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Extraits :
Le défi
suprême pour l’Eglise, au début de ce millénaire, est celui qui lui a
toujours été confié : l’évangélisation .....
Les Pays-Bas redécouvrent la foi
beaucoup de laïcs ont suivi leurs « leaders » « sans
avoir les moyens pour discerner ce qui se passait. Pour l’Eglise, la
plupart des personnes de cette génération sont encore perdues. Elles ont
influencé leurs propres enfants de manière négative, les tenant à
l’écart des richesses de Dieu dans l’Eglise ». .... De nombreuses
personnes, ressentant le vide d’une existence purement matérialiste,
aspirent de plus en plus à une vie spirituelle authentique, libérée de
tout préjugé, .... Néanmoins, « l’Eglise néerlandaise sort d’une
tragique période de dérive, conclut le directeur de la revue « Katholiek
Nieuwsblad ». Il lui faudra du temps pour être prête à assumer de
nouveau son rôle, un rôle dont notre société a tellement besoin. Mais
Dieu agit et nous avons déjà fait beaucoup de chemin ».
Overdose ...Nous en
avons assez d'avoir à supporter des équipes inter paroissiales de laïcs
dont la prétention, inversement proportionnelle à la compétence, nous
imposent leurs fadaises au cours de leurs messes-karaoké supposées
favoriser la participation. La participation à quoi ? A la niaiserie
générale ?
en
z
relations
.... Dieu est relation .... Dieu est amour ....Je suis la
Voie, la Vérité, la Vie ... l'homme trinitaire .... l'EST est
relation ... Confucius : on apprend d'abord dans l'échange ...
Parole Ouverte ....
éducation ... pas de NOUS sans A ... âme ...amour ... communion
... en dehors des murs .... des institutions ... la
Vie ... éternelle .... Eglise institution <...> église
assemblée des chrétiens ... Chac-un de l'UN .. famille ... l'homTRI
«
Comme S. Paul laissez-vous saisir par le Christ », exhorte Benoît XVI
et
L'homme du troisième millénaire
n'acceptera plus de croire sans raison....
http://site.voila.fr/foilogic/genese.html#note
et
NOTE DOCTRINALE SUR CERTAINS ASPECTS DE L’ÉVANGÉLISATION
déc 2007
les Instituts
Supérieurs de Sciences Religieuses. Ces « deux parcours
distincts se différencient surtout par la nature des enseignements
et le cursus de formation » (Introduction 2). On attend donc du
second parcours qu'il fournisse une nouvelle occasion de participer
à l'approfondissement de la vérité et qu'il réalise une synthèse
entre la foi de l'Eglise, évidemment à portée universelle, et les
cultures particulières des Eglises locales
Ordinariat personnel : une nouveauté canonique
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/10/ordinariat-personnel-une-nouveaut%C3%A9-canonique.html
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Source:
http://www.zenit.org/french/visualizza.phtml?sid=87159
Date :
4.04.06
Intervention de Mgr Rylko sur les mouvements dans l’Eglise, le 9
mars à Bogota
Texte intégral ...
http://www.zenit.org/french/visualizza.phtml?sid=87159
Extrait ...
ROME, Mardi 4 avril 2006 (ZENIT.org)
- Nous publions ci-dessous l’intervention prononcée le jeudi 9 mars par
l’archevêque Stanislaw Rylko, président du Conseil pontifical pour les
Laïcs, lors de l’inauguration du premier congrès des mouvements
ecclésiaux et des communautés nouvelles d’Amérique Latine, à Bogota.
* * *
Les mouvements ecclésiaux et les nouvelles
communautés :
réponse de l’Esprit Saint aux défis de l’évangélisation d’aujourd’hui
1. Le défi suprême pour l’Eglise, au début de ce millénaire, est celui
qui lui a toujours été confié : l’évangélisation .....
L’évangélisation du monde actuel – la nouvelle
évangélisation, dont on parle tant et qui intéressait tellement le
Serviteur de Dieu, Jean Paul II – est une tâche pleine d’espérance pour
l’Eglise ; mais elle a pleinement conscience des obstacles innombrables
qui se présentent à elle, non seulement dans les changements
extraordinaires qui se sont produits dans la vie des individus et des
sociétés, mais aussi et surtout dans une culture postmoderne en crise
grave. Le procédé toujours croissant de sécularisation et une
authentique « dictature du relativisme » (Benoît XVI) génèrent chez
beaucoup de nos contemporains une carence terrible de valeurs,
accompagnée d’un nihilisme joyeux qui se termine par une érosion
alarmante de la foi, espèce d’« apostasie silencieuse » (Jean Paul II),
par un « oubli étrange de Dieu » (Benoît XVI). A cette situation, que
l’on constate avec tristesse dans les pays de tradition chrétienne
ancienne, il faut opposer, si l’on peut dire, un « boom religieux »
ambivalent et ambigu. Le pape en a parlé à Cologne, au mois d’août
dernier, en disant : « Je ne veux pas discréditer tout ce qui se situe
dans ce contexte (…). Mais, souvent, la religion se transforme presque
en un produit de consommation. On prend quelque chose qui plaît, et
certains savent bien en tirer profit »[2]. Qu’on pense à l’invasion des
sectes, à la diffusion de façons de vivre et attitudes dictées par le
New Age, aux phénomènes para-religieux tels que l’occultisme et la
magie. Le monde globalisé est devenu, en vérité, une gigantesque terre
de mission. Comme le dit le psalmiste, avec des tons dramatiques : « Du
ciel, le Seigneur regarde les hommes pour voir s’il reste un sage qui
cherche Dieu » ( Ps 14, 2). De nos jours, il est plus urgent que jamais
d’annoncer Jésus Christ dans les grands aréopages modernes de la
culture, de la science, de l’économie, de la politique et des mass
media. La moisson évangélique est abondante et les ouvriers peu nombreux
(Mt 9, 37). Dans ce domaine vital pour l’Eglise il faut, aujourd’hui, un
virage radical des mentalités, un nouveau réveil, authentique, des
consciences de tous. On a besoin de nouvelles méthodes, de nouvelles
expressions et un nouveau courage [3]. Au début de ce troisième
millénaire, le Serviteur de Dieu Jean Paul II exhortait ainsi l’Eglise :
« J’ai répété souvent l’appel à la nouvelle évangélisation. Je le redis
maintenant, surtout pour indiquer qu’il faut réanimer en nous l’élan des
origines, en nous laissant imprégner par l’ardeur de la prédication
apostolique après la Pentecôte. Nous devons ranimer en nous le sentiment
pressant de Paul, qui s’exclamait : Malheur à moi si je ne prêche pas
l’évangile ! » (1 Co 9, 16) [4]. Parlant aux évêques allemands à
Cologne, le pape Benoît XVI prononça à ce sujet des paroles qui laissent
entrevoir un désir apostolique profond : « Nous devrions réfléchir
aujourd’hui sérieusement sur la façon de réaliser une véritable
évangélisation, non seulement une nouvelle évangélisation, mais avec
fréquence une authentique première évangélisation. Les gens ne
connaissent pas Dieu, ils ne connaissent pas le Christ. Il existe un
nouveau paganisme et il ne suffit pas de conserver la communauté
croyante, bien que ce soit très important (…) Je crois que nous devons
ensemble essayer de trouver de nouvelles façons d’apporter l’Evangile au
monde actuel, d’annoncer le Christ à nouveau et d’établir la foi. [5]
Ces orientations des deux souverains pontifes serviront à guider notre
réflexion par le fil qui unit l’évangélisation du monde actuel aux
mouvements ecclésiaux et aux nouvelles communautés.
texte hébergé
en 03/06
Les Pays-Bas
redécouvrent la foi
Déclaration du directeur de l’hebdomadaire catholique «
Katholiek Nieuwsblad »
ROME, Lundi 11 décembre 2006 (ZENIT.org)
– L’Eglise des Pays-Bas redécouvre la foi, discrètement mais avec
dynamisme, affirme le directeur de l’hebdomadaire catholique « Katholiek
Nieuwsblad ».
Ed Arons, 58 ans, a fait part à Zenit de ses considérations sur la
situation des catholiques néerlandais.
Après une brillante période de présence missionnaire, de présence
religieuse et de vitalité ecclésiale, Ed Arons explique que « l’Eglise des
Pays-Bas a traversé une période très triste ».
« A l’époque où nous étions en plein élan missionnaire, il était si facile
d’être catholique que, de fait, nous avons échoué dans notre tâche :
transmettre la foi de manière personnelle et engagée », reconnaît-il.
Dans les années du Concile Vatican II et après le Concile, en se basant «
sur une compréhension erronée, un grand nombre de théologiens et de
prêtres ont opté pour une religion séculière, pour un Evangile social ».
Selon Ed Arons beaucoup de laïcs ont suivi leurs « leaders » « sans
avoir les moyens pour discerner ce qui se passait. Pour l’Eglise, la
plupart des personnes de cette génération sont encore perdues. Elles ont
influencé leurs propres enfants de manière négative, les tenant à l’écart
des richesses de Dieu dans l’Eglise ».
Toutefois on voit apparaître depuis peu « une nouvelle génération, moins
marquée par les préjugés, et qui a envie de redécouvrir la foi. On l’a vu
par exemple lors Journées Mondiales de la Jeunesse ».
On ne parle pas d’un grand nombre de personnes, reconnaît Ed Arons, mais
d’un grand engagement.
Autre fait positif signalé par le directeur de la revue néerlandaise : «
Le fait que la plupart des diocèses, après cette période de tâtonnement de
la part des évêques, aient aujourd’hui le courage de suivre une direction
pleinement en accord avec la ligne de l’Eglise de Rome ».
Et Ed Arons de souligner que pendant des années la société néerlandaise a
été « très critique » vis-à-vis de l’Eglise catholique : « Un grand nombre
de ses valeurs a été vivement attaqué et modifié, voire même au niveau des
lois devenues alors très libérales. Mais là aussi les choses changent ».
« De nombreuses personnes, ressentant le vide d’une existence purement
matérialiste, aspirent de plus en plus à une vie spirituelle authentique,
libérée de tout préjugé, constate-t-il. Un changement que l’on a
également constaté dans les médias, par exemple à l’occasion du décès de
notre grand pape Jean Paul II ».
Cela dit, poursuit Ed Arons, « il est dommage que notre Eglise n’ait pas
encore le personnel et les moyens suffisants pour affronter vraiment ce
défi ».
Ed Arons déplore alors, concernant certaines grandes questions morales,
que la voix de l’Eglise « à quelques exceptions près, ne soit pas encore
suffisamment entendue, se limitant en général à un communiqué de presse ou
à une lettre pastorale ».
Néanmoins, « l’Eglise néerlandaise sort d’une tragique période de
dérive, conclut le directeur de la revue « Katholiek Nieuwsblad ». Il lui
faudra du temps pour être prête à assumer de nouveau son rôle, un rôle
dont notre société a tellement besoin. Mais Dieu agit et nous avons déjà
fait beaucoup de chemin ».
23.02.09
TROP C'EST TROP : LA SAINTE COLERE DE
DENIS CROUAN ,PRESIDENT DE PRO LITURGIA
OVERDOSE
Nous, simples fidèles, fidèles "de la base" qui formons le
petit nombre de ceux qui fréquentent encore (tant que l'âge le permet) les
messes dominicales, nous en avons plus qu'assez du discours hypocrite de
nos évêques, de nos vicaires épiscopaux, de nos curés qui n'ont que
Vatican II à la bouche - surtout depuis la levée des excommunications -
mais qui nous interdisent à nous, fidèles, de recevoir et d'appliquer le
Concile.
Nous en avons assez d'apprendre que des prêtres, des maîtres de chœurs,
des organistes... sont limogés du jour au lendemain au seul motif qu'ils
servaient la liturgie de l'Église - qui n'est pas celle de la pastorale
locale - et respectaient le missel romain. Missel qui dit textuellement
que personne ne peut modifier la liturgie, qui dit que le chant grégorien
doit (et non pas "peut") occuper la première place, qui dit qu'il faut (et
non pas "qu'on peut") être attentif aux normes de la Présentation Générale
et à la pratique reçue du rite romain plutôt qu'à ses goûts personnels et
à son propre jugement. Si, si: tout ça est écrit!
Nous en avons assez d'avoir à supporter des équipes inter paroissiales de
laïcs dont la prétention, inversement proportionnelle à la compétence,
nous imposent leurs fadaises au cours de leurs messes-karaoké supposées
favoriser la participation. La participation à quoi ? A la niaiserie
générale ?
Nous en avons assez d'avoir à supporter ces célébrations face au peuple
qui nous obligent à voir devant nous des célébrants trop souvent négligés
sur le plan vestimentaire et comportemental.
Tout ce que nous voyons, tout ce que nous chantons, tout ce qu'on nous
fait faire, tout ce que nous sommes obligés de supporter de dimanches en
dimanches pour satisfaire au précepte dominical... est très éloigné de la
liturgie voulue par le Concile dont se réclament nos clercs.
Car ils ne sont pas dix évêques en France - pas dix! - qui respectent la
liturgie et qui veulent - ou peuvent - la faire respecter dans les églises
de leurs diocèses respectifs.
On fera peut-être remarquer qu'en tel endroit, la liturgie est convenable.
Mais qu'est-ce qu'une liturgie "convenable" dans l'état actuel des choses
? Est-ce une messe qui, occasionnellement, est moins pire qu'ailleurs, ou
plus acceptable qu'ailleurs ? Si tel est le cas, alors c'est raté : car la
question n'est pas de savoir où trouver une messe mieux célébrée
qu'ailleurs; elle est d'avoir partout, à toutes les heures, dans toutes
les églises, la liturgie célébrée dans le strict respect du missel romain.
C'est-à-dire la liturgie où il y a au minimum l'Ordinaire en grégorien, un
service d'autel assuré par au moins deux acolytes, un chœur débarrassé de
tout ce qui n'est pas strictement nécessaire à la célébration (chaises,
banderoles, papiers, micros, surplus d'autels, animateurs ou animatrices,
ministres "systématiquement extraordinaires" de la communion, lecteurs ou
lectrices en jean's et en chaussures de sport... etc.), un célébrant qui
sait chanter et parler sans faire des simagrées, qui sait être digne
(garder les mains jointes!), et qui s'interdit de modifier quoi que ce
soit dans ce qui est donné par le missel.
Tel est le minimum pour commencer à avoir la liturgie voulue par le
Concile.
Avouons qu'on en est vraiment très loin dans 95% des paroisses. Et il en
sera ainsi tant que la liturgie ne sera pas correctement enseignée dans
les séminaires et les maisons religieuses et tant que les évêques
garderont le silence devant l'inadmissible : ce qui est malheureusement le
cas.
Oui : nous, simples fidèles, nous en avons plus qu'assez d'être les otages
d'un clergé qui n'a que "Vatican II" à la bouche alors qu'il n'est jamais
fichu d'étudier et d'appliquer le Concile comme il doit être appliqué.
Denis CROUAN docteur en théologie, Président de Pro Liturgia
Pour en savoir plus le site de Pro liturgia : http://www.proliturgia.org
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