"Mariage" homosexuel .... comble de l'inversion

Dossier :

Extraits :  

 l'incitation publique de la Grande Bretagne....le gouvernement britannique a lancé mercredi une campagne de publicité pour les « mariages homosexuels » qui seront autorisés pour la première fois à partir du 21 décembre dans l'ensemble du Royaume-Uni. « Ce contrat placera les couples homosexuels sur un pied d'égalité avec les couples mariés, leur accordant les mêmes droits », a indiqué une porte-parole du ministère du Commerce et de l'Industrie, en charge du dossier.

« la philosophie contemporaine est homosexuelle de fond en comble : l'autre en tant qu'autre est banni, et il n'existe plus pour elle que l'autre en tant que moi, en tant que construction de la pensée autonome » Marcel de Corte

Jean a deux mamans.... Il s'agit d'un ouvrage destiné aux tout-petits (jusqu'à 3 ans) afin de leur expliquer l'homoparentalité..... « Ce genre d'histoires peut nuire à la construction de l'enfant »« De zéro à 6 ans, ce que vous voyez et entendez, vous l'engrangez comme un fait intangible. (...) L'enfant est en train de prendre ses repères, il fixe sa place par rapport à son père et sa mère, il construit qui il est.

en z relations .... famille, éducation, libre choix, .... ensemble-HOMENTRANCHE ... individualisme ... l'amour de soi au mépris de l'autre...

 

 

 

l'incitation publique de la Grande Bretagne

Auteur:   Rémi Fontaine

Source:  Présent

Date :  16.09.05      

 

Comble de l'inversion et de la perversité politique : le gouvernement britannique a lancé mercredi une campagne de publicité pour les « mariages homosexuels » qui seront autorisés pour la première fois à partir du 21 décembre dans l'ensemble du Royaume-Uni.

De manière à favoriser et accélérer ainsi les mauvaises moeurs (de Sodome et Gomorrhe) à très grande vitesse, contrairement à sa vocation, le pouvoir politique ouvre simultanément en cette matière les trois phases que décrit Michel de Jaeghere dans son Enquête sur la christianophobie (Présent de mercredi) banaliser, promouvoir et institutionnaliser l'immoralité. C'est le TGV de la décadence conduit par le gouvernement britannique lui-même, au mépris (le la loi morale) naturelle et du bien commun le plus fondamental.

Il est en effet tout à fait subversif et pervers d'assimiler socialement l'union la plus commune et la plus naturelle, la plus indispensable au bien commun temporel - la famille fruit du mariage monogamique, fondé sur l'union hétérosexuelle - avec d'autres « modèles » d'union (homosexuelle...). Ces unions très minoritaires ont toujours plus ou moins existé et le pouvoir politique peut les tolérer plus ou moins. Mais il ne peut en aucun cas les promouvoir institutionnellement dans un nivellement contre nature et une annihilation de ce qui fait le principe même de la politique familiale et de la bonne politique tout simplement.

On mesure la puissance démoniaque de ce lobbying officiel quand on sait par exemple que la même légalisation du « mariage » homosexuel en Espagne (depuis juillet) n'a pas connu plus de 25 cas (de paires), tandis qu'on comptait 30 000 mariages naturels (de couples) dans le même temps. Il ne leur suffit donc plus de permettre à l'exception de devenir une règle, il leur faut inciter publiquement à la déviance par campagne publicitaire !

« Ce contrat placera les couples homosexuels sur un pied d'égalité avec les couples mariés, leur accordant les mêmes droits », a indiqué une porte-parole du ministère du Commerce et de l'Industrie, en charge du dossier. La campagne vise à informer les gens sur ce « partenariat civil » réservé aux homosexuels mais interdit aux couples hétérosexuels qui ne voudraient pas se marier.

Un homosexuel pourra ainsi bénéficier de la retraite de son partenaire après sa mort, avoir les mêmes droits que sa famille à l'hôpital et être exempté des droits de succession sur l'habitation de son partenaire. Il aura également les mêmes droits que n'importe quel des conjoints dans un couple hétérosexuel en matière de garde des enfants. Cette dernière disposition est d'autant plus importante que les paires homosexuelles ont d'ores et déjà légalement le droit d'adopter des enfants en Grande-Bretagne. Via le partenariat civil, un homosexuel gagnera également les mêmes droits que le conjoint survivant d'un couple hétérosexuel en matière d'assurance vie. Enfin, le partenariat civil permettra de bénéficier du même régime fiscal donné par le mariage. Sa dissolution ne pourra se faire que devant la justice, comme pour le mariage.

Entré dans le droit anglais le 18 novembre 2004, la loi sur le partenariat civil entrera officiellement en application le 5 décembre et c'est seulement à partir de cette date que les personnes souhaitant en bénéficier pourront s'inscrire auprès du "register office » de leur domicile, l'administration d'état-civil chargée de célébrer les mariages du Royaume-Uni. Les premiers « mariages » ne pourront être célébrées que quinze jours plus tard au plus tôt, soit à partir du 21 décembre comme merry Chritmas ! Le chanteur Elton John a déjà annoncé de longue date qu'il entendait être l'un des premiers à convoler en (in)justes noces avec son partenaire David Furnish.

Il faudrait analyser davantage les causes de ce nouveau pas gravissime de la culture de mort, comprendre avec Marcel De Corte combien, sous la crise morale et religieuse, « la philosophie contemporaine est homosexuelle de fond en comble : l'autre en tant qu'autre est banni, et il n'existe plus pour elle que l'autre en tant que moi, en tant que construction de la pensée autonome » (cité par Yves Chiron dans Aletheia du 21 novembre 2004)...

RÉMI FONTAINE

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texte hébergé en  09/05

 

 

Auteur:  Caroline Parmentier

Source:  Présent

Date :  14.09.05      

 "Jean a deux mamans"

L'homoparentalité racontée aux petits par l'École des loisirs

Si vous vous promenez avec vos enfants ou vos petits-enfants dans les rayons des librairies pour enfants ou de votre bibliothèque municipale, vous pouvez ces jours-ci tomber sur un petit livre à la jolie couverture colorée représentant un petit loup en salopette, intitulé : Jean a deux mamans.

Vous avez bien lu. Il s'agit d'un ouvrage destiné aux tout-petits (jusqu'à 3 ans) afin de leur expliquer l'homoparentalité. Le livre est édité par la célèbre Ecole des loisirs dans la collection « Loulou et Cie ».

Avec des mots d'enfants, l'auteur, Ophélie Texier, présente l'homosexualité de la mère et de sa compagne comme un modèle familial parmi d'autres. L'éditeur voulait augurer « un nouveau ton » en parlant de « nouveaux schémas familiaux » aux plus petits.

Ainsi, raconte jean le petit loup aux petits garçons et aux petites filles, « mes deux mamans s'aiment connue un papa et une maman, »... C'est maman Jeanne qui m'a porté dans son ventre, pendant ce temps-là maman Marie faisait des travaux à la maison.

Où est le problème ? déclare en substance l'auteur au Figaro. « C'est une collection qui parle avant tout d'amour. C'est une tentative de première explication aux tout-petits pour qu'ils puissent mieux comprendre les situations face auxquelles ils se retrouvent de plus en plus souvent. Je ne vois pas ce qu'il y a de choquant ! Les enfants ne sont pas trop petits pour comprendre l'amour. Le tabou du divorce a bien fini par tomber. »

On peut donc attendre pour Noël un futur Chloé a deux papas du même auteur, ou Xavier est amoureux de Nassim à l'usage des crèches scolaires ou des bibliothèques de première année de maternelle...

Pour le moment, une seule voix s'est élevée dans la presse contre cette parution. C'est celle de la pédiatre Edwige Antier.

« Ce genre d'histoires peut nuire à la construction de l'enfant », déclare-t-elle clairement. « De zéro à 6 ans, ce que vous voyez et entendez, vous l'engrangez comme un fait intangible. (...) L'enfant est en train de prendre ses repères, il fixe sa place par rapport à son père et sa mère, il construit qui il est. Il est donc une marmite émotionnelle où chaque livre, chaque jeu aide à cette construction. Or lire ou raconter ce genre d'histoire bouleverse tout et peut nuire à la construction psychique. (...)Aujourd'hui dans notre société, on ne laisse pas les parents être acteurs de l'éducation de leurs propres enfants ! On le voit avec ce genre de livres mais aussi à travers certains débats ou propos sur internet, à la télévision, etc. Tout cela veut se substituer au libre arbitre et aux choix des parents. C'est pourtant à eux et rien qu'à eu de décider quelles valeurs inculquer à leurs enfants. »

CAROLINE PARMENTIER

 

 

 
 

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