concrète, inscrite dans le contexte
de sa propre vie », souligne le pape.
Dans son « Commentaire moral de
Job », souligne Benoît XVI, Grégoire évoque trois sens de
l'Ecriture : littéral, allégorique et moral, qui sont,
explique-t-il, « des dimensions du sens unique de l'Ecriture Sainte.
Mais saint Grégoire privilégie le
sens moral : « L'idéal moral, commente-t-il, consiste toujours à
réaliser une intégration harmonieuse entre la parole et l'action, la
pensée et l'engagement, la prière et le dévouement aux devoirs de
son propre état : telle est la route pour réaliser cette synthèse
grâce à laquelle le divin descend dans l'homme et l'homme s'élève
jusqu'à l'identification avec Dieu. Le grand Pape trace ainsi
pour le croyant authentique un projet complet de vie ; c'est
pourquoi le « Commentaire moral à Job » constituera au cours du
Moyen-âge une sorte de Somme de la morale chrétienne ».
Les « Homélies sur les Evangiles »
sont également d'une grande importance et d'une grande beauté.
« Le texte peut-être le plus
organique de Grégoire le Grand est la Règle pastorale, écrite au
cours des premières années de pontificat. Dans celle-ci, Grégoire se
propose de tracer la figure de l'évêque idéal, maître et guide de
son troupeau », explique Benoît XVI.
Pour une action pastorale
efficace
Une des points forts de cet
enseignement est qu'une « action pastorale efficace demande ensuite
qu'il connaisse ses destinataires et qu'il adapte ses interventions
à la situation de chacun : Grégoire s'arrête pour illustrer les
différentes catégories de fidèles avec des annotations judicieuses
et précises, qui peuvent justifier l'évaluation de ceux qui ont
également vu dans cette œuvre un traité de psychologie. On comprend
à partir de cela qu'il connaissait réellement son troupeau et
parlait de tout avec les personnes de son temps et de sa ville »..
Son autre œuvre, les
« Dialogues », est également « significative », ajoute le pape qui
relève notamment que « le livre II est entièrement consacré à la
figure de Benoît de Nursie et est l'unique témoignage antique sur la
vie du saint moine, dont la beauté spirituelle paraît dans ce texte
avec une grande évidence ».
S'arrêtant aux relations du pape
Grégoire avec les patriarches d'Antioche, d'Alexandrie et de
Constantinople elle-même, Benoît XVI faisait observer : « Il se
soucia toujours d'en reconnaître et d'en respecter les droits, en se
gardant de toute interférence qui en limitât l'autonomie légitime ».
Et de conclure : « Grégoire était
resté un simple moine dans son cœur, et c'est pourquoi il était
absolument contraire aux grands titres. Il voulait être - telle est
son expression - servus servorum Dei. Ce terme forgé par lui
n'était pas dans sa bouche une formule pieuse, mais la manifestation
véritable de son mode de vivre et d'agir ».
Anita S. Bourdin
ZF10012401 - 24-01-2010
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Homélie du dimanche 24 janvier, par le P. Laurent Le Boulc'h
ROME, Dimanche 24 janvier 2009 (ZENIT.org)
- Nous publions ci-dessous le commentaire de l'Evangile du
dimanche 24 janvier, proposé par le P. Laurent Le Boulc'h.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (1,
1-4; 4, 14-21)
Plusieurs ont entrepris de composer un récit
des événements qui se sont accomplis parmi nous, tels que nous les
ont transmis ceux qui, dès le début, furent les témoins oculaires
et sont devenus les serviteurs de la Parole. C'est pourquoi j'ai
décidé, moi aussi, après m'être informé soigneusement de tout
depuis les origines, d'en écrire pour toi, cher Théophile, un
exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des
enseignements que tu as reçus.
Lorsque Jésus, avec la puissance de l'Esprit,
revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région.
Il enseignait dans les synagogues des Juifs, et tout le monde
faisait son éloge. Il vint à Nazareth, où il avait grandi. Comme
il en avait l'habitude, il entra dans la synagogue le jour du
sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui présenta le
livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage
où il est écrit : L'Esprit du Seigneur est sur moi parce que le
Seigneur m'a consacré par l'onction. Il m'a envoyé porter la Bonne
Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres,
et aux aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés
la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le
Seigneur.
Jésus referma le livre, le rendit au servant
et s'assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur
lui. Alors il se mit à leur dire : « Cette parole de l'Écriture,
que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit.
»
Copyright AELF - Tous droits
réservés
Nous venons d'ouvrir la première page de
l'évangile de Luc. Au commencement de son évangile, Luc annonce
ses intentions d'écrivain. C'est pour son « cher Théophile » qu'il
a entrepris d'écrire. Luc revendique auprès de lui le sérieux de
son travail. Il a en effet pris le temps de « s'informer
soigneusement » auprès de ceux qui ont été les témoins historiques
de Jésus.
Ce n'est pas que Théophile soit vierge de toute
connaissance. Il a déjà reçu un « enseignement solide », nous dit
Luc. On imagine qu'il s'agissait très probablement d'une
transmission orale. Théophile avait donc déjà entendu parler de
Jésus. Or, Luc ressent l'exigence de passer à l'écrit pour
garantir aux générations à venir la qualité d'une parole fidèle au
témoignage des premiers compagnons de Jésus avant que ceux-ci ne
disparaissent.
Avec ces premières lignes de Luc se réalise donc
le passage d'une parole proclamée et transmise oralement à la
parole qui sera lue et donnée par écrit.
Après cette introduction de Luc qui s'explique
sur son projet d'écriture, l'évangile de la liturgie de ce
dimanche nous présente un premier récit, celui de la venue de
Jésus dans la synagogue de Nazareth. L'Eglise a en effet sauté par
dessus les récits de la naissance et de l'enfance de Jésus qui ont
été lus aux temps de l'avent et de noël. Or, dans cette histoire
de la synagogue, on a l'impression que c'est un mouvement inverse
qui se dessine.
Dans la synagogue de Nazareth, Jésus, le juif
pratiquant, respecte la règle liturgique ancienne telle qu'elle
nous été présentée dans la première lecture tirée du livre de
Néhémie avec la lecture d'Esdras au temple. Jésus déroule le livre
d'Isaïe qu'on lui a remis et y lit un passage du chapitre 58.
Celui-ci décrit le Messie qui doit venir, le libérateur rempli de
l'Esprit de Dieu. Le Christ roule le livre et le remet au servant.
Tous, nous dit Luc, ont « les yeux fixés sur lui. » Alors,
tous entendent cette parole extraordinaire de Jésus : « cette
parole de l'écriture que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui
qu'elle s'accomplit. »
Autrement dit, la Parole d'Isaïe, la promesse
d'un Messie et tout ce que Dieu a manifesté de désir pour l'homme,
est en train de se réaliser là, aujourd'hui, sous les yeux des
gens de Nazareth. Le livre de l'Ecriture est fermé, mais, en
Jésus, la Parole continue. Elle devient même plus vivante que
jamais car il ne s'agit plus d'écriture, de mots et de verbes
seulement, mais de vie et de chair, d'histoire et de sang. En
Jésus l'Ecriture est devenue vivante. Elle est devenue Quelqu'un.
Jésus est la parole de Dieu devenue homme. Il est le Verbe de Dieu
fait chair !
Dans la suite de sa vie, Jésus n'aura rien
écrit, à peine quelques signes vite effacés devant la femme
adultère. Il n'en avait pas besoin car c'est bien sa vie, toute
son existence, sa manière d'être et d'agir, qui est parole. Et
l'on comprend qu'au temps des apôtres le témoignage encore tout
récent de sa vie parlait plus que tout.
Luc entreprend pourtant de venir à l'écriture
car la mémoire s'éloigne. Il ne faudrait cependant pas se
méprendre. Si Luc fixe la vie de Jésus dans son évangile ce n'est
pas pour la sortir de l'histoire des hommes. Si le travail de Luc
n'avait conduit qu'à fossiliser la vie de Jésus en la réduisant à
un document d'archives pour nos bibliothèques, il serait passé à
côté de son espérance.
Toute la nouvelle écriture de Luc, le récit des
évangiles, n'a de sens que si ce texte écrit de son évangile
retourne à la vie.
L'évangile n'est donc pas écrit en regardant
seulement le passé. Il ne nous est pas donné seulement comme un
témoignage d'histoire. Il est fait pour rejoindre nos vies
aujourd'hui. Luc a d'ailleurs pris la peine d'écrire à la suite de
son évangile le récit des actes des apôtres. Il nous raconte la
vie de la première Eglise, comme si tout allait ensemble, et que
le témoignage de l'Eglise faisait vraiment partie de l'Evangile.
L'Evangile ne va au bout de lui-même que lorsqu'il entre, à
nouveau, dans la vie des hommes.
Luc l'évangéliste s'est donc inspiré de la vie
de Jésus pour écrire son livre. Jésus, Parole de Dieu faite
histoire, est devenu son écriture. Mais cette écriture n'a de sens
que si elle redevient histoire en nos vies.
Frères et sœurs, il nous revient de faire entrer
l'évangile dans la vie des hommes. Faire entrer l'Evangile dans
notre propre histoire. C'est ainsi que la vie de Jésus devenue
parole retourne à la vie. La condition c'est que nous écoutions
attentivement cette Parole, que nous la recevions le plus
profondément possible en nous, que nous la partagions avec nos
frères dans l'Eglise devenue corps du Christ, telle que Paul nous
l'a présentée dans la seconde lecture.
Frères et sœurs, prenons la pour nous cette
Parole de Luc. Prenons-la vraiment au sérieux. Laissons-la
inspirer nos manières d'être et de vivre. Laissons-la nous
interroger et nous bousculer. Laissons-la nous encourager et nous
stimuler dans notre vie de foi d'espérance et de charité.
« Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux
pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres, et aux
aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés la
libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le
Seigneur. » Ce matin c'est à la
libération des plus pauvres que la Parole d'Evangile nous appelle
et nous pensons une fois encore au drame qui frappe le peuple
d'Haïti.
Le signe que l'évangile est devenu Parole de vie
pour nous, ce pourrait bien être quand, après avoir lu et médité
un passage d'Evangile, nous pouvons dire à notre tour : « Cette
parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui
qu'elle s'accomplit. »
« Cette parole de l'Écriture, que je viens de
lire ou d'entendre, c'est aujourd'hui que je l'accomplie. » C'est
quand l'Ecriture de Luc devient notre vie qu'elle devient pour les
hommes un témoignage aujourd'hui et pour les générations à venir.
Amen.
Le P. Laurent Le Boulc'h est
curé de la paroisse de Lannion et modérateur de la paroisse de
Pleumeur Bodou, secrétaire général du conseil presbytéral du
diocèse de Saint Brieuc et Tréguier (Côtes d'Armor - France).
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2 commentaires:
Bravo. Il s'agit là de la défense minimale de la loi naturelle.
Il est toujours intéressant de voir que les rabbins sur "l'homosexualisation" ou l'avortement dit à peu près la même chose que les chrétiens ou les musulmans.
Un fait de ce genre s'est produit lorsque des rabbins américains ont une réaction fort intéressante, au sujet de l'avortement, dans une lettre du 23 janvier 2005 où l’Union des rabbins orthodoxes des USA et du Canada 235 EAST BROADWAY NEW YORK, N.Y. 10002, s'est opposée à la participation de Simone Veil à la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, en raison de sa légalisation de l’avortement en France, "un génocide bien supérieur à celui des nazis"... Texte :
"Madame Veil est bien connue pour être à l’origine de la légalisation de l’avortement en France.
Elle est ainsi parmi les responsables d’un génocide bien supérieur à celui des nazis
Dans son action en faveur de l’avortement, elle a agi d’une manière diamétralement opposée aux tenants du judaïsme.
Ainsi, il nous semble extrêmement inapproprié que Madame Veil prenne la parole lors de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz et nous protestons vivement contre ce projet."
Source: altermedia
http://fr.altermedia.info/index.php?p=6529
J'ai vérifié l'information qui avait été publié sur une une page web qui n'existe plus, dont le texte en anglais indiquait :
"Polish Republik President
Aleksander Kwaśniewski
Dear Sir:
On January 27, 2005, government leaders and concentration camp survivors from throughout the world are to gather at the site of the notorious Auschwitz concentration camp to commemorate the sixtieth anniversary of its liberation.
Mrs. Simone Veil, former French Minister of Health, who was a Jewish inmate of Auschwitz, is to speak at this gathering.
Mrs. Veil is well known for having brought about the legalization of abortion in France.
Thus, she is one of those chiefly responsible for an ongoing destruction of human life far exceeding that of the Nazis.
In her pro-abortion activities she has acted diametrically contrary to the tenets of Judaism.
In view of the above, it is exceedingly inappropriate that Mrs. Veil speak at the Auschwitz liberation commemoration and we submit our emphatic protest thereof.
Respectfully,
Rabbi Yehuda Levin
Fax: 305 422-0557
ylevin@orthodoxrabbis.org
Spokesman for the Union of Orthodox Rabbis of the United States and Canada and the Rabbinical Alliance of America, representing over 1000 Orthodox Rabbis.
Copies to
Rada Ochrony Pamięci, Walk i Męczeństwa
and to the press
http://www.orthodoxrabbis.org/uor_veil050123.htm