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le "voile" est
l'arbre qui cache la forêt .... |
Dossier :
France
Islam |
Présentation :
voici une étude de l'Inspection Générale de l'Education
Nationale ... rapport très instructif et sidérant ..... Signalé par
france-echo.com ... à lire impérativement ...
Extraits :
étude
de l'Inspection générale (juin 2004)
....L'identité collective, qui se référait souvent hier chez les élèves à
une communauté d'origine, réelle ou imaginaire, et qui avait fait parler
certains sociologues de 'l'ethnicisation' des rapports entre les jeunes,
semble se transformer de nos jours en un sentiment d'appartenance assez
partagé à une 'nation musulmane' ", dont les héros sont les adolescents
palestiniens qui s'opposent à l'armée israélienne et les chefs "djihadistes"
responsables des attentats de New York et Madrid.
rapport de l'Inspection générale de
l'Education Nationale Juillet 2004.. il s'agit probablement
du même rapport que ci dessus ...le prosélytisme croissant, les
pressions et menaces des islamistes dans les écoles , le refus
d'intégration, apparaissent nettement dans ces articles sur ce rapport
de l'Education Nationale.
La vérité sur l'islam à l'école :
...extraits du rapport de l'Inspection générale de l'Éducation nationale
remis à François Fillon. Les régressions de la
condition féminine ...Les signes et tenues vestimentaires....La
nourriture.....Le calendrier et les fêtes.......Le prosélytisme.
.... Les contestations politico-religieuses..... Les lettres et la
philosophie....Les mathématiques.
résonances :
la "nouvelle islamisation" des populations
musulmanes est en marche .... les actes de terrorisme, viennent
principalement appuyer ce mouvement.... et nos
dirigeants qualifiant ceux-ci de "résistants" comment voulez-vous que
ces jeunes ne les prennent pas pour modèle ...
Aussi
l'ensemble peut-il , à mon avis, être lu comme le combat de
l'HOMENTRANCHE mondialiste et de ENUN islamiste contre
homocoques chrétien ... dont l' objectif commun détruire le concept de
nation ...dont en particulier en ce qui nous concerne .. ce
NOUS qu'est la France...
..Illustration ... il
y a quelques jours je rentrais dans ce site : le document « L’enfant parmi nous »
Le nouveau-né de la crèche est en
quelque sorte devenu le porte-parole de tous les enfants de la
terre. ...Les droits de l’enfant ne sont pas que matériels. Il y a
aussi la dimension spirituelle. .... l’initier à l’alphabet
spirituel qui lui servira de boussole tout au long de sa vie ....
« Si vous ne retournez à l’état des enfants, vous n’entrerez pas
dans le Royaume » (Matthieu 18, 3) ...ainsi que la
lettre
ligne de front ...nos fronts
La guerre pour le contrôle
des
esprits, commencée depuis bien des temps, ...n'a fait que
s'amplifier en 2004 ... et 2005 ne s'annonce guère sous de
meilleurs auspices. Les positions se radicalisent et les fronts s'universalisent.
.....
en
io-relation
... laïcité, laïcisme, islam, oumma, guerre de religion,
guerre civile, partition, prosélytisme, Europe, Turquie, totalitarisme,
ensemble-ENUN, identité, cheval de Troie... cérémonie de l'acquisition de la
nationalité française ... double nationalité ...
EURABIA ...l'Europe multiculturelle
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Auteur:
EDUCATION NATIONALE
Source:
http://lamaisondesenseignants.com/index.php?action=afficher&rub=5&id=1040
CONFIDENTIEL.
Appartenance religieuse: le "voile" est "l'arbre qui cache la forêt",
selon une étude de l'Inspection générale menée dans des établissements
ciblés
Paris, le 08/07/2004 Domaine(s) : Ecole - Collège - Lycée
Rubrique(s) : Confidentiel / Elèves
L'IGEN
(Inspection générale de l'Éducation nationale) constate que le "voile"
semble être "l'arbre qui cache la forêt", dans un rapport intitulé
"Les signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les
établissements scolaires", document dont L'AEF s'est procuré copie
d'une version de travail. La version définitive doit être remise au
cabinet de François Fillon, ministre de l'Éducation nationale, de
l'Enseignement supérieur et de la Recherche, dans les tout prochains
jours. Cette version définitive ne comportera plus d'annexes
présentant des témoignages relevés par les inspecteurs généraux.
Le rapport souligne que l'observation a porté sur "quelques dizaines
d'établissements scolaires répartis dans une vingtaine de
départements; des collèges, lycées et lycées professionnels publics
jugés susceptibles, davantage que d'autres, d'être affectés par des
manifestations de la religion", établissements choisis par ou en
concertation avec l'IA-DSDEN (inspecteur d'académie directeur des
services départementaux de l'Éducation nationale). L'IGEN insiste sur
le fait que "le panel d'établissements visités ne constitue donc en
aucun cas un échantillon représentatif des établissements français, ni
sur le plan de l'étude ni d'ailleurs sur aucun autre".
Le rapport distingue les différentes formes que prennent ces
manifestations: "licites", comme la participation au jeûne rituel, le
refus d'aliments non consacrés, le "marquage vestimentaire" des
parents, "illicites", comme l'absentéisme sélectif, le refus ou la
contestation d'activités et de contenus d'enseignement, ou un
"caractère parfois plus difficile à apprécier", comme des
revendications d'adaptation de la vie scolaire ou des contestations
politico-religieuses. Face à ces "évolutions inquiétantes qui
appellent une réponse d'ensemble", l'IGEN propose de "tout faire pour
développer la mixité sociale dans les établissements scolaires", de
"former et aider les professeurs à répondre aux contestations de leur
enseignement" et de "piloter plus fermement à tous les niveaux".
HYPOTHÈSES DE DÉPART
Les hypothèses de départ mentionnées dans l'étude étaient "que les
manifestations d'appartenance religieuse, individuelles et
collectives, avaient tendance à se multiplier et à se diversifier,
avec une rapidité et une dynamique fortes; que, dans certains
quartiers, elles pouvaient affecter tous les domaines de la vie
personnelle, familiale et sociale; que les jeunes y étaient
particulièrement sensibles, voire qu'ils en étaient les principaux
vecteurs; que l'école enfin était impliquée dans ce mouvement
d'ensemble et que les formes qu'il y prenait étaient bien plus
diverses et complexes qu'une certaine émotion médiatique autour du
'voile' pouvait le laisser croire". L'étude a pour objet l'observation
de "tout ce qui manifeste publiquement (signes, comportements,
déclarations, écrits, actions), individuellement ou collectivement de
la part d'élèves, de personnels ou de familles, au sein des
établissements scolaires, une appartenance religieuse".
"Les appartenances religieuses qui se manifestent sous diverses formes
à l'intérieur des établissements se revendiquent exceptionnellement du
christianisme, parfois du judaïsme et le plus souvent de religion
musulmane", relève l'IGEN, tout en rappelant que communautés
catholique et juive disposent d'établissements privés confessionnels
et indiquant que les manifestations d'appartenance au judaïsme
relèvent d'un "mouvement de repli face à l'antisémitisme". En
revanche, elle estime qu' "aucun soupçon d'une quelconque 'islamophobie'
ne peut être opposé à ce constat, qui s'explique fort bien par ses
composantes objectives bien connues: l'arrivée récente, par
immigration, des populations musulmanes; l'exclusion sociale dont une
large part est victime du fait du racisme et de la ségrégation dans
l'habitat, les loisirs et l'emploi; la recherche identitaire des
jeunes générations; la vigueur prosélyte de certains courants
religieux; le poids des événements internationaux". Dans une première
partie consacrée aux "quartiers" et à leurs évolutions, le rapport
évoque ainsi des quartiers décrits comme "des quartiers de souffrance
et en souffrance" où "la plupart des familles n'ont pas le choix de
partir".
SIGNES ET TENUES VESTIMENTAIRES
Certaines manifestations d'appartenance ne sont pas d'ordre religieux:
port de vêtements à l'effigie d'une personnalité (Saddam Hussein ou
Oussama Ben Laden, par exemple), ou représentant un drapeau national,
cas d'élèves juifs portant une plaque de l'armée israélienne cousue
sur leurs vêtements... "Ces manifestations ne sont pas faites pour
apaiser la vie scolaire mais, bien au contraire, visent le plus
souvent à provoquer d'autres élèves" ou à "se démarquer simplement de
la France ou de ceux, élèves ou professeurs, que l'on nomme 'les
Français' ". En ce qui concerne la religion, l'IGEN explique que les
cas liés aux confessions chrétiennes ou juives "ne semblent pas avoir
donné lieu à conflit ou contestation poussée dès lors que le chef
d'établissement en a demandé le retrait".
"Les cas les plus nombreux" concernent la religion musulmane, "la très
grande majorité" des établissements visités ayant connu des tentatives
en ce sens de la part de filles ou parfois de garçons. Les réactions
des chefs d'établissement "se révèlent très diverses, voire
contradictoires d'un lieu à l'autre", et "une académie" dénombre "une
centaine de voiles ou foulards acceptés dans une quinzaine
d'établissements, dont douze lycées". De ce fait, "une sorte de
consumérisme scolaire s'est développée par endroits autour de la
réputation de lycées jugés plus ou moins favorables à la religion
musulmane".
Du côté de l'alimentation, une "nouvelle difficulté" est apparue "il y
a peu de temps", le refus par un nombre croissant d'élèves de
consommer toute viande non abattue selon un rituel religieux. "Par
l'effet de la stigmatisation dont sont rapidement victimes les élèves
qui ne se conforment pas aux normes dominantes du groupe de leurs
pairs, plus aucun élève ne mange de viande dans certains collèges"
visités. En outre, dans "un collège public d'une grande agglomération"
dans lequel un grand nombre d'élèves juifs se sont ou ont été
rassemblés du fait de l'antisémitisme, "la surenchère entre familles
juives et musulmanes (à laquelle quelques familles chrétiennes se sont
jointes) a été telle que le conseil d'administration a voté un
amendement au règlement intérieur imposant la confection de menus
'sans références religieuses' et rappelé la liberté des familles à
faire manger leur enfant hors de l'établissement". Des difficultés du
même ordre se présentent dans l'enseignement professionnel pour la
cuisine, qui fait l'objet de refus de cuisiner du porc et de manipuler
ou goûter de la viande non consacrée.
PROSÉLYTISME ET REFUS DE LA MIXITÉ
Autres revendications: celles liées au calendrier scolaire et aux
fêtes, qui justifient un absentéisme sélectif, "faible pour les
musulmans le vendredi" mais "notablement plus fort pour les juifs et
surtout les adventistes le samedi". Certains élèves ou personnels
revendiquent également d' "investir une partie de l'espace public
d'une dimension sacrée en y pratiquant les prières rituelles". Le
rapport évoque également le prosélytisme musulman comme "le seul dont
on lui a parlé". Ce prosélytisme prend en particulier pour occasion le
mois du ramadan et son objectif est plutôt la "réislamisation de
populations dont la foi est jugée impure" que la conversion.
Refus de la mixité et violences à l'encontre des filles se développent
également dans les quartiers "ghettoïsés" au nom de la religion et
s'infiltrent dans la vie scolaire. "Dans beaucoup de collèges visités,
le vêtement des filles ainsi que leurs 'moeurs' sont l'objet d'un
contrôle général", les jupes étant "interdites" depuis un à cinq ans
selon les endroits. Le plus souvent les "punitions" ont lieu à
l'extérieur des établissements, mais "pas toujours".
Les professeurs femmes sont également cibles de propos désobligeants
ou sexistes de la part d'élèves et de "certains parents qui refusent
d'être reçus par une personne du sexe opposé, ou de la regarder ou de
lui serrer la main". L'IGEN signale également la "banalisation de
l'antisémitisme et du racisme", parfois dès le plus jeune âge. Et "si
le racisme le plus développé dans la société reste le racisme
anti-musulman, ce n'est pas le cas dans les établissements scolaires
où il a été très nettement supplanté par le racisme anti-juif",
mentionne le rapport.
CONTESTATION POLITICO-RELIGIEUSES
"L'identité collective, qui se référait souvent hier chez les
élèves à une communauté d'origine, réelle ou imaginaire, et qui avait
fait parler certains sociologues de 'l'ethnicisation' des rapports
entre les jeunes, semble se transformer de nos jours en un sentiment
d'appartenance assez partagé à une 'nation musulmane' ", dont les
héros sont les adolescents palestiniens qui s'opposent à l'armée
israélienne et les chefs "djihadistes" responsables des attentats de
New York et Madrid. De fait, "dans la plupart des établissements
visités, les instants de recueillement national organisés à la suite
de ces événements tragiques ont été contestés ou perturbés de
l'intérieur, parfois de l'extérieur, ou bien n'ont pu avoir lieu".
En matière de pédagogie, l'organisation de sorties scolaires et
devenue "un sujet de préoccupation majeure pour les enseignants et les
personnels de direction" dans de nombreux établissements. Les
obstacles viennent dans de rares cas de familles protestantes mais
surtout de familles musulmanes qui sont réticentes à laisser leurs
filles y participer, en particulier lorsque le déplacement comporte
une nuitée en hôtellerie. En outre, un nombre croisant d'élèves de ces
établissements refusent de visiter et d'étudier des oeuvres de
l'architecture religieuse.
REFUS DE CERTAINS ENSEIGNEMENTS
Le rapport souligne "la vigueur et la généralité des contestations de
nature religieuse" à l'égard de l'enseignement dans les établissements
visités, "l'impréparation des enseignants à y répondre" et "le peu
d'aide qu'ils reçoivent pour y faire face du fait notamment de
l'ignorance dans laquelle se trouve l'encadrement".
L'EPS fait partie des disciplines pour lesquelles les enseignants se
plaignent de manifestations ou d'interventions de nature religieuse,
beaucoup tournant autour de la mixité. Mathématiques, lettre et
philosophie, disciplines artistiques, langues vivantes sont dans
l'ensemble l'objet de "contestations circonscrites". En revanche, les
SVT (Sciences de la vie et de la terre), comme l'histoire, sont
l'objet d'une contestation religieuse d'ensemble. L'histoire serait
ainsi globalement mensongère et partiale, "exprimant une vision
'judéo-chrétienne' et déformée du monde". Les SVT sont contestées au
nom du "créationnisme", conception qui "a ses partisans dans les trois
religions monothéistes" et qui réfute la théorie de l'évolution des
espèces. La reproduction est également l'occasion de contestations, de
même que les travaux pratiques, certains élèves refusant de manipuler
du matériel animal.
Les réactions des enseignants sont variées et dénotent "une
détermination sans doute inégale, des expériences différentes et la
place, plus ou moins claire ou confuse, où ils situent leur
enseignement". En histoire, certains enseignants, "les plus aguerris",
souvent ceux qui ont une plus longue expérience, "ont eu le temps de
sélectionner des documents adaptés et de concevoir de nouvelles façons
d'aborder les questions qu'ils savent sensibles. (...) Ils connaissent
et préviennent les réactions de leurs élèves et savent concilier un
questionnement de leur part avec une conception rigoureuse de la
laïcité de leur enseignement. Ce n'est pas le cas de beaucoup de
jeunes professeurs", relève le rapport.

Ainsi, la réaction la plus répandue est "sans doute" l'autocensure de
la part des enseignants. Certains choisissent de s'appuyer sur le
Coran pour tenter de légitimer leur enseignement aux yeux d'élèves qui
font référence au livre sacré pour refuser cet enseignement. En SVT,
l'autocensure existe également, tandis que certains enseignants
rétorquent que "l'établissement de la vérité scientifique n'est jamais
révélé ou imposé, qu'elle est le résultat de la démarche expérimentale
et que c'est précisément l'un des objets" de leur enseignement.
DÉNI A TOUS LES NIVEAUX DU SYSTÈME
Par ailleurs, le rapport mentionne que "les manifestations
d'appartenance religieuse semblent être, à tous les niveaux du système
(...) l'objet d'une sorte de refoulement ou de déni généralisé de la
part de beaucoup de personnels et de responsables: chacun commençant
généralement par déclarer qu'il n'y avait pas matière à nous déplacer
car il n'y avait rien à observer". De plus, l'IGEN souligne le manque
d'informations dont dispose l'encadrement, du chef d'établissement au
recteur en passant par l'inspection, ce qui les empêche d'aider les
enseignants.
Par ailleurs, l'IGEN explique que "la plupart des cas de
déscolarisation n'ont pas de motif religieux" mais sont plutôt dus au
handicap, à la maladie, au "décrochage" à la délinquance ou à la
marginalité. Elle évoque toutefois "quelques petits groupes religieux
refusant de scolariser les enfants": un groupe protestant, les
ravinistes, au sud-est du Massif Central, ne scolarise les enfants que
dans le primaire et sous plusieurs conditions, un groupe catholique
clandestin connu sous l'appellation de "Blancs", au bord de la Saône
et des familles musulmanes "regroupées autour d'un imam", "dans la
banlieue d'une grande ville de la vallée du Rhône", qui refusent
également l'École.
publié avec l'autorisation de l'AEF
Je pense que les extraits ci-dessous font parti du
même rapport ...
haut de page
texte hébergé
en 01/05
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...
et si la France entrait en conflit avec elle-même ?
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Où est passé le rapport ?
http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=3277
le
15.01.05
En juillet, des articles du Monde, du Figaro, de
Libération signalent la sortie d'un rapport de l'Inspection
générale de l'Education Nationale intitulé : « Les signes et
manifestations d'appartenance religieuse dans les établissements
scolaires ».
Des passages en sont cités ...
« La mixité est de plus en plus remise en cause. Dans
tel lycée, les filles "enfilent leur manteau avant d'aller au tableau
afin de n'éveiller aucune concupiscence". Dans les écoles primaires,
des conflits avec les parents se multiplient. Ainsi, "on a vu un père
refuser que sa fillette soit laissée dans la classe d'un instituteur
remplaçant l'institutrice". De plus en plus fréquemment, les mères
voilées ne sont pas identifiables. Ainsi, "une école a dû organiser un
sas, sans fenêtre, où la directrice peut, deux fois par jour,
reconnaître les mères avant de leur rendre leurs enfants". »
« L'"obsession de la pureté" est "sans limite" : dans
une école primaire, des élèves sont allés jusqu'à instituer l'usage
séparé des deux robinets des toilettes, l'un réservé aux "musulmans",
l'autre aux "Français". Ailleurs c'est un responsable local du culte
musulman qui a demandé de prévoir des vestiaires séparés dans les
salles de sport, car, selon lui, "un circoncis ne peut se déshabiller
à côté d'un impur". »
« Les revendications sur la nourriture s'exacerbent. Le
refus grandit de consommer toute viande non abattue selon le rituel
religieux, dans les collèges et lycées. Face à cette situation, un
proviseur a cru bon d'imposer la viande halal à l'ensemble des élèves,
provoquant la démission de son gestionnaire. Dans d'autres
établissements, on a institué une ségrégation entre musulmans et
non-musulmans en composant des tables distinctes ou en imposant une
menue à chaque catégorie. »
« Le ramadan est l'occasion d'un prosélytisme
croissant. Dans certains collèges, la pression des élèves pratiquants
rend impossible aux autres élèves dont les familles sont originaires
de pays dits musulmans de ne pas se conformer au rite. Certains élèves
d'origine européenne jeûnent aussi, sans que leur famille en soit
informée, pour se conformer aux normes. Les personnels d'origine
maghrébine sont de plus en plus souvent interpellés par des élèves
pour suivre le ramadan. »
Le Monde 09/07/04
Bref, le prosélytisme croissant, les pressions et
menaces des islamistes dans les écoles , le refus
d'intégration, apparaissent nettement dans ces articles sur ce rapport
de l'Education Nationale.
Le même mois, un rapport des renseignements Généraux
sur le repli communautaire décrit une situation identique.
Le voile n'est que l'arbre qui cache la forêt de cette
conquête islamiste annoncée et sera suivi assez vite de revendications
exigeant de la viande égorgée selon les rites de Mahomet, nommé «
hallal ». (le contraire de hallal est « haram », c'est-à-dire impur ou
péché, merci pour les autres).
D'autres exigences et revendications viendront, le
programme est publié, les intentions ne sont même plus dissimulées, et
la virulence s'accroît au fur à mesure que les idiots utiles, les
angélistes tiers-mondistes, reculent, terrorisés à l'idée de se voir
qualifiés de racisme ou d'islamophobie. L'objectif est annoncé :
l'instauration de la charia et d'une république islamique en France.
En même temps, l'Etat organise la chasse aux «
islamophobes » et multiplie les discours rassurants sur « l'islam à la
Française » et « l'islam de paix et de tolérance ».
.....
haut de page
La vérité sur l'islam à
l'école
Article de Christine Clerc paru le 4 Février 2005
dans Valeurs Actuelles n° 3558
Voici les principaux extraits du
rapport de l'Inspection générale de l'Éducation nationale remis à
François Fillon.
Les régressions de la condition
féminine
C'est sans doute le côté le plus
grave, le plus scandaleux et en même temps le plus spectaculaire de
l'évolution de certains quartiers…
Alors que l'on observe de plus en
plus de fillettes voilées, les adolescentes font l'objet d'une
surveillance rigoureuse, d'ailleurs exercée davantage par les
garçons que par les parents. Un frère, même plus jeune, peut être à
la fois surveillant et protecteur de ses sœurs. Ne pas avoir de
frère peut rendre une jeune fille particulièrement vulnérable. À
côté des fréquentations et des comportements, le vêtement est
souvent l'objet de prescriptions rigoureuses : comme le maquillage,
la jupe et la robe sont interdites, le pantalon est sombre, ample,
style "jogging", la tunique doit descendre suffisamment bas pour
masquer toute rondeur. Dans telle cité, on nous dit que les filles
doivent rester le week-end en pyjama afin de ne pouvoir ne serait-ce
que sortir au pied de l'immeuble. Dans tel lycée, elles enfilent
leur manteau avant d'aller au tableau afin de n'éveiller aucune
concupiscence.
Presque partout la mixité est
dénoncée, pourchassée, et les lieux mixtes comme les cinémas, les
centres sociaux et les équipements sportifs sont interdits. À
plusieurs reprises, on nous a parlé de la recrudescence des mariages
traditionnels, "forcés" ou "arrangés", dès 14 ou 15 ans.
Beaucoup de jeunes filles se
plaignent de l'ordre moral imposé par les "grands frères", peu osent
parler des punitions qu'on leur inflige en cas de transgression et
qui peuvent revêtir les formes les plus brutales.
Les écoles primaires.
Les inspecteurs d'académie ne
signalent que peu de cas concernant le comportement des élèves. Il
semble en revanche que les tensions avec des parents deviennent plus
fréquentes… La plupart concernent la tenue vestimentaire
"religieuse" des mamans. Le conflit s'envenime dans le cas, de plus
en plus fréquent, où la personne voilée n'est plus du tout
identifiable. Ainsi, une école a dû organiser un "sas", sans
fenêtre, où la directrice peut deux fois par jour reconnaître les
mères avant de leur rendre leurs enfants.
Les pères viennent plus rarement à
l'école mais ce peut être l'occasion d'autres types d'incidents
comme le refus de serrer la main des femmes ou même de leur adresser
la parole…
L'obsession de la pureté est sans
limite : exemple, ces élèves d'une école primaire qui avaient
institué l'usage exclusif des deux robinets des toilettes, l'un
réservé aux "musulmans", l'autre aux "Français".
Les signes et tenues
vestimentaires.
On peut espérer de l'application
de la loi sur le voile qu'elle fasse cesser confusions et rumeurs,
et surtout qu'elle mette un terme aux marchandages auxquels certains
se sont livrés, et qui n'ont guère contribué à faire comprendre et
accepter par les populations issues de l'immigration l'un des
principes fondateurs de la République, la laïcité. Certains récits
de "discussions" et de compromis sont en effet proprement
ahurissants, surtout si l'on sait qu'ils ont pu se dérouler en
présence de représentants des autorités académiques : ici on a
négocié la couleur du foulard, là sa taille, ici il s'est agi de
découvrir le lobe de l'oreille, là de laisser voir une mèche de
cheveux, ici on l'a interdit en classe ; sans parler de ce lycée où
les classes ont été composées et les emplois du temps constitués en
séparant les professeurs favorables et défavorables au voile !
La nourriture.
Les cuisiniers et les
gestionnaires des établissements se trouvent depuis peu devant une
nouvelle difficulté : le refus par un nombre croissant d'élèves de
consommer toute viande non abattue selon le rituel religieux. Ce
mouvement est apparu il y a peu de temps mais s'est très vite
répandu, souvent sous l'impulsion des garçons les plus jeunes,
arrivant en sixième au collège, en seconde au lycée… Les chefs
d'établissement et les gestionnaires réagissent de façon différente.
Ceux qui n'ont encore rien modifié à l'organisation antérieure
jettent la viande non consommée. Certains confectionnent
quotidiennement un menu végétarien et d'autres proposent
systématiquement du poisson. Un proviseur a cru bon aussi d'imposer
la viande halal à l'ensemble des rationnaires, provoquant d'ailleurs
la démission de son gestionnaire.
Enfin, dans d'autres
établissements scolaires, on a institué une ségrégation entre
"musulmans" et "non-musulmans" en composant des tables distinctes ou
en imposant un menu à chaque catégorie : ici, par exemple, l'agneau
est "interdit aux non-musulmans", là les tomates sont "réservées aux
musulmans".
Le calendrier et les fêtes.
La première manière de manifester
une appartenance religieuse est de contester le calendrier ou les
fêtes scolaires. La fête de Noël est de ce point de vue la plus
contestée par certains élèves et parents. En plus d'un endroit on
nous a rapporté la demande de supprimer "l'arbre de Noël" et la fête
scolaire traditionnellement organisée à cette occasion par l'école
ou le collège ; ce qui a parfois été obtenu…
Les fêtes religieuses musulmanes,
principalement les deux grandes fêtes traditionnelles du Maghreb, la
"grande fête" (aïd el-kébir) célébrant le sacrifice d'Abraham, et la
"petite fête" (aïd el-seghir) marquant la fin du carême, sont
l'occasion d'un absentéisme de plus en plus massif de la part des
élèves. Les établissements, parfois presque vides, réagissent ici en
ordre dispersé : certains ne changent en rien les activités prévues,
d'autres ferment en donnant congé aux personnels…
Le mois de carême musulman est
également une occasion de tension dans beaucoup d'écoles, de
collèges et de lycées. Massivement suivie, pratiquée par des enfants
de plus en plus jeunes (depuis le cours préparatoire), l'observance
du jeûne est manifestement l'objet de surenchères entre
organisations religieuses, qui aboutissent à l'émergence puis à la
diffusion de prescriptions de plus en plus draconiennes, et de
pratiques de plus en plus éprouvantes pour les élèves : ainsi de
l'interdiction d'avaler le moindre liquide, y compris sa propre
salive, qui entraîne la pollution des sols par les crachats et les
refus de la piscine.
Le prosélytisme.
Dans certains collèges, il est
devenu impossible pour les élèves dont les familles sont originaires
de pays dits musulmans de ne pas se conformer au rite… En témoignent
ces reliefs de repas qui souillent fréquemment les toilettes, ces
démissions d'élèves et, plus dramatique, cette tentative de suicide
d'un élève soumis aux mauvais traitements de ses condisciples. Sous
ce type de pression, ou plus simplement pour se conformer aux normes
du groupe, certains élèves d'origine européenne observent aussi le
jeûne sans que leur famille en soit forcément informée. C'est pour
certains, filles et garçons, le début d'une démarche de conversion.
Il est clair que les pratiques des établissements scolaires ne
permettent pas aujourd'hui de protéger la liberté des choix
spirituels des familles pour leurs enfants mineurs… Les personnels
aussi, en particulier s'ils sont d'origine maghrébine, sont de plus
en plus souvent interpellés par des élèves sur leur observance du
jeûne et parfois, pour les surveillants et assistants d'éducation,
mis à l'écart en cas contraire. Il semble aussi que dans plus d'un
endroit, pour "acheter" la paix sociale ou scolaire, on ait
imprudemment recruté quelques "grands frères", au zèle prosélyte
notoire, comme "emplois-jeunes". Ainsi, dans un collège, les élèves
trouvés en possession d'un document du Tabligh appelant
explicitement au châtiment corporel des femmes répondent qu'il a été
distribué par un surveillant…
L'antisémitisme et le racisme.
On observe la banalisation,
parfois dès le plus jeune âge, des insultes à caractère antisémite.
Le mot "juif" lui-même et son équivalent "feuj" semblent être
devenus chez nombre d'enfants et d'adolescents une insulte
indifférenciée, pouvant être émise par quiconque à l'endroit de
quiconque. Cette banalisation ne semble en moyenne que peu émouvoir
les personnels et les responsables.
Ces agressions, parfois ces
persécutions, ravivent des souvenirs particulièrement douloureux
chez les familles dont les enfants en sont les victimes. Elles ont
notamment pour effet, dans certaines grandes agglomérations où
l'offre scolaire et les transports en commun le facilitent, le
regroupement des élèves d'origine juive, dont la sécurité n'est plus
assurée dans nombre d'établissements publics, dans des
établissements privés.
Il est en effet, sous nos yeux,
une stupéfiante et cruelle réalité : en France les enfants juifs -
et ils sont les seuls dans ce cas - ne peuvent plus de nos jours
être scolarisés dans n'importe quel établissement.
Les contestations
politico-religieuses.
Beaucoup de collégiens interrogés
sur leur nationalité répondent de nos jours "musulmane". Si on les
informe qu'ils sont français, comme dans ce collège de la banlieue
parisienne, ils répliquent que c'est impossible puisqu'ils sont
musulmans !
Leurs héros sont à la fois les
adolescents palestiniens qui affrontent à mains nues les blindés
israéliens, et dont les images des corps ensanglantés passent en
boucle sur les chaînes satellitaires des pays arabes, et les chefs "djihadistes"
responsables des attentats de New York et de Madrid.
Dans la plupart des établissements
visités, les instants de recueillement national organisés à la suite
de ces événements tragiques ont été contestés ou perturbés de
l'intérieur, parfois de l'extérieur, ou bien n'ont pu avoir lieu, ou
encore ont été détournés de leur objet officiel par des chefs
d'établissement soucieux qu'ils puissent se dérouler dans le calme
(par exemple en invitant les élèves à se recueillir sur "tous les
morts de toutes les guerres").
Comme dans la plupart des pays
musulmans, Oussama ben Laden est en train de devenir, chez les
jeunes de nos "quartiers d'exil", la figure emblématique d'un Islam
conquérant, rejetant en bloc les valeurs de notre civilisation.
Les lettres et la philosophie.
Il y a d'abord le refus ou la
contestation, assez fréquents, de certaines œuvres et de certains
auteurs. Les philosophes des Lumières, surtout Voltaire et Rousseau,
et les textes qui soumettent la religion à l'examen de la raison
sont particulièrement visés : « Rousseau est contraire à ma religion
», explique par exemple à son professeur cet élève d'un lycée
professionnel en quittant le cours. Molière, et en particulier
Tartuffe, sont également des cibles de choix : refus d'étudier ou de
jouer la pièce, boycott ou perturbation d'une représentation. Il y a
ensuite les œuvres jugées licencieuses (exemple : Cyrano de
Bergerac), "libertines" ou favorables à la liberté de la femme,
comme Madame Bovary, ou encore les auteurs dont on pense qu'ils sont
étudiés pour promouvoir la religion chrétienne (Chrétien de
Troyes…).
Il y a enfin la difficulté à
enseigner le fait religieux et notamment les textes fondateurs des
grandes religions du Livre. Certains contestent cette faculté au
collège et aux professeurs (« Je vous interdis de parler de Jésus à
mon fils », vient dire un père à un professeur…). D'autres
difficultés surgissent autour du caractère sacré du Livre : nombreux
refus que le professeur touche ou lise le Coran, refus de lire
soi-même la Bible.
L'histoire est l'objet d'une
accusation d'ensemble de la part de certains élèves et de ceux qui
les influencent : elle serait globalement mensongère et partiale,
elle exprime une vision "judéo-chrétienne" et déformée du monde.
Tout ce qui a trait à l'histoire du christianisme, du judaïsme, de
la chrétienté ou du peuple juif peut être l'occasion de
contestations. Les exemples abondent, comme le refus d'étudier
l'édification des cathédrales ou encore d'admettre l'existence de
religions préislamiques en Égypte ou l'origine sumérienne de
l'écriture. Cette contestation devient presque la norme et peut même
se radicaliser et se politiser dès qu'on aborde des questions plus
sensibles, notamment les croisades, le génocide des juifs (les
propos négationnistes sont fréquents), la guerre d'Algérie, les
guerres israélo-arabes et la question palestinienne. En éducation
civique, la laïcité est également contestée comme antireligieuse.
La réaction la plus répandue des
enseignants est sans doute l'autocensure. Une mauvaise expérience
d'une première année d'enseignement, et on décide de ne pas aborder
telle question sensible du programme. Cette attitude est sans doute
largement sous-estimée, car les intéressés n'en parlent qu'avec
réticence ; mais elle ne constitue pas vraiment une surprise. Il
n'en est pas de même du second type de réactions, qui consiste,
devant l'abondance des contestations d'élèves s'appuyant sur le
Coran, à recourir au livre sacré pour tenter de légitimer
l'enseignement. Ainsi ce professeur qui déclare en toute candeur
s'appuyer sur les élèves inscrits à l'école coranique (« Mes bons
élèves », dit-il), garants de l'orthodoxie musulmane, afin
d'invalider les contestations venant d'autres élèves. Le comble est
sans doute atteint avec ce professeur enseignant avec le Coran sur
son bureau.
Les mathématiques.
La seule difficulté mentionnée par
des professeurs de cette discipline, en des endroits fort éloignés,
qui dénote la même obsession ou le même endoctrinement, est le refus
d'utiliser tout symbole ou de tracer toute figure (angle droit,
etc.) ressemblant de près ou de loin à une croix.
15.01.05 |
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