Et alors ? de l'ENtre-relationnalité GEnérale

  .... du droit des ENtre-COques-Organiques ....

                                                                                                          

Dossiers :

...

Auteur:  l'hcq

      

..Et alors..?........En peu de mots,  c'est la question que m'ont posée certains de mes proches après avoir visité le site. J'ai essayé de leur répondre au mois de juin en leur parlant de .... Weltanschauung... et l'écho me répondit à nouveau: ..." ..et alors..?."

Rassemblant les documents pour l'envoi du mois , je me suis dit que cet écho allait me revenir régulièrement ...

....et alors ...je vais essayer de poursuivre cette rubrique... intitulée :

 

Et alors ? ...

 

 

....ce 1er septembre 2002 ....

 

Salut à toi,

J'espère que ces mois d'été, ont été agréables pour toi et tes proches.... et que si tu étais parti tu as retrouvé avec plaisir ton cadre habituel.

En rassemblant les articles traitant de l'homme et de l'actualité... ce qui me frappe, c'est combien notre vision actuelle de la vie, de l'humanité, focalise essentiellement sur l'individu et non sur la Vie EN notre création ..EN ce qui EST ....EN ce jour ...  C'est comme si  parlant d'un arbre, l'on ne voyait que la feuille.... que l'un des "membre" d'un « corps». Or  dans la vie chaque  élément est directement dépendant des autres et vice versa, et ceci de l'infiniment petit à l'infiniment grand.... EN développement EN totale interdépendance.... ( voir cambium)

La vie, le mode de fonctionnement de l'homme, est d'abord ..inter-relation... inter action et réaction....Sans inter- réactions pas de vie.....comme le souligne particulièrement  Pierre Karli et Andràs Paldi

L'homme est: "NOUS". Aussi est-ce des "ensembles" ...des coques... des coques organiques  ..  nos metaxu ... qu'il faudrait nous préoccuper en premier. Isolé, l'homme perd la vie. L'homme-UN ...indifférencé ..n'existe pas.. et le NOUS de base est le couple époux F-H

Ces inter relations et inter-actions, ces réseaux, forment des ensembles... des coques systémiques EN venir-de-venir dans l'altérité fondatrice de ce qui nous EST donné...sans altérité pas d' énergie ... pas de genèse .. pas d'évolution ..

A quand les Droits et Devoirs des Coques Organiques en préambule aux Droits et Devoirs de l'Homme, assurant :

..à l'espèce humaine son développement organique naturel et intégral EN ce qui EST .. nous est donné ...EN son intégrité et sa dignité génétique..

--à la coque organique de base... l'enfant, son droit à sa mère et son père organique...

-- à la coque organique de base HF parents, leur intégrité et leur dignité physique et spirituelle... leur liberté de conscience

-- aux  familles, le droit à une cité ...un peuple ...

-- aux peuples, le droit à leur culture, à leur langue, à leurs traditions, à leur patrimoine, à leur mode de vie ... à leur histoire ..

-- aux cultures..  le droit à leur terre, à leurs racines, leur enracinement et leur développement ... EN leur patrie organique ..

-- aux nations le droit au respect et leur pérennité...

-- aux communautés de nations le droit au respect réciproque et leur développement réciproque ... leur civilisation

.... l'Ensemble formant la grande famillehumaine d' ensembles responsables et  interdépendants,  vivants en cohésion sociale et se développant dans le respect l'un de l'autre EN  harmonie... UNiverselle ...

 ..... EN  ce qui nous est donné par la Nature et amendé par nos aïeux et par nous à nos enfants.... multiples Uns EN UN ...

Coques et rico !!!!

Je te souhaite un agréable mois de septembre.. et te dis ....

salut à toi* ...  ma poule ....

 

*

**

 

* N.B.... Je viens de regarder dans le Robert la définition du mot SALUT ...n.m.

 I.1. Fait d'échapper à la mort, au danger, de garder, de recouvrer un état heureux, prospère. I.2. Félicité éternelle ; fait d'être sauvé du péché et de la damnation. II.1 formules exclamatives par laquelle on souhaite à quelqu'un, santé, prospérité II.

2 formules brèves d'accueil ou d'adieu

II.3 démonstrations de civilité (geste ou parole) qu'on fait en rencontrant quelqu'un.

II.3 cérémonie d'hommage..

et alors.?...des droits de l'homme-coq aux droits des ENsembles Coques ...

....un grand salut à toi....ET ... à NOS coques.....

 

Robert

 

 

 

voir aussi:

non aux casseurs de coques

Nos Metaxu ....par Simone Weil

l'homme... un être de relations..et de conscience ...pour Pierre Karli

Le réel enchevetré .... ..Les coques ....une représentation de la complexité....

 autopoïèse

...courtes vues en coqs ...

 

et ci-dessous :

"L’interdépendance des droits et des responsabilités ...interpersonnelles, interfamiliales, entre états et communauté internationale, constitue un thème récurrent de l’enseignement social du Siège apostolique"

"La vraie constitution est fondée sur l’amour de son pays" Olympe de Gouges

du changement de paradigme

de l'ENtrelationnalité générale

 

2013 :

 ... l'épigénétique

 

2014

l' ENfant-PAIR-EN ... à l'attachement et le care-giving cette ENtre relation vitale ...

 

ÊTRE HUMAIN et SES METAXU ....

« Toutes les choses crées refusent pour moi d’être des fins. » [...] Les choses crées ont pour essence d’être des intermédiaires. Elles sont des intermédiaires les unes vers les autres, et cela n’a pas de fin. Elles sont des intermédiaires vers Dieu. Les éprouver comme telles. [...] Seul celui qui aime Dieu peut regarder les moyens seulement comme des moyens. [...] LA PUISSANCE (et l’argent, ce passe-partout de la puissance) EST LE MOYEN PUR. PAR LA MÊME, C’EST LA FIN SUPRÊME POUR TOUS CEUX QUI N’ONT PAS COMPRIS. [...] NE PRIVER AUCUN ÊTRE HUMAIN DE SES METAXU, C’est-à-dire de ces bien relatifs et mélangés (FOYER, PATRIE, TRADITION, CULTURE, etc...) QUI RECHAUFFENT ET NOURRISSENT L’ÂME et sans lesquels, en dehors de la sainteté, une vie humaine n’est pas possible. [...] Pour respecter par exemple les patries étrangères, IL FAUT FAIRE DE SA PROPRE PATRIE, NON PAS UNE IDOLE, MAIS UN ECHELON VERS DIEU. [...] »
 

Auteur : Simone Weil

Source : http://home.tiscali.be/vexilla/RELIGION_ET_ETAT.htm

 

"L’interdépendance des droits et des responsabilités

CITE DU VATICAN, Mardi 30 mars 2004 (ZENIT.org) – Le Saint-Siège rappelle la responsabilité des Etats dans la promotion du "droit au développement".
L’Observateur permanent du Saint-Siège à l'Organisation des Nations Unies à Genève, Mgr Silvano Tomasi, a pris la parole le 24 mars devant la 60e session (15 mars-15 avril) de la Commission des Droits de l'Homme à propos du "Droit au développement" (Thème 7).
 

"Nous croyons que la promotion, la protection et l’application du droit au développement relève d’abord de la responsabilité de l’état", affirmait Mgr Tomasi
 

Le Saint-Siège déplorait le fait que "le fossé entre les pays les plus riches et les plus pauvres s’accroît".
 

Mais son représentant ajoutait : "La mondialisation a rendu le monde entier plus sensible à l’injustice, à la pauvreté, à la discrimination, à la dégradation de l’environnement".

Mgr Tomasi louait "la Déclaration des Droits de l’Homme adoptée en 1986 par l’Assemblée générale" comme étant "unique parmi les normes internationales relatives aux droits humains".
 

En effet, remarquait Mgr Tomasi, "elle identifie la "personne" comme le centre et le bénéficiaire du droit, et l’Etat comme principal responsable de la garantie de ce droit".
 

"Elle met aussi en relief, disait-il, le lien direct entre le droit et l’obligation de la coopération internationale pour l’aide aux Etats dans l’exercice de leurs devoirs et comme premiers promoteurs et protecteurs du droit de chacun au développement".
 

La mondialisation, "implique une responsabilité aussi importante de la Communauté internationale", pour faciliter l’assistance à ceux qui, comme le soulignait Jean-Paul II, tout en représentant aujourd’hui la majorité "sont dépourvus des moyens nécessaires pour occuper la place sociale qui leur revient", dignement.
 

"L’interdépendance des droits et des responsabilités interpersonnelles, interfamiliales, entre états et communauté internationale, constitue un thème récurrent de l’enseignement social du Siège apostolique", rappelait Mgr Tomasi.

ZF04033003

 

dimanche 15 avril 2012

Système immunitaire collectif ...

Lorsqu’une fourmi est attaquée par des fungi, ses congénère lui viennent immédiatement en aide, en absorbant une partie des dits fungi.

Cela permettrait à la première fourmi de ramener l’attaque à un niveau que son système immunitaire sait traiter, et cela immuniserait le reste de la colonie. Elle aurait donc une forme de système immunitaire collectif.

Infectious Selflessness: How an Ant Colony Becomes a Social Immune System (Scientific American)

...alors à toute coque ...

...son système immunitaire ...?

 

2013

Remarques patriotiques, Olympe de Gouges

Ce début de texte d’Olympe de Gouges date de 1788. Il montre la lucidité de cette femme sur l’état révolutionnaire du pays, sa vision sentimentale de la politique qui ne doit pas arrêter le lecteur, son engagement clair et net aux côtés du Peuple pour tenter d’apaiser les conflits, un engagement allié à un sens patriotique. Ce début de texte entre dans un cycle de publications d’œuvre d’Olympe de Gouges que les Editions La Brochure vont entreprendre pour poursuivre leur activité féministe. Remarques patriotiques Par la Citoyenne, auteur de la lettre au Peuple Ma lettre au Peuple, ou le projet d’une caisse patriotique, a ému les belles âmes. Elle a excité la critique des mauvais Citoyens. Ils osent même dire que le caractère français est éteint, et que l’égoïsme est actuellement l’esprit dominant de la Nation. Ah ! s’il n’a pas brûlé jusqu’à présent pour la Patrie, il peut renaître de sa cendre. La France a peut-être été trop florissante jusqu’à ce siècle ; elle a excité l’envie de toutes les nations, et pour un choc violent qu’elle éprouve, faut-il qu’elle se perdre elle-même ? O France, France ! Relève ton front altier, et n'inspire point à tes voisins le sentiment de la pitié. Que le Peuple, les Parlements et le Roi ne forment qu’une même famille, et la Nation reprendra bientôt sa première splendeur. Et vous, ennemis de vos frères, de votre Roi et du repos public ; étouffez cet esprit de révolte et de discorde, qui n'entraînerait que votre perte, et la chute de l'Etat. La misère n'a déjà que trop affligé votre Pays ; craignez d'allumer les flambeaux de la guère, et de périr les premiers dans une infâme boucherie. Mes avis ne sont point bizarres ; c’est en employant les matériaux de la vérité, que je prétends démontrer le danger, le bon, et l’utile. C’est une femme, qui ose se montrer si forte, et si courageuse pour son Roi, et pour sa Patrie. La France est plongée dans la douleur ; le Peuple souffre et le monarque gémit. Le Parlement demande les Etats-Généraux, et la Nation ne s’entend pas. Ils sont indécis sur la manière de s’assembler. Toutes ces altercations sont des entraves au salut que l’Etat attend de leurs lumières. Le Tiers- Etat avec raison prétend avoir autant de voix que le Clergé et la Noblesse, mais la dignité de ces derniers ne veut point entendre que les organes du Peuple sont des voix aussi salutaires que les siennes à l’administration des Finances, et aux prompts remèdes qu'on doit porter à un mal qui s’empire tous les jours. Il me semble voir un malade dans son lit, à qui il faut une prompte opération. Un habile médecin l'ordonne sur le champ ; mais les parents qui ont souvent des vues contraires à celles du sage Médecin demandent une consultation de ce qu’il y a de mieux dans la Faculté, sur la manière de faire l’opération. L’auguste Assemblée d’Esculape ne s’entend pas. On disserte longtemps ; le mal devient désespéré, ou le malade périt ; et le bon médecin est le Tiers-état. Messieurs les Nobles, sont l’auguste assemblée des Médecins, à qui je représente, avec les droits que mon sexe me donne, de laisser de côté le rang, les titres, et ce vain préjugé de ses dignités idéales, et voler en foule faire l'opération du Royaume, chasser le mal, et introduire le bien. Voilà sur quelles conséquences il faut discuter. La supériorité doit se taire, et faire place à la raison ; et dans une semblable calamité, Barons, Marquis, Comtes, Ducs, Princes, Evêques, Archevêques, Eminences, tout doit être citoyen ; tous doivent donner l'exemple de cet amour patriotique au reste de la Nation, pour concourir ensembles au bonheur de l’Etat et à la gloire de son Pays. Le bien est-il donc si difficile à faire ? Oui, sans doute, les Parlements et le Souverain en font la triste expérience ; mais je l’ai déjà dit, que le Roi et les Parlements ne forment qu'un même cœur, et l’âme de la Patrie se signalera. Et pour mieux vous toucher de cette vérité, Puissances supérieures aux peuples, considérez le tableau effrayant que je vais retracer à vos yeux du plus grand nombre des citoyens. Le commerce est écrasé, une quantité incroyable d’ouvriers sont sans état et sans pain, que deviennent-ils ? Pourriez-vous vous en rendre compte sans frémir ? Tout est arrêté, le riche impitoyable cache son argent ; vil instrument de sa cupidité, peut-il prolonger ses jours, peut-il les rendre plus heureux ? Ces trésors dans l’inaction quel bien peuvent-ils faire à personne ? C’est à l’Etat qu’il faut les offrir, et les offrir sans aucun intérêt, tel qu'ils les placent dans leur coffre-fort. Dans la caisse de la nation, ils vous rapporteront un prix au-dessus de leur valeur, vos collatéraux, après vous, s'applaudiront de trouver dans votre fortune de tels recouvrements, vous leur laisserez la gloire et les honneurs qui éterniseront votre mémoire. Si une si belle victoire n’émeut point vos âmes abjectes, craignez le désespoir des malheureux et des révoltés. Vous ne sauriez vous le dissimuler, c’est toujours sur les riches qu’ils portent leurs mains hardies et meurtrières, et souvent dans leurs fureurs ils ne distinguent plus les bons d'avec les méchants. Dans un Etat de Monarchie, tel que la France, le peuple ne peut être heureux qu’autant que l'Etat n’est point obéré ; la vraie constitution est fondée sur l’amour de son pays et de son Roi : voilà les Francs, voilà leurs véritables vertus. Si elles n'existent plus dans la nation, la nation est perdue, elle sera livrée au pillage des brigands, et peut-être soumise aux puissances ennemies. C’est donc à vous, grands, sages, bon citoyens à détourner les maux que je redoute pour ma Patrie. Il se peut que mon cœur pénétré ne soit trop alarmé de ses craintes, et que cette crainte m’ait fait voir un danger évident. Ah ! Combien de fois les Etats se sont perdus, faute de prévoir les grands événements ! Ce sont de ces causes célèbres où chacun est intéressé et le parti le plus puissant doit entendre et recevoir avec plaisir les avis du parti le plus faible. C’est sur les intérêts du public et de l’Etat qu’il faut se prononcer ; mais en se prononçant, il faut les unir et les accorder, et si vous les divisez, vous les perdez tous les deux. Je sais que dans un temps heureux les maximes de l’Etat sont différentes de celles du public et que la politique du gouvernement ne permettrait point aucune observation relativement à ses administrations, mais devenu plus humain que politique, plus sage que vain, il écoute et reçoit avec plaisir les avis de chacun, quand ils ne tendent qu’au salut général. Le premier instant des têtes citoyennes produit quelque fois les plus grands revers ; mais leur retour sage et salutaire répare bientôt un instant de fermentation. Tel [C’est ainsi] qu’on voit actuellement les arrêtés des Parlements. Le mal s’est empiré par trop de zèle ; mais ce mal peut se réparer par ce même zèle. Unissez-vous donc, messieurs, et ne perdez point de vue l’impôt volontaire, et quel que faible que soit l’Auteur dans ses rayons de lumières, ils n’en sont pas moins utiles pour le bien de la France. Souvent les moyens les plus simples ont produit de grands effets ; craindrait-on de les employer, parce qu’ils sont faciles ? Craindrait-on de les mettre en exécution, parce que c’est une femme qui les propose ? Craindrait-on d’obscurcir l’éclat de la Couronne, en offrant à son roi un don pur et volontaire, quand il peut, à son gré, créer des impôts ? Y a t il plus à rougir de recevoir de la part de ses sujets un service, que de les forcer la baïonnette au bout du fusil de vous l’accorder ? Il me semble que les impôts sont ainsi exécutés, ou je ne me connais point en matière politique. Il me semble aussi que dans les temps de guerre, différentes villes maritimes ont offert au Roi des vaisseaux qu’il a acceptés sans rougir, et je ne vois pas de différence avec le projet de caisse patriotique pour la dette nationale, ou je n’ai point l’ombre du sens commun. Craindrait-on que cet impôt n’eût point l’effet que j’en promets ? Et quand cela serait, par ce moyen on s’instruirait du véritable caractère français. Cette expérience serait peut-être très utile à l’Etat et à la Nation, et ce moyen facile, sans effets, donnerait sans doute des points de vues pour ceux qui conviennent actuellement.

 

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI AUX PARTICIPANTS AU CONGRÈS PROMU PAR LE PARTI POPULAIRE EUROPÉEN

...les trois points non négociables .... présidentielles 2007 ...

 

 Cartes de vœux 2013-2014

A ce qui est naturel l'univers suffit à peine.

Ce qui est artificiel exige un espace clos.

  

Faust II, Acte II, scène « Un laboratoire »

 

     

 

 

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..en proche relation ... Coqs ET Coqs ....EN coque EN... 

 

 

 

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... en France ..en Europe ...

...L'amour s'est en effet "refroidi »  ... la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

Loin que ce soit être qui illustre la relation , c'est la relation qui illumine l'être.     Gaston Bachelard

Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

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