"le stage de citoyenneté"

Dossiers : Mondialisme  Education

 

Extraits :   3000 euros d'amende dont 1000 avec sursis et l'obligation de suivre un stage de citoyenneté ont été requis mercredi contre la gérante d'un salon de coiffure de Châteaubriant, en Loire-Atlantique

"Le contenu du stage de citoyenneté fait l'objet d'un projet élaboré par la personne ou le service chargé de procéder au contrôle de sa mise en oeuvre. Ce projet est validé par le procureur de la République après avis du président du tribunal de grande instance".

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Discrimination négative.....

 

Source:  http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=4368

Date : jeudi 22 juin 2006

 

Le racisme ordinaire

Auriane Boudin, avec Reuters

La gérante d'un salon de coiffure comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Nantes pour discrimination vis à vis d'une jeune femme noire candidate à l'embauche. Le procureur a déploré le "racisme du citoyen lambda"

3000 euros d'amende dont 1000 avec sursis et l'obligation de suivre un stage de citoyenneté ont été requis mercredi contre la gérante d'un salon de coiffure de Châteaubriant, en Loire-Atlantique. Elle comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nantes pour "discrimination à l'embauche en raison d'une appartenance ethnique ou raciale", pour avoir refusé à deux reprises d'employer une jeune femme de 27 ans, titulaire d'un CAP coiffure parce qu'elle était noire.

"Pas de Noir dans son salon"

Le 22 novembre 2005, une jeune femme d'origine haïtienne mariée à un Français, se rend dans un salon de coiffure de Châteaubriant pour y déposer un CV, mais la gérante lui répond alors n'avoir besoin de personne. Le lendemain, la jeune coiffeuse se voit proposer par l'ANPE un remplacement d'un mois pour un congé-maladie dans ce même salon. Etonnée, elle rappelle la gérante du salon en précisant qu'elle est la jeune femme qui est passée la veille. Cette fois, la patronne lui répond qu'elle a reçu assez de candidatures. Une de ses amies blanches à qui elle demande de postuler, se voit, elle, fixer un rendez-vous.

L'agence ANPE vers laquelle elle se tourne soupçonne tout de suite une discrimination raciale, prévient ensuite l'Inspection du travail et retire l'offre d'emploi. Le rapport remis au juge par l'inspection du travail indique que la gérante "ne voulait pas de noir dans son salon". "Je recherchais une employée de couleur blanche parce que cela correspond mieux à mon type de clientèle", a affirmé la patronne du salon, ajoutant, "je me sens mieux avec des gens de ma couleur". Elle a refusé de commenter ses déclarations pendant l'audience.

"Le citoyen lambda est toujours raciste"

L'avocate de la jeune femme et de l'association SOS racisme, qui s'est portée partie civile, a dénoncé cette ""chronique du racisme ordinaire", tandis que la procureure de la République, Martine Lambrechts a déclaré avoir "presque honte". "Je représente la société, le citoyen lambda [...] et je constate que le citoyen lambda est toujours raciste. Un racisme ordinaire dont chaque jour des personnes sont victimes", a-t-elle continué.

La victime, "soulagée", a estimé avoir été entendue, elle qui comptait quitter la France après l'incident. Le vice-président national de SOS Racisme a salué le courage de la victime "qui a dit non, qui demande à être respectée en tant que Française noire", rappelant que "le taux de chômage des personnes issues de l'immigration est encore 3 à 4 fois supérieur à celui des Français d'origine française".

Me Stéphane Fouéré, l'avocat de la patronne a contesté ces accusations de racisme à l'encontre de sa cliente, affirmant qu'elle souhaitait simplement "travailler avec des personnes qu'elle sent proches d'elle et de sa clientèle de Châteaubriant". Selon lui, "ce n'est pas une question de couleur de peau".

Stage de citoyenneté

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2006/06/vers_la_rducati.html

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Pour les dispositions légales, Wikipedia nous offre un aperçu synthétique.
Le but de ce stage est expliqué dans ce passage de la
loi :

Il "a pour objet de rappeler au condamné les valeurs républicaines de tolérance et de respect de la dignité de la personne humaine et de lui faire prendre conscience de sa responsabilité pénale et civile ainsi que des devoirs qu'implique la vie en société. Il vise également à favoriser son insertion sociale".

Il peut durer jusqu'à un mois avec un maximum de 6 heures par jour. Son contenu est totalement aléatoire et arbitraire :

"Le contenu du stage de citoyenneté fait l'objet d'un projet élaboré par la personne ou le service chargé de procéder au contrôle de sa mise en oeuvre. Ce projet est validé par le procureur de la République après avis du président du tribunal de grande instance".

Dans le cas des circonstances aggravantes prévues par l'article 132-76 (infraction commise à raison de l'appartenance ou de la non-appartenance de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée), le cas de cette coiffeuse, la loi prévoit que le stage "rappelle en outre à l'intéressé l'existence des crimes contre l'humanité, notamment ceux commis pendant la Seconde Guerre mondiale" (article 131-35).

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texte hébergé en mai 06                     

 

 
 
 

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