NDLR : Depuis qu'il est ministre de l'intérieur, Sarkozy
n'a pas caché son intention de favoriser l'islamisation de la France, en
faisant alliance avec les islamistes Frères Musulmans de l'UOIF qu'il a
adoubés au plus haut sommet de l'Etat. Il a ensuite lancé un puissant
lobbying destiné à détruire la loi de séparation de l'Eglise et de
l'Etat, au seul profit du culte d'Allah et en particulier pour faire
prendre en charge la construction de mosquées par le contribuable dhimmi.
Mais la résistance aux jihads anti-français s'organise ! Des « comités
de défense de la loi de 1905 » se regroupent en collectif et comptent
mener la bataille contre les islamistes et leurs collabos. France-Echos
apporte tout son soutien à cette initiative nationale, patriotique et
citoyenne.
Site web : http://reseauloi1905.blogspot.com/
Qui sommes nous ?
Le collectif qui s'est constitué pour défendre la loi de
1905 réunit des militants venant de différents mouvements et partis
politiques, soucieux de se rassembler pour la défense de la loi de 1905
sans autre considération et de façon tout à fait neutre sur tout autre
type d'engagement politique qui n'aurait pas de rapport avec la loi de
1905.
Ce collectif a ambition à rassembler toutes celles et
ceux qui se reconnaîtront et voudront s'associer en toute liberté les
uns avec les autres, sans structure, sans récupération d'aucune sorte,
en tant que simples citoyens pour défendre le principe de la loi de
1905.
Ce collectif ne repose que sur un principe de réseau
internet visant à publier ici toutes les actions pouvant permettre
d'agir contre la volonté de quiconque veut mettre en cause la loi de
1905.
Il sera tenté de recueillir ici des idées et de mettre
les gens en relations entre eux pour organiser des opérations pacifiques
de lobbying permettant de défendre la loi de 1905 partout dans le pays.
Jose Melchor Gonzales, pour le collectif
Appel
vendredi 21 octobre 21 2005
Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy va mettre en
place une "commission de réflexion juridique sur les relations des
cultes avec les pouvoirs publics" régies par la loi de 1905, selon le
quotidien La Croix à paraître vendredi.
Présidée par Jean-Pierre Machelon, professeur de droit à
Paris V, cette commission, dont les membres doivent être prochainement
nommés, doit notamment réfléchir aux relations entre les communes et les
cultes, ainsi que sur le régime fiscal des cultes.
Elle abordera notamment la question controversée du
financement de la construction de mosquées et de carrés religieux dans
les cimetières.
Après avoir entendu les représentants des religions, des
universitaires, des élus, des responsables associatifs, des hauts
fonctionnaires, la commission devra remettre ses conclusions en juin
2006.
La guerre contre le dernier rempart de la République face
à l'islam est donc lancée, et cette fois nous n'avons pas le droit
d'échouer.
En 1989 quand la France, sous l'inflexion de Jospin,
avait reculé devant les 3 premiers tchadors de Creil, nous n'étions
qu'une poignée à craindre que cela n'ouvre la voie à l'islamisation du
pays.
Aujourd'hui les droits des femmes sont bafouées à tous
les niveaux : dans les banlieues de nos villes le port du voile est
devenu quasiment « obligatoire » pour qui ne veut pas finir dans une
cave violée dans une tournante parce que considérée comme une pute ; les
enlèvements et les mariages forcés au pays sont devenu monnaie courante,
les meurtres d'honneur se généralisent dans l'Europe du nord et des
premiers cas se sont produits en France ces dernières années ; le
phénomène des « fiancées importées » gangrènent l'Allemagne et gagnent
les communautés musulmanes implantées en France…
Au-delà des femmes qui sont les premières victimes, comme
les juifs qui ont subi des vagues de violence qui n'ont pour précédent
que les pogroms allemands des années 30's, ce sont les fondements mêmes
de la République et l'ensemble de nos libertés publiques comme
individuelles qui sont mis en cause sous la poussée de l'islam qui
retourne notre droit contre nous même, en prétextant la lutte contre la
discrimination et l'anti-racisme devenu l'arme de frappe des
organisations néo-islamistes ou proches de l'extrème gauche qui se sont
liées lors du forum social européen de Paris de 2003 où se sont
rapprochés extrémistes musulmans, radicaux islamistes et néo-gauchistes
européens
Le marché immobilier est devenu un terrain
d'expérimentation majeure et précurseur de la main mise de l'extrémisme
musulman sur nos libertés individuelles ; un rapport inquiétant a été
rendu publique sur l'entrisme islamiste dans les entreprises du pays ;
les cantines scolaires et d'entreprises sont devenues des zones de
combat pour imposer des menus hallal au nom de la tolérance mais qui en
fait prépare le lit d'une société fondée sur la ségrégation raciale et
religieuse, comme c'est le cas de ces mairies qui créent des piscines
musulmanes.
Partout s'insère une autre conception de la société que
celle de la République fondée sur la citoyenneté, l'individu sans
distinction de race, de couleur ou de religion. Foulée aux pieds par
certains politiciens partisans d'un modèle essentiellement
communautariste qui a pourtant échoué en Grande Bretagne et que les
Républicains Américains ou les libéraux néerlandais remettent eux-mêmes
en cause pour s'inspirer du modèle… français, nous devrions, nous
dit-on, y renoncer.
Nicolas Sarkozy, édificateur du projet chevènementiste
utlra-communautariste de CFCM qui a instauré un véritable gouvernement
fantôme musulman au sommet de nos institutions organise la destruction
de la dernière digue de résistance républicaine et laïque qu'est la loi
de 1905, pour ouvrir la voie à une société où l'individu et ses
libertés devrait s'effacer devant la juxtaposition des communautarismes
qui deviendrait l'unique régulateur des rapports sociaux.
Le rapport Fauroux prépare-t-il autre chose que les
quotas raciaux dans les entreprises ? et la discrimination positive ? et
la construction d'écoles, collèges et lycées coraniques préparent-ils
autre choses que l'éclatement de la Nation au risque de générer une
société divisée où les conflits inter-ethniques et inter-religieux
rempliraient le vide laissé par la déliquescence du lien social fondé
jusque là sur la citoyenneté et le politique ?
Déjà dans nos écoles, la jeunesse islamisée des banlieues
conteste les cours d'histoire sur la shoah, refusent de participer à des
cours d'éducation physique et sportive au nom de leur obscurantisme
religieux. Le ramadan s'impose dans les entreprises, et désorganisent
les services. Les fêtes de Noël sont de plus en plus contestées d'année
en année, des mairies allant jusqu'à retirer les arbres de Noël des
lieux publics, certaines même ayant concédé de ne plus mettre
d'illuminations dans les rues pour ne pas choquer la « sensibilité
musulmane ». Des rayons entiers même de nos hypermarchés deviennent
hallal…
Sous prétexte de tolérance pour les uns, d'anti-racisme
pour les autres, que « cela ne nous gêne pas » pour la plupart des
français noyés dans le culte de l'indifférence où s'endort la conscience
démocratique et citoyenne, saoulée par des media concupiscents et
trompée par la lâcheté des élites, la République se décompose chaque
jour davantage en silence.
En préparant la remise en cause de la loi de 1905,
Nicolas Sarkozy franchit ce qui n'est que la première étape d'un projet
qui enterrera la République comme nous avions prévenu en 1989 que les 3
premiers tchadors de Creil enseveliraient la liberté de millions de
femmes, ce qui est, 16 ans, un constat d'évidence.
C'est pourquoi nous appelons à l'unité de tous les
mouvements, organisations, associations, militants, quels que soient
leur sensibilité, de droite ou de gauche, et dans le respect de nos
différences, à s'unifier solennellement sur un seul mot d'ordre :
La défense de la loi de 1905 sur la Laïcité qui fonde
notre République.
Dans ces heures sombres où l'avenir du monde n'a jamais
été aussi incertain, nous, Françaises et Français, avons le devoir de
nous rassembler pour défendre ce serment de liberté et d'égalité qui a
fondé notre Nation, la France.
D'ors et déjà je m'engage à créer ou à participer à un
comité de défense de la loi de 1905, et à militer par tous les moyens
qui me sont donnés dans ma commune, auprès de mes élus, de ma famille,
de mes amis, de mes collègues pour inciter le plus grand nombre de
français qui soit à se mobiliser pareillement contre la remise en cause
du principe le plus fondamental de la République.