NON à l'EUROPE MULTICULTURELLE , à l'Europe top-down..... OUI à L'EUROPE CULTURELLE, celle des peuples vers le haut

Dossier :

Présentation :... Lundi 3 octobre le processus irréversible s'est officiellement enclenché. ... au mépris de la volonté des peuples....Les européens ne veulent pas de cette Europe sans âme, du laïcisme droit de l'hommiste ...et les turcs sans doute non plus.... malgré cela les dirigeants poursuivent dans la comédie des négociations au mépris des peuples ..... et de leur culture

Extraits :  

Une Turque devant des affiches pour l'adhésion de la Turquie à l'UE, le 2 juillet 2005 à Istanbul

 

la comédie des négociations au mépris des peuples :.....C'était en quelque sorte du donnant, donnant : Zaghreb contre Ankara. ... appuyée en sous-main par les Etats-Unis... « Nous avons une dynamique culturelle substantielle, une culture riche. Nous allons resserrer notre amitiés avec eux, en préservant ces richesses culturelles. (...) Nos amis devraient garder à l'esprit que nous dirons OK si cette révolution culturelle signifie intégration, mais que si elle veut dire assimilation, ils ne devraient pas attendre cela de nous. »

 

Référendum permanent ... Les européens ne veulent pas de cette adhésion, malgré cela nos dirigeants poursuivent dans la voie de la trahison et du suicide collectif. .....Si, comme nous, vous refusez ce diktat, rendez-vous sur rayezlaturquie.com

 

Turquie en Europe : le coût du mépris ... Ivan Rioufol ...les fiançailles avec Ankara, imposées lundi par les Vingt-Cinq, sont une insulte à la démocratie. ...En invitant la Turquie à rejoindre une association à buts lucratifs, les élites espèrent conjurer le choc des civilisations dont elles brandissent la menace. Mais où ont-elles vu que la Turquie, musulmane à 99%, était prête à renoncer à son identité ? ... Arménie

en z relations

.... ensemble-HOMENTRANCHE universaliste, islam, démocratie, ... communautarisme ... melting pot ...  mondialisme ... destruction des coques   ... le mensonge de "la paix mondiale par le commerce mondial" ... la résistance de homocoques ... tous spect-acteur ... "je forme les NOUS...Le Nous me forment" ... sans NOUS la désespérance ...

Comment voient-ils l'Europe  ???  mai 2005

ligne de front ...nos fronts ... décembre 2004

 

 

 
 

Une Turque devant des affiches pour l'adhésion de la Turquie à l'UE, le 2 juillet 2005 à Istanbul

L'Union européenne, qui doit ouvrir le 3 octobre les négociations d'adhésion avec la Turquie, pourra difficilement oublier pendant le processus d'accession une opinion publique européenne réticente à l'accession de ce grand pays musulman.
• Cem Turkel (AFP/AFP/Archives -
vendredi 30 septembre 2005, 17h56)

 http://fr.news.yahoo.com/photos/050930155625.ort4kqc7-photo-une-turque-devant-des-affiches-pour-l-adhesion-de-.html

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la comédie des négociations au mépris des peuples

Source:  Présent

Date :    5.10.05    

 

L'Union européenne, au terme d'un faux suspens, a donc ouvert dans la nuit de lundi à mardi à Luxembourg « des pourparlers historiques » d'adhésion avec Ankara. Tout n'était donc que théâtre... Saluons tout de même la résistance de l'Autriche. Les Autrichiens, gens de bon sens - et de plus en plus eurosceptiques - craignent, à juste titre, les conséquences économiques et sociales de l'immigration, « a fortiori musulmane ». Seuls 10 % d'entre eux sont favorables à l'entrée de la Turquie dans PUE. Mais la « résistance » autrichienne poursuivait aussi un autre objectif : obtenir que s'ouvrent officiellement les négociations d'adhésion de la Croatie. Et là c'est gagné.

C'était en quelque sorte du donnant, donnant : Zaghreb contre Ankara. Et l'Autriche a obtenu sur ce plan-là gain de cause grâce, nous dit-on, au « surprenant revirement du procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie Carla Del Conte, qui a estimé que désormais Zaghreb coopérait pleinement avec le TIC ».

Revirement spectaculaire, certes, mais pas si « surprenant'» que cela. L'ouverture des négociations avec Ankara était une priorité majeure pour la présidence britannique de r'UE, appuyée en sousmain par les Etats-Unis dont la Turquie est un allié clé au sein de l'Otan. Il ne fut sans doute pas trop difficile pour Londres et Washington de faire pression sur la dictatoriale et très antipathique Carla Del Conte, procureur en chef du nouvel ordre mondial.

C'est véritablement une journée historique pour l'Europe et pour toute la communauté internationale... Nous sommes tous gagnants », s'est réjoui le chef de la diplomatie britannique. l'ultra mondialiste Jack Straw. Si la 'Turquie est effectivement gagnante, ce n'est certainement pas le cas de l'Europe.

Réactions :

Dans Présent d'hier, Franck Delétraz nous rapportait une déclaration de Philippe de Villiers : « Le processus sera très difficilement réversible. Le prochain président de la République devra, en tout cas, c'est mon programme présidentiel, être très clair : si la Turquie entre dans l'Union européenne, la France devra quitter l'Europe parce que ce ne sera plus l'Europe. »

Lundi 3 octobre le processus irréversible s'est officiellement enclenché.

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JEAN COCHET

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Source:  Présent

Date :    7.10.05    

 

Après l'ouverture des négociations d'adhésion

Chirac mouché par la Turquie

On sait tout l'effort consenti par Chirac au service de l'ouverture des néociations d'adhésion de la Turquie àl'Union européenne. On sait (Présent d'hier) combien il est favorable à cet in­tégration de tout un monde musulman dans l'espace européen. On pourrait donc croire que le peuple turc aurait, à l'égard du président Chirac, une recon­naissance, sinon éternelle, du moins importante à l'égard du président fran­çais. Eh bien non ! et c'est même tout à fait l'inverse ! Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a même vive­ment critiqué, mercredi à Ankara, le chef de l'Etat.

Le motif de cette ire est simple. A côté de son appréciation, extrêmement, outrageusement positive, de la situation, Jacques Chirac s'est en effet permis une remarque. Une simple remarque. Mais une remarque de trop...

« (...) ce n'est pas l'Europe qui adhère à la Turquie, mais la Turquie qui adhère à l'Europe et, par conséquent, cela exige qu'elle fasse tous les efforts nécessaires pour adhérer à la totalité de nos valeurs, de nos principes. C'est un effort considérable pour elle. C'est une révolution culturelle majeure, elle est demandeur, très bien. Est-ce qu'elle pourra y arriver ? Je n'en sais rien. Ce qui est sûr, en revanche, c'est qu'il lui faudra du temps, beaucoup de temps.

«C'est une affaire de dix à quinze ans minimum. Parce que cette révolution culturelle en Turquie qui est tout de même un vieux peuple avec une longue histoire, des traditions, d'une culture forte, c'est un effort considérable. Alors, est-ce qu'elle réussira ? Je ne peux pas vous le dire. Je le souhaite. Mais je n'en suis pas sûr du tout. Et, par conséquent, ayons l'élégance et c'est conforme à nos intérêts, de discuter. »

Il n'y avait, dans l'intention manifeste du président français, que la volonté bafouillante de ne pas exacerber davantage une opinion publique qui a manifesté clairement son hostilité à une telle adhésion. Et sans doute aussi, son habituelle rengaine droitdelhommiste...

Cela même n'est pas acceptable pour le Premier ministre turc qui l'a déclaré tout net

« M. Chirac devrait garder ses opinions sur le sujet pour lui. (...) La Turquie entreprend ses révolutions culturelles de son propre chef quand le besoin s'en fait sentir. (...) Il n'y a rien dont M. Chirac doive s'inquiéter, il devrait se calmer. »

Et de conclure : « Nous avons une dynamique culturelle substantielle, une culture riche. Nous allons resserrer notre amitiés avec eux, en préservant ces richesses culturelles. (...) Nos amis devraient garder à l'esprit que nous dirons OK si cette révolution culturelle signifie intégration, mais que si elle veut dire assimilation, ils ne devraient pas attendre cela de nous. »

Chirac devrait le savoir... N'est-ce pas le ministre turc de l'Economie, Ali Babacan, qui déclarait récemment (Pré­sent du 19 août) que, à terme, la Turquie changerait l'aspect de l'Union !

OLIVIER FIGUERAS

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Référendum permanent .....

Source:  http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=7073

Date :    6.10.05    

 

Cette nuit [3 octobre], à 0h00, jour où - en principe - l'Union européenne doit ouvrir les négociations en vue de permettre l'adhésion de la Turquie, le site rayezlaturquie.com a été mis en ligne.

Les européens ne veulent pas de cette adhésion, malgré cela nos dirigeants poursuivent dans la voie de la trahison et du suicide collectif.

Si, comme nous, vous refusez ce diktat, rendez-vous sur rayezlaturquie.com

Sur ce site, vous pouvez commander tracts et autocollants, mais aussi prendre part à la campagne en affichant la bannière sur votre site, en apparaissant en partenaire sur le nôtre, et en alimentant le blog.

Cette campagne rencontrera un succès considérable, en France mais aussi dans toute l'Europe, si tout le monde y participe. Tout le monde peut participer, tout le monde DOIT participer, cette fois-ci il n'y a pas d'excuse possible !

 

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texte hébergé en  10/05

 

 

Turquie en Europe : le coût du mépris

Ivan Rioufol (irioufol@lefigaro.fr)
[07 octobre 2005]

 

Récapitulons. Les Européens, dans leur majorité, ne veulent pas de mariage avec la Turquie. Ils entendent, en effet, préserver leur culture. Les Français l'ont dit, le 29 mai, en rejetant une Union sans frontières. Ils le confirment dans les sondages. Celui de la Sofres, diffusé lundi, montre qu'ils sont 42 % (contre 26 %) à penser que leur identité est davantage menacée que protégée par Bruxelles. Difficile d'être plus clair. C'est pourquoi les fiançailles avec Ankara, imposées lundi par les Vingt-Cinq, sont une insulte à la démocratie.

L'Union va à sa perte en répugnant à écouter les électeurs et à analyser le réveil national qui s'observe dans les pays membres, en réaction à la mondialisation. La pensée conforme insinue que le libre marché aura raison de cette crise existentielle. La gauche française avait tenu un discours approchant, dans les années 90, en assurant que les violences des cités disparaîtraient sous l'effet de la reprise économique et des créations d'emplois. Une «naïveté» dont Lionel Jospin allait faire l'aveu en 2002.
Une fois de plus, l'angélisme des dirigeants se heurte à la clairvoyance des citoyens. En invitant la Turquie à rejoindre une association à buts lucratifs, les élites espèrent conjurer le choc des civilisations dont elles brandissent la menace. Mais où ont-elles vu que la Turquie, musulmane à 99%, était prête à renoncer à son identité ? «Il n'y a pas de liberté religieuse et les chrétiens sont considérés comme des citoyens de deuxième catégorie», a rappelé, mardi, le cardinal Paul Poupard, membre de la Curie.

Qui ose dire ces vérités sur les religions parias et les minorités brimées (1) ? Vienne – qui sut résister à l'expansion ottomane aux XVIe et XVIIe siècles – a bien tenté de se faire l'avocat de l'opinion, en réclamant pour Ankara un «partenariat privilégié» plutôt qu'une pleine adhésion. Pourtant, aucun pays n'est venu au secours de la courageuse Autriche, qui a dû capituler lundi devant une Turquie impériale, soutenue par les Etats-Unis.

Cependant, les gouvernés se désespèrent d'être ainsi méprisés. Ce que confirme la Sofres, qui décrit leur grand désenchantement – à commencer par celui des Français, au coeur de la construction – face à cette Union prête à brader sa propre civilisation. Aujourd'hui, c'est au peuple lui-même qu'il revient de sauver l'Europe et son histoire : il est le seul à oser défendre ce qui reste d'âme européenne.

Club musulman
L'Europe actuelle saura-t-elle imposer ses valeurs à la Turquie ? Improbable. En effet, l'Union s'est montrée incapable d'exiger, en préalable à l'ouverture des négociations en vue d'une adhésion, que le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, reconnaisse Chypre, pourtant membre de l'UE, et le génocide arménien : conditions avancées naguère par le Parlement européen. Ce recul, ajouté aux sarcasmes d'Erdogan dénonçant en l'Union un «club chrétien» sans que personne ose lui rappeler la propre appartenance de son pays à l'Organisation de la conférence islamique, «club musulman» s'il en est, donne une idée des molles convictions des représentants européens.

«Si, dans un mouvement d'humeur un peu léger, on dit «ils ne sont pas européens, qu'ils s'en aillent», qui vous dit que cet ensemble ne basculera pas demain dans l'intégrisme ?», a fait valoir Jacques Chirac mardi. Mais cette incertitude vaut justement pour l'Europe. Qui peut assurer que la Turquie «européenne» aura renoncé à l'islamisme, même «modéré» ? La menace du fondamentalisme, qui plane notamment sur les pays du Maghreb, obligera-t-elle à faire entrer le Maroc, l'Algérie ou la Tunisie dans l'Union ?

En réalité, se retrouve cette fascination qu'exerce l'islam, et son prosélytisme, sur les dirigeants occidentaux – à commencer par Jacques Chirac et Dominique de Villepin – qui n'ont de cesse de vouloir ouvrir l'Europe à ses influences. Mais ce qu'ils croient être le prix à payer pour sa tranquillité risque de dénaturer l'«Europe européenne» et d'accélérer sa balkanisation. Des processus de ghettoïsation s'observent dans les pays qui, comme la France, connaissent une forte immigration musulmane. Les gens le voient, le disent, le déplorent. En vain.

«Ecouter les Français»

Les dirigeants, il est vrai, n'entendent que ce qui les arrange. Quand Chirac déclare mercredi : «Il est absolument indispensable d'écouter l'ensemble des Français», après la démonstration sociale de mardi, on ne peut que regretter que leur vote du 29 mai– qui faisait suite à celui du 21 avril 2002 – ait été ignoré dans l'affaire turque. Même le Parlement n'a pas eu son mot à dire avant l'ouverture des négociations. Cette semaine, les Français ont été, une nouvelle fois, invités à se reconnaître dans les traditionnelles processions syndicales de la fonction publique. Mais ces représentations d'un mécontentement, agréées par le gouvernement, ne mettent en scène qu'une partie des malaises de la société. Le chômage n'est certes pas le moindre des maux. Il n'est pas le seul. Il suffit, en effet, d'écouter les Français...

Bon sens

Commentaire d'un groupe de travail du Commissariat au Plan, dévoilé par Le Figaro lundi : il est inutile d'appliquer des quotas d'immigration en fonction d'emplois offerts en France, car les «réserves d'actifs» existent déjà dans le pays, qui comptabilise 10% de chômeurs et trop de préretraités. Cette conclusion rassure : tous les experts n'ont pas renoncé au bon sens.

* irioufol@lefigaro.fr

(1) Lire Alexandre Del Valle, Emmanuel Razavi, Le Dilemme turc, Editions des Syrtes.

 

 

 

9.10.05.... Voici ce qu'a déclaré Nicolas Sarkozy. le 19 septembre, devant l'auditoire prestigieux de l'Institut de France et de l'Académie des sciences morales et politiques réunis pour commémorer le centenaire de la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat : « En 1905, la France profonde était rurale et catholique. En 2005, la France profonde est celle des banlieues à majorité musulmane. »  Présent 30.09

 

20.11.05  ...arménie

A propos de l'illustration de cet article : Cette photo (en fait, il doit s'agir d'un dessin fait par un témoin) représente les centaines (milliers ?) de femmes arméniennes crucifiées nues par les Turcs dans le Désert de Syrie en 1915 lors du Génocide Arménien. Certaines ont été sauvées par des bédouins qui passaient par là et qui acceptaient de les détacher de leurs croix en échange d'une promesse de mariage.

N'oublions pas que les turcs :

- Occupent toujours le nord de Chypre

- Qu'ils n'ont toujours pas rendu les territoires annexés à l'Arménie

- Qu'ils font passer sur notre territoire des tonnes de drogues

- Qu'ils colonisent nos terres

- Et que rien de ce qui est dans l'ancien empire byzantin n'est à eux.

Alors, pourquoi donc attendre que les turcs aient profité de la manne européenne pour se rendre compte qu'ils ne nous veulent pas du bien ?

Pourquoi continuer à les traiter en amis ou en alliés ?

Pas de turquie en Europe : "Rayez La Turquie", http://www.rayezlaturquie.com/   ... voir ci-dessus

http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=7696

 

 

 

 

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