une OPA géante sur la France .....

Dossiers : Mondialisme

 

Présentation :... un livre de Jean Roux  .....

Extraits :   la dépossession de tous les peuples de la planète de leurs actifs patrimoniaux par un nombre de plus en plus restreint de financiers et de groupes financiers multinationaux. La France est l'un de leur terrain de chasse privilégié car elle allie un patrimoine d'une richesse presque inégalée à une classe politique régnante asservie au mondialisme. L'un des aspects les plus redoutables du mondialisme parfaitement dissimulé à l'opinion publique mondiale est la mainmise par quelques centaines de milliardaires sur les clés de décisions et sur l'essentiel du patrimoine mondial.

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"La Grande Braderie du patrimoine public des Français, une OPA géante sur la France"

de  Jean ROUX,  Editions François Xavier de Guibert.

Source:  Présent

Date : 06  juillet 2006   

 

La tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, la Sainte-Chapelle, la Fontaine des Innocents et peut-être aussi le Pont-Neuf, la Cité de Carcassonne, le Mont-Saint-Michel risquent d'être vendus aux étrangers ! Sous la coupe de gouvernants sans scrupules, la France est en voie d'être asséchée, vidée de cette substance patrimoniale qui a irrigué les générations, fortifié les âmes, empli les caeurs et animé les esprits. La France des cathédrales et des chapelles, la France des châteaux et des clochers, la France des canaux et des viaducs, la France de la Dame d'Auxerre, des Chevaux de Marly, du Maître de Moulins et de Guimard, mais aussi la France plus familière, des forêts et des plages, des usines et des fermes.

Ceci n'est pas un gigantesque canular mais un affligeant constat. Sacrifiés par les malfaisants qui sont au pouvoir depuis trois décennies, des pans immenses et inestimables de notre patrimoine (héritage que nous ont construit ou transmis nos pères) nous ont été confisqués. Cet acte de dépossession n'est pas propre à la France. Il s'inscrit dans un phénomène nouveau apparu depuis une vingtaine d'années, la dépossession de tous les peuples de la planète de leurs actifs patrimoniaux par un nombre de plus en plus restreint de financiers et de groupes financiers multinationaux. La France est l'un de leur terrain de chasse privilégié car elle allie un patrimoine d'une richesse presque inégalée à une classe politique régnante asservie au mondialisme. L'un des aspects les plus redoutables du mondialisme parfaitement dissimulé à l'opinion publique mondiale est la mainmise par quelques centaines de milliardaires sur les clés de décisions et sur l'essentiel du patrimoine mondial. Nombreux sont ceux qui ont pris conscience que se tramaient  d'obscures d'histoires d'argent et de profit derrière les privatisations, les cessions de parts, les ventes et les rachats. Ils s'en sont émus. En conversations privées. Jean Roux a pris le problème à bras-le-corps: il a consacré 4 000 heures de travail à décortiquer 20 000 articles de journaux de la presse financière et de la presse économique pour faire un audit de la situation en 2006. Selon ses calculs, la braderie atteindrait la somme colossale de 500 milliards d'euros d'actifs au bas mot.

Dérisoire même est l'évaluation financière de cette braderie, l'instant de paix goûté dans un cloître roman, l'illumination du regard sur le crénelage d'un château, la nostalgie tendre éprouvée devant une maison à colombages, l'émotion ressentie devant un monument, tous ces bonheurs simples et nobles n'ont pas de prix. Ils risquent d'être ôtés à nos enfants au profit d'une mafiocratie représentée en France par quelques milliers d'initiés (entre 2 000 et 5 000) en relation permanente et discrète avec les agents du grand capital à travers un transfert géant d'actifs publics au profit de la haute finance internationale.

Les gouvernants succrasifs de la France depuis 1981 et surtout 1986, les politiciens de l'actuelle UMP/PS délaissant les missions régaliennes et la promotion de l'intérêt national et social se sont proprement confinés dans un rôle de syndic de faillite expédiant au jour le jour les affaires courantes et s'enrichissant de la vente « à la casse » d'actifs séculaires qui leur ont été confiés.

FF

 

texte hébergé en mai 06                     

 

 
 
 

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