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le MONDIAL
.... STADE de la
MONDIALISATION |
Dossiers :
Mondialisme |
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Extraits :
Football : la
mondialisation d'un fléau émotionnel .... Le
football est désormais un projet de mondialisation, l'un des vecteurs
privilégiés de la diffusion massive des produits et sous-produits de la
pseudo-culture foot
La mondialisation du football,
heureuse pour une poignée d'individus, a des conséquences terribles
pour beaucoup d'autres : le dénuement et le désenchantement souvent
abyssaux de ceux qui ont intégré cette situation sans pouvoir y
résister. D'où une pandémie planétaire d'infantilisation et de
crétinisation des masses.
Football: récupération politique par
les mondialistes
Illustrations d'un
semi-échec
en France ....
en
z
relations
.... l'homentranche .... la complicité objective
de la tranche du haut ... d'Israêl ... l'Iran ... l'Europe
... Occident ... Usa ... du monde ...
voici
une vidéo d'un futur probable en homentranche ...mais peut-être pas
inéluctable
Allez
le blé:
Parodie
officielle de l'hymne des Bleus
http://www.polemia.com/edito.php?id=1260&PHPSESSID=8d7a6cf9e036d46787fb476ca7746e9f
Le Mondial du foot, une fiction sportive ....à
laquelle vont assister les milliards de spectateurs de la Coupe du
monde du 9 juin au 9 juillet 2005.
Le footballeur ghanéen qui a brandi
le drapeau d’Israël
Redeker Robert, Le sport contre les peuples,
coll. «Pensée Politique et Sciences Sociales», Berg International,
2002. ISBN
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Football : la mondialisation d'un fléau émotionnel
Jean-Marie Brohm et Marc Perelman, respectivement professeur de
sociologie, université Paul-Valéry, Montpellier-III et architecte et
professeur en esthétique, université Paris-X - Nanterre, coauteurs de Le
Football, une peste émotionnelle (Gallimard, Folio, 2006).
17 juin 2006, (le Figaro Rubrique Opinions)
N'hésitons pas à braver les idées
reçues sur le football ! Contrairement à certains qui «confondent»
l'Organisation des Nations unies (l'ONU, ce «machin» comme le
caractérisait de Gaulle) avec la Fifa, et à l'inverse également de
ceux qui, malgré leur supposée grande expérience de terrain, veulent
comparer les États à des équipes de sport, nous caractériserons plus
scientifiquement la mondialisation actuelle du football de la façon
suivante : le processus de mondialisation en cours est directement lié
au mode de production dans lequel il se déploie : le capitalisme du
troisième âge, c'est-à-dire un libéralisme issu des hautes (et basses)
sphères du capitalisme financier qui dérégule et même parfois détruit
tout ce que les États démocratiques avaient pu développer et encore
maintenir jusqu'à présent : services publics, entreprises
nationalisées, Code du travail...
Le football mondial, qui est une
immense pyramide avec, au sommet, la Fifa (un budget comparable à
celui de la France) et, tout en bas des millions de clubs et de
licenciés qui ont assimilé ses règles, participe à ce vaste processus
de libéralisation économique planétaire.
La logique de cette puissante
machine à produire des marchandises et à les reproduire dans une
machine à rêves est d'agir comme un gouvernement mondial – mais avec
des crampons... Le football est un secteur fort, le paradis de cette
économie mondiale, et on doit l'analyser ainsi : une petite phalange
de direction pour l'organisation de l'ensemble, un club très fermé de
grands privilégiés qui roulent sur l'or – un Ronaldinho empoche 23
millions d'euros par an !, un Sepp Blatter vit comme un nabab –, qui
dépensent sans compter et qui règnent sur des millions d'individus,
esclaves modernes enchaînés au spectacle des ballons gonflés à
l'opium.
Le football n'est pas le simple
reflet, même déformé, de la mondialisation en cours ou un miroir bombé
à l'image de ce fameux ballon. Le football est désormais un projet
de mondialisation, l'un des vecteurs privilégiés de la diffusion
massive des produits et sous-produits de la pseudo-culture foot
avec ses équipementiers mondiaux (Nike, Adidas, Puma...) déversant sur
la planète leurs marchandises élevées au rang de fétiches :
chaussures, maillots, ballons, tous fabriqués dans les zones
pauvres de la planète, mais vendus dans les pays riches ; avec
l'édification de constructions souvent monstrueuses (stades
démesurés), équipements la plupart du temps vides de public ; avec la
montée en puissance d'un marché opaque et son lot de chômeurs et de
«galetteux», de blessés permanents et de retraités à 35 ans...
La mondialisation du football,
heureuse pour une poignée d'individus, a des conséquences terribles
pour beaucoup d'autres : le dénuement et le désenchantement souvent
abyssaux de ceux qui ont intégré cette situation sans pouvoir y
résister. D'où une pandémie planétaire d'infantilisation et de
crétinisation des masses.
Le monde sans passion a engendré une
passion mondialisée : le football. La planète est envahie par une
peste émotionnelle partagée, en effet, mondialement. À quelques-uns
qui, cyniques, imaginent le football comme le stade ultime de la
mondialisation, nous voudrions plus sérieusement rappeler les
principaux traits de cette mondialisation de la misère et de
l'oppression qui constituent le coeur du football :
-la profonde fracture sociale
: la
fortune inouïe, sans partage, de quelques joueurs et de leurs
dirigeants, étalée de façon ostentatoire ;
- l'illusion d'une unité politique
retrouvée (tous ensemble derrière l'équipe nationale) ;
- la corruption à chaque degré de
la pyramide footballistique (prévarication, blanchiment d'argent,
tricheries généralisées, escroqueries, fraudes et malversations...)
;
- le spectacle permanent qui
colonise le regard par la visualisation du monde ramené par le
truchement des écrans à un ballon (la Terre serait «ronde comme un
ballon», quelle métaphore indigente !) ; l'adhérence des nouveaux
«gueux de l'écran» à un spectacle-carnaval de joueurs grotesques
vêtus de l'uniforme national sponsorisé est telle qu'elle semble
sans possibilité du moindre recul critique.
Le système totalitaire du football
mondialisé est enfin lui-même redoublé par la mondialisation d'une
langue universelle paupérisée, privée de tout concept, la langue des
onomatopées, des vociférations, du beuglement de la masse-ola
compacte, réduite à l'état de supporters hystériques.
Des États comme l'Iran ont trop bien
compris l'enjeu d'une participation au Mondial allemand. Or, dans le
cas de l'Iran, dont le football n'atteint pas la prestation des
équipes richissimes, le véritable enjeu est de se montrer sur la scène
mondiale pour faire avancer sa revendication d'une «bombe islamique».
Le président iranien n'a cessé de multiplier les déclarations de
guerre en parlant de «rayer Israël de la carte» et en tenant des
propos négationnistes considérés en Europe – et donc en Allemagne –
comme des crimes : «Ils ont fabriqué une légende sous le nom de
?massacre des juifs? et placent cela plus haut que Dieu lui-même, que
la religion elle-même, que les prophètes eux-mêmes.»
Bien qu'elle ait comparé la menace
iranienne à celle du national-socialisme des années 30 , la
chancelière Angela Merkel a très vite déclaré qu'elle refuserait tout
boycott de l'Iran... Les déclarations indécentes de Wolfgang Schäuble,
ministre de l'Intérieur et des Sports, expliquant que le président
iranien pouvait «volontiers venir en Allemagne pour la Coupe du monde»
et que les Allemands devraient se montrer de «bons hôtes» ont de quoi
inquiéter le Conseil central des Juifs d'Allemagne. De telles
déclarations nous inquiètent tous.
Le Mondial allemand, tant attendu,
tant chanté, tant loué, avec la participation de pays
non-démocratiques comme la quasi-totalité des pays de l'Afrique noire
– mais aussi la Tunisie et l'Arabie saoudite, et donc l'Iran pour ne
prendre que ceux-là –, est l'image même de ce que les démocraties ont
toujours refusé au nom d'un universel concret et non d'une
mondialisation footballisée : l'absolutisme, le racisme, la
corruption, la présence militaire et policière et, pour finir,
l'obscurantisme religieux.
Ainsi, non seulement le football
construit une mondialisation fondée sur l'abrutissement des peuples,
mais il se pourrait bien qu'à son maximum planétaire de visibilité, ce
Mondial – ou un futur Mondial – devienne la scène d'une brutalisation
inédite des relations internationales.
texte hébergé
en mai 06
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http://voxgalliae.blogspot.com/2006/07/football-rcupration-politique-par-les.html
Azouz Begag: "Les
enfants scolarisés [sans papier] doivent rester dans notre pays,
ils seront les Ribéry et Zidane de demain" (on notera au
passage que pour Begag un français de souche converti à l'islam
est assimilé de son point de vue un français d'origine
immigrée).
Azmaal HYDOO: "si la France se
privait de tous ses “Blacks” et autres étrangers, elle ne se
qualifierait même pas pour participer à la Coupe du monde…"
Sepp Blatter: "Avec l’équipe de
France nous avons quelque chose pour laquelle nous avons lutté,
c’est cette intégration, c’est cette lutte contre la
discrimination, la lutte contre le racisme"
Jean-Christophe Buchot: "Mais si
l'on devait féliciter l'équipe de France de football sur un seul
point, ce serait bien sur celui-là : huit ans après, et plus que
jamais, l'équipe "blacks, blancs, beurs" reste une parfaite
illustration, au grand dam de l'entraîneur espagnol, de
l'apport essentiel du métissage interculturel, interethnique et
intergénérationnel pour espérer l'emporter dans toutes
compétitions mondiales."
L'Humanité: "Ces jeunes qui
vibrent pour l’équipe de France et agitent le drapeau tricolore
sont les mêmes que ceux qui se sont sentis insultés lorsque
Nicolas Sarkozy évoqua les « racailles » et promit le nettoyage
au Karcher, ceux qui subissent des contrôles au faciès."
et
.... illustrations d'un semi-échec en FRANCE
....finale ....
illustrations du texte ci-dessus ....Football:
une peste émotionnelle ..... l'absolutisme, le racisme, la
corruption, la présence militaire et policière et, pour finir,
l'obscurantisme religieux. ...et la récupération politique
10.07.06
à moins que .... cela nous démontre la formidable
possibilité de récupération et manipulation des tranches du haut
... n'oublions pas que pour l'homentranche
" gouverner c'est faire croire"

11.07.06
-sur
le site boursier.com-
PARIS (Reuters) L'organisation SOS Racisme a demandé à
la Fédération internationale de football (Fifa) une enquête sur
les circonstances qui ont entouré l'expulsion du meneur de jeu
français Zinedine Zidane pour un coup de tête, lors de la finale
du Mondial de football contre l'Italie.
"Selon plusieurs sources très
bien informées dans le monde du football, il semblerait que le
joueur italien Marco Materazzi ait traité Zinedine Zidane de 'sale
terroriste'", écrit l'organisation dans un communiqué.
"Si cette hypothèse se
confirmait, le joueur italien serait donc l'auteur d'un propos
raciste", ajoute-t-elle. "Alors que l'ensemble du Mondial était
placé sous le signe de la lutte contre le racisme (...), nous
demandons à la Fifa d'être à la hauteur de ses déclarations."
"C'est pourquoi SOS Racisme
demande avec fermeté à la Fifa de faire toute la lumière sur cette
altercation et que les sanctions prévues par le règlement officiel
soient appliquées le cas échéant", conclut SOS Racisme.
Le meneur de jeu français a été
expulsé dix minutes avant la fin des prolongations lors de la
finale de la Coupe du monde de football, finalement remportée aux
tirs aux buts par l'Italie, dimanche soir à Berlin.
Zinedine Zidane a été sanctionné
pour un coup de tête porté au thorax de Marco Materazzi, qui
l'avait ceinturé quelques instants auparavant et qu'on avait vu, à
la télévision, parler au footballeur français.

et voici ....




M. Calderoli, Ancien Ministre chargé des réformes
institutionnelles de Berlusconi, dirigeant de la Ligue du Nord.
“ La victoire de Berlin est une victoire de notre identité,
d’une équipe qui a aligné des Lombards, des Napolitains, des
Vénitiens et des Calabrais et qui a gagné contre une équipe qui a
sacrifié sa propre identité en alignant des noirs, des islamistes
et des communistes pour obtenir des résultats. ”

et
La mère de Zidane furieuse

Toi aussi, colle des coups de boule à
Materazzi ....
dans le genre de nos jeux éducatifs pour " jeuuunes" ....

Football: Materazzi lève le secret de sa
provocation
http://www.romandie.com/infos/ats/display2.asp?page=20060905120226606172193013000.XML&associate=PHF9034
MILAN - L'Italien Marco Materazzi, champion
du monde, a levé le secret sur les secondes qui ont précédé le
fameux coup de tête de Zinedine Zidane en finale de la Coupe
du monde. Il "attend toujours des excuses" de la part de
Zinédine Zidane, déclare-t-il dans la Gazzetta dello Sport.
"Pour l'instant, il ne m'a toujours pas
demandé pardon, ce n'est surtout pas à moi de lui demander. Au
plus, c'est à sa soeur que je dois des excuses, mais je jure
qu'avant que tout ce "bazar" n'arrive, je ne savais même pas
que Zidane avait une soeur", explique Materazzi, qui a été
suspendu deux matches pour ses provocations à l'égard du No 10
français.
"Je vous arrête tout de suite. Je ne l'ai
pas provoqué: j'ai répondu, verbalement, à une provocation, se
défend-t-il également. On a été deux à parler, ce n'est pas
moi qui ait commencé. Moi, je l'ai retenu par le maillot, mais
dire sur un ton méprisant "si tu le veux, je te le donnerai
après mon maillot", ce n'est pas une provocation selon vous ?"
"Je lui ai répondu que je préfèrerais sa
soeur, c'est vrai. J'ai "atteint" sa soeur et ce n'est pas une
chose sympathique, je le reconnais. Mais, heureusement, il y a
eu des dizaines de joueurs qui ont confirmé depuis qu'il se
dit des choses bien pires sur le terrain".
Zidane s'était de son côté excusé peu après
la finale pour son geste "auprès des enfants", ajoutant que
son coup de tête n'était "pas pardonnable". Pour Materazzi, en
revanche, il n'avait eu aucun mot d'apaisement: "Je ne peux
pas regretter mon geste car cela voudrait dire qu'il avait
raison de dire tout cela".
Suspendu trois matches par la Fédération
internationale (Fifa), Zidane, en raison de l'arrêt de sa
carrière, a vu sa peine convertie en trois journées à la
disposition de la Fifa.
"Tout ce que je
sais, c'est que j'ai reçu un coup de tête et deux matches de
suspension, poursuit Materazzi. Et
je jure que j'aurais fait non pas trois journées, mais trois
mois ou même trois ans de travaux d'intérêt général pour
pouvoir être sur le terrain à Saint-Denis mercredi soir.
Mais, moi, je compte sûrement moins que Zidane".
(ats / 05 septembre 2006 12:02)
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