La famille .....d'après Jean-Paul II .... et ....autres

la famille

bulletLa Famille et l'Eglise...Jean-Paul II ..Ainsi leur sera proposée une vision positive des relations affectives et de la sexualité....inviter les curés des paroisses romaines à s'engager à fond dans la promotion de la « véritable famille » en rejetant « toute interprétation arbitraire » et en se souvenant que « l'avenir de l'Eglise et du monde dépend de la famille ».
bullet ces communautés initiatrices  Pour les jeunes Maghrébins, la famille ne revêt pas la même réalité.
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« Chrétiens et musulmans : Ensemble pour la dignité de la famille »  « Chrétiens et musulmans: Ensemble pour la dignité de la famille » ...message du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ....« La famille, lieu où l'amour et la vie, le respect de l'autre et l'hospitalité se rencontrent et se transmettent, est vraiment la ‘cellule fondamentale de la société' »

bullet Le cardinal Antonelli invite les familles à jouer un rôle dans la société que les familles deviennent « protagonistes de la vie civile », le cardinal Antonelli les a ainsi invitées à s'unir « en association, afin de conditionner positivement la politique ». « Etant donné que les familles apportent de nombreux bénéfices à la société, elles ont aussi des droits et doivent les faire valoir », a-t-il affirmé. « Elles peuvent le faire si elles s'unissent en association ».

 

 
 

La Famille et l'Eglise...Jean-Paul II

Auteur : discours de Jean Paul II

 Message aux évêques des provinces de Dijon et de Tours, le 30 janvier 2004
Source : http://www.libertepolitique.com/det_decryptage.php?id=2450&PHPSESSID=3a9727ecbbd644a42f5d40282da605dd

La famille ensuite doit être " au centre de vos préoccupations de pasteurs ", a dit le Pape aux évêques. “La famille n'est pas un modèle de relation parmi d'autres, mais un type de relation indispensable à l'avenir de la société." C'est pourquoi il convient de porter attention à la formation des jeunes en voie de se marier. " Ainsi leur sera proposée une vision positive des relations affectives et de la sexualité. On ne peut assister, impuissants, à la ruine de la famille. L'Église souhaite participer en ce domaine à un véritable changement des mentalités et des comportements, pour que triomphent les valeurs positives liées à la vie conjugale et familiale. Et ce face aux messages souvent destructeurs de la société actuelle, qui laissent penser que tous les comportements affectifs sont bons, niant toute qualification morale des actes humains. "

Le Pape dénonce les « comportements aberrants » dans le domaine familial

Auteur : discours de Jean Paul II

 Message aux évêques des provinces de Dijon et de Tours, le 30 janvier 2004

Source : Présent 28.02.04

Jean-Paul II a dénoncé jeudi, lors d'une rencontre au Vatican avec les curés des paroisses romaines, « les comportements erronés et souvent aberrants » qui sont diffusés publiquement » et même exhibés et exaltés » par les mélias.

L'infidélité, l'activité sexuelle en dehors du mariage et l'absence d'une vision morale et spirituelle du contrat matrimonial sont représentées de façon acritique, en défendant parfois en même temps le divorce, la contraception, l'avortement et l'homosexualité », a ainsi déploré le Pape, avant d'inviter les curés des paroisses romaines à s'engager à fond dans la promotion de la « véritable famille » en rejetant « toute interprétation arbitraire » et en se souvenant que « l'avenir de l'Eglise et du monde dépend de la famille ».

« Les autorités publiques ont elles-mêmes le devoir important de promouvoir le mariage et la famille pour le bien de la société », avait déjà rappelé Jean-Paul II dans un message écrit pour la prochaine Journée des communications sociales le 23 mai.

 

BERNARD STASI SUR L'IMMIGRATION (2)

« Pour les jeunes Maghrébins, la famille ne revêt pas la même réalité. Le foyer musulman (si tant est que cette notion soit exacte pour une tradition qui admet la polygamie) n’exerce pas la même fonction d’initiation première. Cette mission est plus largement dévolue à une communauté qui n’est pas celle de la famille mononucléaire, mais, au contraire, polynucléaire, intégrant toute une large parenté ou même un environnement de voisinage. En outre, dans la tradition musulmane qui n’intègre pas le seul ordre de la foi religieuse, mais toutes les normes de l’organisation sociale et politique, l’éducation coranique prend une place considérable.
Or, les conditions concrètes de la vie des immigrés n’ont pas permis de reconstituer en France les structures mêmes de ces communautés initiatrices telles qu’elles existaient dans les pays d’origine. »

Bernard STASI, L’Immigration : Une chance pour la France, Éditions Robert Laffont, 1984, pp. 86-87.

22.04.07

 

La famille, "élément porteur de la vie sociale"

C'est ce qu'a déclaré le pape Benoît XVI a déclaré samedi lors de sa visite pastorale à Vigevano (Lombardie, nord). Le pape a célébré une messe devant plusieurs milliers de personnes avec les évêques de Lombardie sur la "place ducale" devant la cathédrale de Vivegano :

"La famille est l'élément porteur de la vie sociale, et c'est seulement en agissant en faveur de la famille que l'on peut restaurer le tissu de la communauté ecclésiale et de la société civile".

La communauté musulmane de Vigevano a adressé une lettre au pape à l'occasion de sa visite, pour saluer sa "volonté sincère d'instaurer avec nous, musulmans et avec ceux qui n'appartiennent pas à l'Eglise catholique un vrai dialogue pour une meilleure compréhension".

 

22.09.08

« Chrétiens et musulmans : Ensemble pour la dignité de la famille »

 

Message du cardinal Tauran

ROME, Vendredi 19 septembre 2008 (ZENIT.org) -  « Chrétiens et musulmans: Ensemble pour la dignité de la famille ». C'est le titre du message du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux à l'occasion de la fin du Ramadan. Un message signé par le président de ce dicastère romain, le cardinal français Jean-Louis Tauran et par le secrétaire du dicastère, Mgr Pierluigi Celata.

 

Citant le document du Concile œcuménique Vatican II sur l'Église dans le monde de ce temps, « Gaudium et Spes » (n. 47), le cardinal Tauran fait observer qu'il « rappelle opportunément » que le « développement de la personne et de la société dépend en grande partie de la prospérité de la communauté conjugale et familiale ! »

« Chrétiens et musulmans, nous pouvons et nous devons œuvrer conjointement à la sauvegarde de la dignité de la famille, aujourd'hui et demain », affirme le cardinal français dans son message annuel.

Il faisait observer que «  chrétiens et musulmans ont une haute estime pour la famille », ce qui a déjà permis différentes formes de collaboration « tant au niveau local qu'international ».

 

« La famille, lieu où l'amour et la vie, le respect de l'autre et l'hospitalité se rencontrent et se transmettent, est vraiment la ‘cellule fondamentale de la société' », affirme le message.

Il encourage donc l'engagement de « chrétiens et musulmans » pour « venir en aide aux familles en difficulté » et pour « collaborer avec tous ceux qui ont à cœur de favoriser la stabilité de l'institution familiale et l'exercice de la responsabilité parentale, en particulier dans le domaine de l'éducation ».

Or la famille est par excellence l'école du « respect » et du « dialogue » : « La famille, insiste le cardinal Tauran, est la première école où l'on apprend le respect de l'autre, dans son identité et dans sa différence. Le dialogue interreligieux et l'exercice de la citoyenneté ne peuvent donc qu'en bénéficier ».

 

« Chers Amis, conclut le message, alors que votre jeûne prend fin, purifiés et renouvelés par les pratiques chères à votre religion, puissiez-vous connaître avec vos familles et ceux qui vous sont chers, une vie sereine et prospère ! Que le Dieu Très-Haut vous comble tous de sa miséricorde et de sa paix ! »

 

Le cardinal Antonelli invite les familles à jouer un rôle dans la société

 

Il dresse le bilan de la Rencontre internationale des familles (Mexico)

 

ROME, Mardi 20 janvier 2009 (ZENIT.org) - Le cardinal Ennio Antonelli a invité les familles à être « protagonistes dans la société » et à s'unir « en association afin de conditionner positivement la politique ».

Le président du Conseil pontifical pour la famille s'est exprimé dans L'Osservatore Romano du 20 janvier 2009, dressant le bilan de la VIe Rencontre mondiale des familles (Mexico, 15-18 janvier).

Revenant sur le message de Benoît XVI qui a souhaité que les familles deviennent « protagonistes de la vie civile », le cardinal Antonelli les a ainsi invitées à s'unir « en association, afin de conditionner positivement la politique ». « Etant donné que les familles apportent de nombreux bénéfices à la société, elles ont aussi des droits et doivent les faire valoir », a-t-il affirmé. « Elles peuvent le faire si elles s'unissent en association ».

Pour le cardinal Antonelli, « notre société s'est plutôt montrée, jusqu'à aujourd'hui, comme une société d'individus ». A ses yeux, il faudrait « repenser la société » pour qu'elle entretienne un « dialogue avec les familles à travers les associations qui les représentent ».

Dans l'Eglise aussi, la famille est invitée à devenir acteur. C'est pourquoi il est nécessaire de « lancer » et de « relancer » une pastorale « pour les familles » et « avec les familles », a aussi estimé le cardinal italien. « La famille éduque à sa manière, elle a des possibilités uniques d'éduquer, dans un climat d'amour, par l'exemple ». « C'est par là que passent toutes les valeurs fondamentales qui humanisent l'homme et l'évangélisent », a-t-il ajouté.

Dans cette interview, le haut prélat est revenu encore une fois sur le Message de Benoît XVI aux familles, insistant sur les « trois choses fondamentales » mises en avant par le pape : « la prière en famille, l'écoute de la Parole de Dieu et la récitation du chapelet comme un moment fort de la vie de famille ». « C'est de là que vient l'énergie pour le renouvellement et l'amélioration incessante de la vie domestique ». Insistant sur le « fondement solide » de la prière, il a souligné que c'est « d'elle que nous recevons la grâce et la capacité d'aimer ».

Le président du Conseil pontifical pour la famille a ensuite évoqué le « bilan extrêmement positif » de cette Rencontre mondiale des Familles. Saluant la qualité des « interventions », des « intervenants » et le « haut niveau du congrès théologico-pastoral », il s'est aussi dit « touché » par « le peuple mexicain, par son enthousiasme, sa foi, par la manifestation de sa piété populaire, de sa grande dévotion à la Vierge, de sa dévotion au pape, par sa grande gentillesse, non seulement vis-à-vis de nous mais aussi entre eux ». Il a salué une « tradition de fraternité, de sensibilité chrétienne, d'un respect véritable et peu commun ».

Selon le cardinal Antonelli, le choix s'est porté sur l'Amérique Latine pour cette Rencontre des familles parce qu'elle « n'a pas encore subi de processus de sécularisation comme l'Europe par exemple ». « Je crois qu'il y a des ressources de foi en Amérique Latine, de dévotion populaire, d'attention à l'Eglise, qui la rendent plus disponible pour accueillir ce message de l'Evangile de la Famille, pour ensuite devenir un modèle pour toutes les autres Eglises du monde ». 

Maintenant, le Conseil pontifical pour la famille « va surtout devoir travailler sur deux points principaux qui sont ceux de la famille dans l'Eglise et dans la société et devra encourager tant les responsables de la pastorale que les laïcs engagés dans la société, et même les familles elles-mêmes » à s'engager dans la pastorale et dans le domaine social.

Interrogé enfin sur la manière de faire entendre le message de la famille aux non-croyants, le cardinal Antonelli a suggéré de « faire des recherches sociologiques soignées pour mettre en évidence tout le bien qu'une famille stable, unie, vraie, authentique et ouverte à la vie apporte à la société ». « Et de mettre aussi en évidence, par des analyses, les nombreux problèmes que les familles disloquées posent à la société ». Mais si une « réflexion anthropologique et philosophique est nécessaire et précieuse », les « faits et une expérience concrète ont une force de persuasion plus importante », a-t-il conclu.

Marine Soreau

 

La famille est une école d’amour

http://www.zenit.org/article-19869?l=french

ZF09012004 - 20-01-2009
Permalink: http://www.zenit.org/article-19913?l=french

Le cardinal Antonelli invite les familles à jouer un rôle dans la société

Il dresse le bilan de la Rencontre internationale des familles (Mexico)

ROME, Mardi 20 janvier 2009 (ZENIT.org) - Le cardinal Ennio Antonelli a invité les familles à être « protagonistes dans la société » et à s'unir « en association afin de conditionner positivement la politique ».

Le président du Conseil pontifical pour la famille s'est exprimé dans L'Osservatore Romano du 20 janvier 2009, dressant le bilan de la VIe Rencontre mondiale des familles (Mexico, 15-18 janvier).

Revenant sur le message de Benoît XVI qui a souhaité que les familles deviennent « protagonistes de la vie civile », le cardinal Antonelli les a ainsi invitées à s'unir « en association, afin de conditionner positivement la politique ». « Etant donné que les familles apportent de nombreux bénéfices à la société, elles ont aussi des droits et doivent les faire valoir », a-t-il affirmé. « Elles peuvent le faire si elles s'unissent en association ».

Pour le cardinal Antonelli, « notre société s'est plutôt montrée, jusqu'à aujourd'hui, comme une société d'individus ». A ses yeux, il faudrait « repenser la société » pour qu'elle entretienne un « dialogue avec les familles à travers les associations qui les représentent ».

Dans l'Eglise aussi, la famille est invitée à devenir acteur. C'est pourquoi il est nécessaire de « lancer » et de « relancer » une pastorale « pour les familles » et « avec les familles », a aussi estimé le cardinal italien. « La famille éduque à sa manière, elle a des possibilités uniques d'éduquer, dans un climat d'amour, par l'exemple ». « C'est par là que passent toutes les valeurs fondamentales qui humanisent l'homme et l'évangélisent », a-t-il ajouté.

Dans cette interview, le haut prélat est revenu encore une fois sur le Message de Benoît XVI aux familles, insistant sur les « trois choses fondamentales » mises en avant par le pape : « la prière en famille, l'écoute de la Parole de Dieu et la récitation du chapelet comme un moment fort de la vie de famille ». « C'est de là que vient l'énergie pour le renouvellement et l'amélioration incessante de la vie domestique ». Insistant sur le « fondement solide » de la prière, il a souligné que c'est « d'elle que nous recevons la grâce et la capacité d'aimer ».

Le président du Conseil pontifical pour la famille a ensuite évoqué le « bilan extrêmement positif » de cette Rencontre mondiale des Familles. Saluant la qualité des « interventions », des « intervenants » et le « haut niveau du congrès théologico-pastoral », il s'est aussi dit « touché » par « le peuple mexicain, par son enthousiasme, sa foi, par la manifestation de sa piété populaire, de sa grande dévotion à la Vierge, de sa dévotion au pape, par sa grande gentillesse, non seulement vis-à-vis de nous mais aussi entre eux ». Il a salué une « tradition de fraternité, de sensibilité chrétienne, d'un respect véritable et peu commun ».

Selon le cardinal Antonelli, le choix s'est porté sur l'Amérique Latine pour cette Rencontre des familles parce qu'elle « n'a pas encore subi de processus de sécularisation comme l'Europe par exemple ». « Je crois qu'il y a des ressources de foi en Amérique Latine, de dévotion populaire, d'attention à l'Eglise, qui la rendent plus disponible pour accueillir ce message de l'Evangile de la Famille, pour ensuite devenir un modèle pour toutes les autres Eglises du monde ». 

Maintenant, le Conseil pontifical pour la famille « va surtout devoir travailler sur deux points principaux qui sont ceux de la famille dans l'Eglise et dans la société et devra encourager tant les responsables de la pastorale que les laïcs engagés dans la société, et même les familles elles-mêmes » à s'engager dans la pastorale et dans le domaine social.

Interrogé enfin sur la manière de faire entendre le message de la famille aux non-croyants, le cardinal Antonelli a suggéré de « faire des recherches sociologiques soignées pour mettre en évidence tout le bien qu'une famille stable, unie, vraie, authentique et ouverte à la vie apporte à la société ». « Et de mettre aussi en évidence, par des analyses, les nombreux problèmes que les familles disloquées posent à la société ». Mais si une « réflexion anthropologique et philosophique est nécessaire et précieuse », les « faits et une expérience concrète ont une force de persuasion plus importante », a-t-il conclu.

Marine Soreau

 

 

 

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