| |
l'IVG au
bac.... |
Dossier : |
Présentation :
Vendredi 10 juin 2005 a eu lieu l’épreuve de français du bac pour les
élèves de première... pour les élèves de terminale littéraire, leur
sujet de sciences de la vie et de la terre a consisté à étudier le
fonctionnement des contraceptifs et de l’IVG .
Extraits : Les sophismes du
sujet scandaleux Demander à
des adolescents de montrer que l'avortement est légal, c'est une façon
insidieuse de leur faire admettre sans esprit critique que l'avortement
est anodin...... Plus que de l'intox, c'est une des formes de
manipulation intellectuelle.
..... de
les faire travailler sur des énoncés cousus de sophismes et de
contrevérités, et d'obliger certains d'entre eux à tenir des
affirmations contraires à leur conscience ?
.....les
mots servent normalement à former nos raisonnements, car ils signifient
à la fois des idées et des liens entre elles, mais à une condition : le
respect de leur signification.
Le
sort de choix, respectueux de la dignité humaine et de la liberté des
élèves, a donc été livré par l'Éducation nationale à l'objection de
conscience de nos enfants.
Bac : un grand cru…ou plutôt un cépage très
contrôlé Vous voulez réussir vos études en France ? Voici
les conditions :
- Réciter le Monde, Libération et croire
inconditionnellement les articles de ces journaux sans manifester le
moindre doute.
- Etre inconditionnellement pour l'avortement sans la moindre
interrogation morale, spirituelle ou éthique sur le sujet.
- Affirmer que la natalité française n'est pas déficitaire.
- Nier le rôle de l'immigration dans l'accroissement de la population
française.
- Soutenir que le nombre d'avortements n'a pas d'effet sur le nombre de
naissances françaises.
- Déclarer raciste la France et les Français.
- Approuver Pierre Perret et Angela Davis.
- Décréter que le métissage est la couleur de l'amour.
- Souligner qu'une pauvre Somalienne vit l'horreur en France et s'en
plaint à ses parents en Somalie, certainement mieux lotis qu'elle d'y
être restés.
- Juger Ben Laden « contestataire ».
- Cracher sur les USA.
S'il y avait des jeux olympiques de la manipulation scolaire, la
France aurait été choisie sans problème.
en
zo-relation
.... terrorisme intellectuel, manipulation, société
mortifère, relativisme totalitaire ...ligne de fronts .... nos
fronts .... rené Girard ... le bouc émissaire .... violence
... mort de l'innocent ...
"Notons qu’il a été démontré en psychosociologie, que le fait pour une
personne d'être obligée d'argumenter en faveur d'un principe contraire à
ses propres valeurs avait pour effet de modifier ses valeurs dans le
sens de la démonstration" ....source:
http://www.soseducation.com/
|
|
Les sophismes
du sujet scandaleux
Auteur:
Bruno Couillaud , professeur de
philosophie.
Source:
http://www.libertepolitique.com/
Date :
13.06.05
Bruno Couillaud*
Rendre compte des arguments en
faveur de la légalisation de l'IVG, voici l'un des sujets du bac
proposé cette année par l'inspection générale de l'Éducation nationale
aux élèves de première littéraire. Précisément, après trois questions
sur le système hormonal féminin et le mécanisme de la pilule
anovulatoire, dans la série "Saisir les informations et mobiliser des
connaissances pour argumenter", on demande aux élèves : a/ À l'aide du
document 4 (ci-dessous), dégager des arguments en faveur de
l'autorisation légale de l'IVG en France ; b/ Argumenter l'idée selon
laquelle l'avortement n'est pas considéré comme un moyen de
contraception.
Lisons le document 4, intitulé : " IVG : la stabilité
des chiffres cache de nouveaux comportements : "Trente ans après
l'entrée en vigueur de la loi Veil, "la contraception et, en cas
d'échec, le recours à l'IVG ont permis le passage d'un modèle de
maternité sous contrainte à celui de maternité choisie, contribuant
ainsi à redéfinir la parentalité au féminin, comme au masculin" estime
Population et Sociétés.
"Et, contrairement à ce qu'affirmaient les opposants à
l'avortement lors de l'adoption de la loi, la légalisation de l'IVG
n'a pas eu d'impact démographique. "Une IVG ne constitue pas une
naissance en moins mais une naissance reportée à plus tard dans un
contexte plus favorable" explique Mme Bayes.
"La fécondité française, qui avait fortement baissé de
1964 à 1976, est stabilisée : depuis trente ans, le nombre d'enfants
souhaités par les Français est inchangé et les femmes en ont toujours
autant." Source : extrait du Monde du jeudi 9 décembre 2004
La surprise passée et avant
d'analyser ce texte pour ce qu'il vaut, trois remarques, non
exhaustives, suscitent déjà l'indignation.
1/ Demander à des adolescents de
montrer que l'avortement est légal, c'est une façon insidieuse de leur
faire admettre sans esprit critique que l'avortement est anodin. Plus
que de l'intox, c'est une des formes de manipulation intellectuelle.
2/ Cet exercice d'analyse de texte
ne relève pas du cours de biologie mais éventuellement de l'éducation
civique ou de la sociologie… Il y a donc là une confusion pédagogique
et un abus de la part de l'Éducation nationale.
3/ Obliger des adolescentes qui sont
peut-être passées par cette épreuve de discourir sur ce sujet est non
seulement un manque de psychologie mais une façon scandaleuse, voire
cynique, de les enfoncer dans leur souffrance.
Il n'était demandé aux élèves ni un
jugement de valeur ni leur propre opinion ; ils pouvaient donc
répondre aux questions de la façon la plus " politiquement correcte "
mais n'est-ce pas scandaleux, au prétexte du trentième anniversaire de
la loi Veil, de les faire travailler sur des énoncés cousus de
sophismes et de contrevérités, et d'obliger certains d'entre eux à
tenir des affirmations contraires à leur conscience ?
Sophismes
Un "sophisme" est une véritable
tromperie, c'est-à-dire une apparence de raisonnement cachée derrière
un usage artificiel mais voulu du vocabulaire. En effet, les mots
servent normalement à former nos raisonnements, car ils signifient à
la fois des idées et des liens entre elles, mais à une condition : le
respect de leur signification.
1/ Nous sommes d'abord devant un
sophisme de l'accident : le mot naissance est employé deux fois pour
signifier deux choses essentiellement différentes. D'abord dans
l'expression "une naissance en moins". Car une IVG est vraiment, par
définition, un être humain en moins, un vivant conçu, qui ne naîtra
jamais : donc par définition l'IVG est "une naissance en moins".
Ensuite et par accident seulement,
l'IVG est peut-être l'occasion d'"une naissance reportée à plus tard",
même si, en fait, une naissance n'est jamais reportée ! Ce qui est
reporté c'est le projet, le fameux projet parental. En vérité, si on a
perdu celui qu'on attendait (si une grossesse a échoué naturellement -
fausse couche - ou si l'être humain a été volontairement supprimé dans
le cadre de la loi - IVG) ce qu'on reporte n'est donc pas une
naissance mais un projet de concevoir un autre être humain.
Donc l'IVG est bien une naissance en
moins et peut-être une occasion, par accident, de faire le projet
d'accueillir un autre être humain, mais certainement pas de reporter
la naissance de celui qui est désormais perdu ! L'analyse un peu
serrée des expressions, dévoile la tromperie et lui apporte sa
solution. Madame Bayes cherche à faire passer une marchandise de
contrebande !
2/ Puisque on peut peut-être, mais
rien n'est moins sûr, reporter le projet de concevoir, c'est aussi un
sophisme de la pétition de principe (tenir pour acquis ce que
justement il faudrait montrer) en parlant d'une "naissance reportée à
plus tard" ; une IVG n'entraîne pas une naissance reportée ; perdre à
la loterie, si l'on nous permet cette similitude, n'entraîne pas que
je vais rejouer, encore moins que je vais gagner, même si c'est
l'occasion de reprendre - ou non - un billet !
3/ La phrase insidieuse sur les "
modèles " est caractéristique du pouvoir dominant d'une discipline, la
sociologie, sur l'intelligence des choses. Que la contraception
fasse passer "d'un modèle de maternité sous contrainte à celui de
maternité choisie", cela peut se concevoir si on parle de modèle
sociologique, c'est-à-dire d'une construction utile à la théorie et
procédant de l'esprit du sociologue.
Mais un "modèle" est une grille
d'interprétation fondée sur des options philosophiques ou idéologiques
antécédentes, extérieures à la science. Ici le modèle préjuge la
séparation de l'union et de la procréation. Or, dans l'agir humain,
qu'on le veuille ou non, l'union et la procréation sont intimement
unies : l'une rend l'autre possible. Bien sûr, on n'ignore pas les
artifices humains de toutes sortes qui permettent de les désunir. Mais
si l'on s'en tient à cette analyse apparemment objective du sociologue
"séparatiste", la femme, depuis la nuit des temps, n'aurait pas eu
d'autre choix que la maternité contrainte et forcée, l'avortement ou
l'infanticide ! La liberté de donner la vie, le choix d'accueillir de
nombreux enfants, la volonté d'assumer généreusement une grossesse
imprévue, ça jamais. Une "parentalité conjointe" partagée avec son
époux, encore moins ! Certes l'égoïsme masculin existait, mais il
existe encore et il a de beaux jours devant lui, la pilule permettant
de rendre la femme disponible tous les jours du mois…
Car malheureusement la contraception
artificielle est une nouvelle contrainte, et sur ce sujet, les
témoignages abondent. "La femme peut avorter si c'est son choix, mais
si elle avorte, c'est parce qu'elle n'a pas le choix. Obscur.''
(Élizabeth G. Sledzievski, le Monde du 6 oct. 2000) Comment l'oublier
? Les magazines féminins, au fil des témoignages, évoquent le cycle
“pression–répression–dépression''. La pression, c'est ce “devoir
contraceptif auquel toute femme est censée se soumettre durant près de
trente-cinq ans''. La répression, c'est la culpabilité de la femme qui
avorte, parce qu'elle “n'a pas su gérer sa contraception”… Dans cette
utopie de l'efficacité qui repose sur les seules épaules féminines,
aucune place n'est faite à l'ambivalence du désir d'enfant, ou du
désir de grossesse" (Libération du 4 octobre 2000).
Répondre par les chiffres au
mensonge sur "l'impact démographique"
La contraception accoutume à une
mentalité contre la vie, c'est-à-dire la peur de l'enfant et conduit
en conséquence à l'avortement, "correctif" obligé d'une contraception
défaillante. Or il y a de nombreux échecs de la contraception sous
toutes ses formes et la contraception ouvrant à l'avortement ne peut
qu'accroître celui-ci, comme le montrent les chiffres : 206.000 IVG en
France en 2002, dont 11.000 chez les moins de 18 ans, des chiffres en
hausse. Depuis 1990, plus de 8.000 jeunes filles mineures ont eu
chaque année recours à une IVG. Ce nombre a tendance à s'accroître
depuis 1995, avoisinant 10.700 en 2002 contre 8.100 en 1993.
La revue Population de l'Ined a
publié l'enquête “Cocon” (vol. 59 n° 3, 2004) sur la contraception et
le recours à l'avortement en France. Menée par une équipe
pluridisciplinaire de l'Inserm, de l'INED et du CNRS, l'enquête fait
ressortir cette réalité propre à la France : si les Françaises sont
les plus grandes utilisatrices de méthodes médicales de contraception
au niveau mondial, le nombre d'avortements (environ 200.000 chaque
année) reste stable et élevé. L'étude montre que les échecs de
contraception restent fréquents : 30 % des grossesses sont non
prévues, 2/3 d'entre elles surviennent chez une femme utilisant une
contraception. La moitié de ces grossesses non prévues se termine par
une interruption de grossesse. Les chiffres de l'avortement sont
confirmés : 200 à 210.000 par an depuis 30 ans.
En France, il sont faciles à retenir
selon Gènéthique.org : 1, 2, 3, 4 = 1 avortement pour 2 femmes, pour 3
naissances, pour 4 conceptions. Le nombre d'IVG a augmenté de 6 % en
France entre 1990 et 1998 passant à 214.000, (étude DRESS du ministère
de la Solidarité - Le Monde du 20 sept. 2000), l'un des taux les plus
élevés d'Europe. Ces chiffres se passent de commentaires.
Revenons à nos chères têtes blondes.
L'Éducation nationale a résolument opté pour une "éducation"
unilatérale à la contraception chimique, en feignant d'ignorer le lien
de causalité entre contraception et avortement. Pire, sans le dire,
elle culpabilise sur l'avortement, après avoir mis en place une
politique qui y conduit !
À l'heure où l'on distribue dans les
enceintes scolaires des préservatifs aux garçons, c'est une politique
du pompier pyromane, avec la solution, proposée elle aussi à l'école
d'une contraception-abortive "de secours" (Norlevo)… Bref, on conduit
une génération droit dans le mur, ignorant délibérément l'alternative
: une éducation affective et sexuelle, une formation morale,
c'est-à-dire aux mœurs amoureuses, fondée sur une anthropologie
adéquate, pleinement humaine. Et le moment venu, contre le tout
chimique, une information scientifique sur les moyens de régulation
naturelle conforme à l'organisme féminin.
Le sort de choix, respectueux de
la dignité humaine et de la liberté des élèves, a donc été livré par
l'Éducation nationale à l'objection de conscience de nos enfants.
*Bruno Couillaud est professeur de
philosophie.
texte hébergé
en 06/05
|
|
Bac : un
grand cru…ou plutôt un cépage très contrôlé
Pour avoir le bac, il faut, depuis la loi
Jospin (ministre trotskyste de l'Education Nationale en 1989), être dans
les 80% les moins incultes.
Les fautes d'orthographe ne sont plus
sanctionnées et les connaissances sont souvent inutiles puisque les
documents, dictionnaires, etc. sont parfois autorisés, selon les
épreuves. Il s'est agi, pendant longtemps de « commenter », « donner son
avis ». Cette époque est à présent révolue : il faut aujourd'hui
« argumenter en faveur de », « dégager les arguments en faveur de »,
imaginer une réponse selon une orientation précise.
Les documents sont fournis et le candidat
doit simplement expliquer qu'il en approuve le contenu. La méthode
s'étend également au Brevet des collèges, n'hésitant pas ainsi à engager
le formatage idéologique de plus en plus jeune.
Le Monde, journal scientifique
Un sujet dit scientifique, en SVT,
sciences de la vie et de la terre, (voir
http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6066) ne portait en
rien sur la science mais exigeait les partis pris suivants :
1- approuver la loi Veil sur l'avortement.
2- croire que la démographie en France était stabilisée et non
déficitaire, et ignorer que son illusoire maintien n'était qu'un effet
de l'immigration massive et de naturalisations par la loi du sol. Les
statistiques sont d'ailleurs interdites en France afin de masquer cette
réalité, et même celles sur les maternités et les prénoms.
3- expliquer que seuls des sales fachos pouvaient trouver que la loi
Veil, initialement prévue pour des cas extrêmes et dans les faits
transformées en « l'avortement c'est un droit acquis », et montrer
qu'ils avaient tort.
Conclusion : plus on avorte, mieux la
natalité se porte. Ca c'est de la science ! Le document censé apporter
les « connaissances » était un article du quotidien trotskyste du soir,
le Monde.
Un autre sujet littéraire fournissait
comme matériau le texte de la dégoulinante chanson Lili (rien avoir avec
Gulliver) de Pierre Perret. « Elle arrivait des Somalis, Lili… (…)
dans un bateau plein d'immigrés qui étaient tous venus de leur plein gré
vider les poubelles à Paris ». Et la pauvre Lili subit le racisme de
ces abominables Français, avant d'aller manifester pour Angela Davis et
de pondre un petit métis « qui aura la couleur de l'amour ».
C'est beau, c'est frais, lucide et tellement réaliste !
On imagine l'horreur de cette pauvre
fille venue donc contre son gré, arrachée
du paradis
somalien, aux joies de l'excision et des flagellations, même pas
frappée sur recommandation d'un Bouziane local par un mari choisi pour
elle avec quelques autres femmes. Elle se retrouve avec plein d'autres
immigrés venus, forcés sous-entend avec sa légendaire finesse Pierre
Perret, vider les poubelles à Paris. J'y réside et constate que les
éboueurs sont pour la plupart blancs et masculins. Je vais donc enquêter
sur les populations blanches de Somalie qui fournissent Paris en
éboueurs.
L'évocation d'Angela Davis remplira de
joie les enseignants à qui cela rappellera le bon vieux temps de leurs
manifs post-soixante-huitardes, lorsqu'il expliquaient que l'URSS avait
un bilan globalement positif, que Pol Pot et Ho Chi Minh étaient des
modèles d'humanité, tandis que les USA représentaient le fachiiiiiisme.
Et les Black Panthers, les Malcom X, les Farrakan (Nation of Islam)
n'étaient pas racistes ni terroristes, donc Angela Davis avait bien fait
de les aider à planquer des armes ! Et bien malgré le procès qui a mis
le nez dans le caca à leur ex-égérie, nos inconditionnels du gauchisme
nous ressortent la mère Davis de ses toiles d'araignées à travers la
chanson du mièvre béat.
Le pire reste à venir, les candidats sont
censés ensuite imaginer une lettre de cette pauvre Lili et son enfer de
vie dans ce pays raciste aux habitants racistes. A mon avis, ils doivent
se taper sur les cuisses dans les chaumières en Somalie en lisant la
prose de ces pauvres élèves lilisés de force et psycho-somalisés pour
raison d'examen. Ca doit rigoler sec dans les mosquées de tant de
naïveté, et la photo de Pierre Perret dédicacée doit se vendre sous la
burqa à prix d'or.
L'année prochaine aura-t-on le texte
« la France est une garce » du groupe Sniper, pour sujet ?
Si les fans de Mucchielli et autres
sociologues trotskystes parviennent à passer de l'entrisme à la maîtrise
totale des commissions de programmes et de l'inspection, on pourrait s'y
attendre.
Le sujet avait déjà été abordé ici :
http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6161
Ben Laden ? Un contestataire !
Pour le brevet, les jeunes élèves ont
encore eu le droit à un dessin du Monde (pluralisme quand tu nous
tiens !) d'un goût fort douteux sur le massacre du 11 septembre et de
l'effarante question « Comment la puissance américaine a-t-elle été
contestée le 11 septembre 2001 ? ».

ligne de front nos fronts
voir....pour plus de détails...
http://ww3.ac-creteil.fr/hgc/spip/article.php3?id_article=667
sidérant ....
Quel contestataire ce Ben Laden ! On
savait que les crimes et barbaries en France se nomment « délinquance »,
et que la délinquance serait devenue « des incivilités ». On apprend
aujourd'hui que le massacre de 3000 civils est devenue « une
contestation ». Ne serait-il pas un peu espiègle ce contestataire
barbu ?
(Voir également les articles suivant et
le texte intégral du sujet :
- http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6253
- http://www.primo-europe.org/docs.php ?numdoc=Do-160053676
- http://ww3.ac-creteil.fr/hgc/spip/article.php3 ?id_article=667)
Il y a trois ans, c'était un article de
Libération qui était imposé aux collégiens. En prétextant les
ventes d'objets nazis (Coran inclus ?) sur Internet, on demandait aux
lycéens d'expliquer qu'il fallait utiliser tous les moyens pour réprimer
le racisme sur Internet. Joli tour de passe-passe quand on sait que les
sites islamonazis ne sont pas inquiétés, que le site oumma.com continue
à vendre les bouquins de Garaudy et que Mejliss (forum d'oumma.com)
continue, comme tous les sites islamistes à étaler la haine raciale la
plus ouverte. Les seuls sites et forums inquiétés ont été ceux refusant
la conquête islamique et la sinistre doctrine du pestilentiel Mahomet
(ESR : enculé de sa race ! selon l'autorisation par jugement du tribunal
de Paris
http://www.france-echos.com/actualite.php ?cle=6050).
Vous voulez réussir vos études en
France ? Voici les conditions :
- Réciter le Monde,
Libération et croire inconditionnellement les articles de ces
journaux sans manifester le moindre doute.
- Etre inconditionnellement pour l'avortement sans la moindre
interrogation morale, spirituelle ou éthique sur le sujet.
- Affirmer que la natalité française n'est pas déficitaire.
- Nier le rôle de l'immigration dans l'accroissement de la population
française.
- Soutenir que le nombre d'avortements n'a pas d'effet sur le nombre de
naissances françaises.
- Déclarer raciste la France et les Français.
- Approuver Pierre Perret et Angela Davis.
- Décréter que le métissage est la couleur de l'amour.
- Souligner qu'une pauvre Somalienne vit l'horreur en France et s'en
plaint à ses parents en Somalie, certainement mieux lotis qu'elle d'y
être restés.
- Juger Ben Laden « contestataire ».
- Cracher sur les USA.
L'ex éducation soviétique n'a plus rien à
nous envier : les gauchistes français qui tirent les ficelles et
contrôlent les postes clés de l'Education Nationale dépassent très
largement leurs méthodes de contrôle idéologique. Tu veux ton bac ?
Récite ce que t'a enseigné le commissaire du peuple aux IUFM et la
Pravda (Libé-Le Monde) ! Tu veux ton brevet ? Ne dis pas de mal de Ben
Laden mais des USA.
Goebbels l'avait rêvé, la France de l'islamo-gauchisme
le fait. Ni Chirac, ni Sarkozy n'ont émis la moindre protestation, comme
c'est curieux ! S'il y avait des jeux olympiques de la manipulation
scolaire, la France aurait été choisie sans problème.
Montmirail
|
|
haut de page
|