Autant le titre de "sous-homme"
attribué à un fils de harki par l'incontrôlable Frêche, maire mégalo
de Montpellier, a soulevé des vagues d'indignation convenue, autant le
statut de sur-citoyen dont médias et politiciens parent à longueur de
colonne et de dis. cours quiconque n'est pas Français de souche semble
approuvé par les pointilleux contrôleurs de l'égalité et les
pourfendeurs salariés du prétendu racisme. Après les assassinats
exactement identiques ("séquestration suivie d'actes de barbarie ayant
entraîné la mort") d'llan Ilalimi et de Benoît Savéan, on n'a pas
entendu une seule voix pour s'étonner de l'aveuglante différence de
comportement de la "super-classe" (comme dit Attali) confrontée à ces
deux affaires jumelles à un détail près : lialimi était juif et Savéan
breton.
• La mort du premier a fait
descendre trente mille personnes dans la rue, tiré des larmes au
président de la République, au Premier ministre et à tout le
gouvernement, libéré des flots de salive dans les radios, télés, et
des torrents d'encre dans les journaux. La mort du second n'a même pas
valu un mot de condoléances officielles à sa famille.
• Après la publication des
caricatures de Mahomet, Chirac s'est prosterné devant les
milliardaires à keffieh d'Arabie Saoudite pour condamner ce qu'il a
appelé des « provocations manifestes à l'égard des musulmans ».
Mais le même Chirac jamais ne s'est
ému des insultes répétées contre la religion catholique, dont il nie
le caractère fondateur. Au contraire, ce jean-foutre a tenu à remettre
lui-même la médaille de la Légion d'lionneur à l'un des pires
insulteurs du catholicisme : le dessinateur pornographe communiste
Wolinski.
• Parce que trois jeunes Juifs ont
été victimes, dans les rues de Sarcelles, de violences comme il s'en
déroule chaque jour des centaines dans tous les territoires occupés de
France contre des Français qui tous ne sont pas Juifs, Sarkôzy, qui ne
manifeste pas la moindre émotion quand un
franchouillard-béret-baguette est agressé et dépouillé, a
immédiatement promis de couvrir de caméras de surveillance les rues de
cette ville.
• Toujours prêts à se mobiliser
quand l'un des leurs s'estime victime d'une injustice professionnelle,
les syndicats de journalistes n'ont pas bronché quand les francs-macs
de TFI ont débarqué Thomas Hugues, remplaçant et successeur désigné de
Poivre d'Arvor pour lui substituer Harry Roselmack, parfait inconnu
débauché de Canal Plus et ce au motif unique et proclamé que ce
dernier est un nègre. On n'ose imaginer le contraire ! Que n'aurait-on
pas entendu si France 3 avait viré un journaliste nègre de la télé
régionale des Antilles pour faire une place aux "minorités visibles"
en le remplaçant par un blanc ?
• À Clichy-sous-Bois, les malheureux
parents des deux petits voyous maghrébins carbonisés dans un
transformateur électrique où ils se cachaient de la police ont fait
l'objet d'une véritable course aux hommages et condoléances de la part
de Villepin et Sarkôzy. En revanche, la veuve du gendarme Clin, dont
le cadavre a été profané par les gesticulations et les insultes
racistes des voyous nègres de Saint-Martin n'a eu droit qu'à un
avertissement très sec de la hiérarchie gendarmesque d'avoir à se
taire si elle voulait éviter des difficultés dans le règlement de sa
pension.
• À Verdun, le coallahbo de
l'Elysée, qui avait interdit toute représentation officielle à
l'anniversaire de la victoire d'Austerlitz va transformer les
cérémonies du quatre-vingt-dixième anniversaire de l'holocauste
français en une prosternation de plus devant les musulmans. Sur ordre
de Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris, il fait dresser à coté
de l'ossuaire un monument à la gloire des seuls morts musulmans de la
Grande Guerre. Ce vaste déambulatoire de 25 mètres sur 19 avec arcades
et créneaux d'allure mauresque enfermera en son centre une koubba
(coupole) de pierre et coûtera près d'un demi-million d'euros.
Certains jugeront sans doute que c'est un hommage mérité. Disons que
c'est un hommage disproportionné. Les vingt mille musulmans morts dans
la Grande Guerre représentent à peine plus de 1 % du total des tués.
C'est surtout un hommage incongru et presque obscène après que tant de
tombes françaises ont été profanées et de monuments aux morts détruits
dans les villages fondés par la France en Algérie. Une fois de plus l'Etat-Chirac,
répugnant au point de faire oublier la saleté gaullienne, bafoue le
principe de laïcité au profit des musulmans. De même qu'il finance
leurs mosquées au mépris de la loi de séparation, de même c'est un
monument religieux qu'il leur élève à Verdun, site emblématique de la
résistance à l'invasion et où ceux qui ont donné leur vie n'étaient
pas là en tant que catholiques, protestants, athées ou adeptes d'un
culte imbécile mais en tant que Français.
• Enfin, on a appris le 10 mars la
condamnation de l'humoriste Dieudonné à cinq mille euros d'amende pour
« avoir comparé les Juifs à des négriers,, mais la Ligue des
droadlloums n'est pas inquiétée quand elle dénonce les "négriers
français" et ce alors que les historiens ont montré que l'immense
majorité des "trafiquants de bois d'ébène" n'étaient ni Français ni
catholiques (1).
Les choses sont claires :
l'objectif de cette discrimination dite "positive" n'est pas de
préserver la dignité des Hexagonaux appartenant à des "minorités
visibles", il est de détruire celle des Français de vieille souche,
cette majorité inaudible, en leur enfonçant de force dans le crâne
l'idée délétère qu'ils sont, eux, et eux seuls, des sous-hommes
condamnés jusqu'à la fin des temps à payer leur crime d'être ce qu'ils
sont.
Serge de Beketch
(1) Rappelons les noms de quelques
navires négriers et de leurs propriétaires : 'Abigail", "Charlotte"
(Aaron Lopez, Moses Levy et Jacob Franks) "Crown" ( Isaac Levy and
Natham Simpson) "Nassau", "Four Sisters" - (Moses Levy) "Anne and
Eliza" - (Justus Bosch et John Adams) "Prudent Betty" (Henry Cruger et
Jacob Phoenix) "Rester' "Elizabeth" (Mordecal et David Gomez),
'Antigua" - (Natham Marston et Abram Lyell) "Expedition" -(John et
Jacob Roosevelt)- "Caracoa" (Moses et Sam Levy) etc.