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Présentation :...Entretien
avec Hervé Ryssen. Cette interview fait suite à l’article précédemment
publié sur altermédia et intitulé « les origines religieuses du
mondialisme ». Il est par ailleurs paru dans les colonnes de Rivarol et
devrait paraître prochainement dans celles du Libre journal
Extraits : Tous
aspirent, d’une manière ou d’une autre, à l’édification de la société
multiculturelle censée préfigurer l’Empire global de demain. A travers
une inlassable propagande médiatique, tous travaillent sans relâche à
l’instauration de ce monde de « paix » dont parlent les prophètes.....
cet activisme ne correspond à rien d’autre qu’à une séculaire attente
messianique : ils attendent leur messie et préparent la restauration du
Royaume de David sur les ruines des autres nations. .... Elie
Wiesel qui évoque « la dramatique solitude de ce peuple à vocation
universelle. »
en
z
relations
.... homentranche .... mondialisme ....
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n Psychanalyse
du judaïsme
Auteur:
Hervé Ryssen
Source: http://fr.altermedia.info/general/psychanalyse-du-judaisme_9701.html#more-9701
Date :
17.10.06
LLJ : Hervé Ryssen, bonjour.
Après la parution des Espérances planétariennes, en 2005, vous avez
poursuivi vos recherches sur le judaïsme contemporain. Qu’est-ce qui
vous a amené à travailler sur ce sujet ?
Hervé Ryssen : Vous savez, en
commençant ce travail, il y a trois ans maintenant, je n’avais aucun
plan prédéfini. C’est en lisant les ouvrages des intellectuels juifs
que je me suis peu à peu rendu compte de l’extraordinaire homogénéité
de leur pensée. Qu’ils soient juifs religieux ou athées, libéraux,
socialistes ou communistes, sionistes ou « parfaitement intégrés »,
j’ai retrouvé à toutes les époques, et quelle que soit la nationalité
et la langue d’origine, les mêmes idées, les mêmes paradoxes, la même
espérance messianique. Tous aspirent, d’une manière ou d’une autre,
à l’édification de la société multiculturelle censée préfigurer
l’Empire global de demain. A travers une inlassable propagande
médiatique, tous travaillent sans relâche à l’instauration de ce monde
de « paix » dont parlent les prophètes. Dans Les Espérances
planétariennes, j’ai montré, avec des centaines de références à
l’appui, que cet activisme ne correspond à rien d’autre qu’à une
séculaire attente messianique : ils attendent leur messie et préparent
la restauration du Royaume de David sur les ruines des autres nations.
Certains textes sont très explicites à ce sujet. C’est de là qu’il
faut partir si l’on veut comprendre l’univers mental des juifs. Et je
puis vous assurer qu’il est très différent de celui du goy, ainsi
qu’il ne cessent eux-mêmes de le répéter. Écoutez ce qu’en dit Elie
Wiesel dans ses Mémoires : « Son rêve messianique, c’est au
royaume de David qu’il le rattache. Il se sent plus proche du prophète
Elie que de son voisin de palier… Tout ce qui a frappé ses ancêtres
l’atteint. Leurs deuils l’accablent, leurs triomphes le portent. »
LLJ : Quelles sont, selon vous,
les principales caractéristiques de l’esprit juif ?
Hervé Ryssen : Si l’on se place du
point de vue du téléspectateur, on note en premier lieu que l’histoire
du judaïsme est une succession de drames. De la sortie d’Égypte à
Auschwitz, en passant par la destruction du Temple et les ravages des
Cosaques, les juifs n’ont de cesse de vouloir donner au monde entier
l’image d’une communauté persécutée. Les juifs sont les « boucs
émissaires », toujours persécutés, et toujours innocents.
Maintenant, si l’on regarde de près en disséquant les textes, je puis
vous affirmer qu’il y a un immense orgueil d’appartenir au « peuple
élu » et un mépris non moins grand pour les cultures traditionnelles
des goys. Bernard-Henri Lévy, Emmanuel Levinas ou Alain Minc nous
ont déjà déclaré leur dégoût pour nos cultures enracinées. Il faut
associer à cela un profond désir de « vengeance » (c’est un thème
lancinant) et une foi absolue en la victoire finale. Cet état d’esprit
est parfois enrobé dans une phraséologie égalitaire prônant la «
tolérance », les « droits de l’homme », la « fraternité universelle ».
D’autre fois, les choses sont exprimées avec beaucoup plus de
franchise. Bien entendu, je ne prétend pas que tous les juifs
manifestent ces penchants. Le petit couturier de votre quartier est
probablement une personne fort sympathique, mais en l’occurrence, ma
recherche se base sur ce que j’ai pu découvrir dans les textes.
LLJ : Nous restons toujours ici
dans une perspective politico-religieuse. Mais en quoi cette singularité
juive devrait-elle faire l’objet d’une « psychanalyse » ?
Hervé Ryssen : Après la rédaction
des Espérances, l’année dernière, il me semblait que l’analyse du
phénomène « planétarien » n’était pas complète. Je constatais alors,
sans pouvoir l’expliquer, ce qui me semblait relever d’une «
anormalité ». Je pense notamment à ces ahurissantes dénégations des
intellectuels juifs au sujet du rôle de leurs coreligionnaires dans le
régime bolchevique. Le plus grand dissident soviétique, Alexandre
Soljénitsyne, a montré en 2003, dans son livre intitulé Deux Siècles
ensemble, l’implication de nombreux juifs dans cette funeste
expérience. La vérité est que de très nombreux doctrinaires,
fonctionnaires et tortionnaires juifs ont joué un rôle absolument
accablant dans cette tragédie qui reste, avec ses trente millions de
morts, le crime le plus effroyable de l’histoire de l’humanité.
Et pourtant, il faut nous faut bien
constater, avec Soljénitsyne que la quasi totalité des intellectuels
juifs refusent toujours aujourd’hui d’endosser leurs responsabilités
et de faire leur mea culpa. Leurs invraisemblables contorsions pour
nous prouver leur bonne foi sont à ce sujet hallucinantes de culot. On
peut retrouver ces curieuses dispositions à nier les évidences, à
inverser les rôles et finalement à retourner l’accusation dans
quelques autres cas. On pense par exemple au rôle de certains juifs
influents autour de George Bush dans le déclenchement de la guerre
contre l’Irak (Paul Wolfowitz, Richard Perle, Robert Kagan, etc.) ou
encore à celui de gros négociants dans la traite des Noirs. Que dire
encore de cette « mafia russe », dont on nous a tant rebattu les
oreilles, et qui n’a de russe que le nom ?
A côté de ces sujets délicats,
systématiquement occultés, balayés sous le tapis, les médiats
grossissent démesurément le moindre incident qui parait relever de
l’antisémitisme. Pas plus tard que ce matin, sur France-info (30
septembre 2006), j’entends que le journal L’Est républicain aurait
refusé de publier une annonce nécrologique comprenant les termes
idéologiques : « victime de la barbarie nazie ». Immédiatement, cette
information ridicule est relayée dans les grands médiats, provoquant
une fois de plus « l’émoi dans la communauté ». Ce sont des réactions
qui ne me paraissent pas « normales ». Il y a dans cette communauté
une émotivité de nature pathologique, une fragilité émotionnelle, un
besoin de dramatiser qui prend parfois l’aspect d’une paranoïa pure et
simple. Comme l’a écrit justement Shmuel Trigano, la communauté
juive semble ce complaire dans ce « lamento victimaire ». A côté de
cela, on note aussi une grande nervosité dès lors que « la communauté
» est critiquée. On se souvient qu’en 2000, les propos anodins et
parfaitement justifiés de l’écrivain Renaud Camus sur la «
sur-représentation » des juifs à France-Culture avaient provoqué un
tollé gigantesque et totalement disproportionné. Le diagnostic médical
insiste sur cette « grande intolérance à la frustration ».
LLJ : Avez-vous pu recueillir des
témoignages sur la difficulté que peuvent avoir certains juifs à vivre
leur judéité ?
Hervé Ryssen : Pour ce qui concerne
les intellectuels, ce n’est vraiment pas ce qui manque ! On retrouve
l’obsession de leur propre judéité chez nombre d’entre eux, avec
l’expression plus ou moins prononcée d’une angoisse identitaire. Jean
Daniel, Albert Cohen, André Glucksmann, Serge Moati ou le romancier
américain Philip Roth, entre autres, ont exprimé cette angoisse. Le
journaliste Alexandre Adler relève effectivement que la judéité peut
être parfois une « névrose obsessionnelle ». Il y a quelques mois, le
grand Elie Wiesel nous a fait une révélation dans son roman intitulé
Un Désir fou de danser : « Suis-je paranoïaque, schizophrène,
hystérique ? » (page 13). En 2003, le directeur de presse Jean Daniel
a fait paraître un livre intitulé de manière éloquente La Prison
juive. Les uns et les autres parlent de ce « mystère » du judaïsme
sans comprendre la nature du mal qui les mine. Bernard-Henri Lévy
parle de « l’une des plus profondes énigmes qui se posent à la
conscience contemporaine. » Le judaïsme est donc pour eux un « mystère
», une « énigme » qu’ils ne parviennent pas à résoudre. Il faut dire
que leur situation est unique dans l’humanité. Mettez-vous à leur
place : depuis des siècles, ils ont été expulsés de la quasi totalité
des pays où ils s’étaient installés, et à côté de cela - ils n’en
démordent pas - ils sont persuadés d’être le « peuple élu » de Dieu et
d’avoir une « mission » à accomplir sur cette terre. La vérité est
qu’ils se sentent parfois tout de même bien seuls dans ce monde, comme
le dit Elie Wiesel qui évoque « la dramatique solitude de ce peuple
à vocation universelle. »
LLJ : Et à quoi correspond, selon
vous, ce « mystère » du judaïsme ? Et surtout : quel rapport avec la
psychanalyse ?
Hervé Ryssen : Freud avait déjà
réfléchi à la question, en son temps, en étudiant son cas personnel,
mais en projetant ses découvertes sur le plan universel. La «
projection pathologique », il faut le savoir, est en effet un
concept freudien, pour ne pas dire typiquement judaïque. Nous avons
déjà vu cette tendance de fond à systématiquement inverser les rôles
et à retourner les situations. C’est ce qui explique pourquoi les
intellectuels juifs, dans leur ensemble, accusent les antisémites
d’être des « malades mentaux ». Voyez ce qu’a déclaré tout récemment
Abraham Foxman, le président de la ligue antiraciste américaine, au
sujet de Mel Gibson, le réalisateur de La Passion du Christ, qui avait
tenu des propos jugés « antisémites » sous l’emprise de l’alcool,
avant de s’excuser auprès de la communauté juive sous l’effet d’on ne
sait quelles pressions : « Qu’il soigne son alcoolisme est une bonne
chose, déclara Foxman en substance, mais il faudrait aussi qu’il
soigne son antisémitisme. » Vous l’avez compris, l’antisémitisme est
pour eux une « maladie ». Les propos à ce sujet sont innombrables. Et
l’on comprend mieux à leur lecture pourquoi les opposants étaient
enfermés dans des asiles psychiatriques en URSS et dans les pays
staliniens.
Freud a projeté sa propre pathologie
sur le plan universel. Ce n’est pas pour rien qu’il a commencé sa
carrière en travaillant sur le phénomène hystérique. On trouve dans
cette pathologie tous les symptômes qui se calquent parfaitement avec
ceux que j’ai pu déceler dans le comportement et le discours des
intellectuels cosmopolites. Les similitudes sont vraiment étonnantes :
La dépression, l’introspection, l’angoisse, la paranoïa,
l’hyperémotivité, l’amnésie sélective, la fabulation, la sensibilité à
l’opinion des autres, l’égocentrisme, la tendance à se donner en
spectacle, l’incapacité à s’observer, l’intolérance à la frustration,
le délire mégalomaniaque, etc. Tout y est, et jusque dans les origines
de la pathologie, que Freud avait mis en évidence. Quand j’écrivais
les Espérances planétariennes, je constatais sans pouvoir la
comprendre, que la question de l’inceste revenait de manière
lancinante et mystérieuse sous la plume de certains intellectuels
juifs (Jacques Attali, Jurgen Habermas, Stéphane Zagdanski…), comme
s’il y avait des choses à cacher. J’ai poursuivi évidemment mes
recherches de ce côté, et ce que j’ai pu découvrir sur ce point est
très éclairant.
Vous vous rendez compte, je pense,
que vos travaux peuvent être insultants pour les membres de la
communauté juive ?
Hervé Ryssen : Écoutez, les
intellectuels juifs jusqu’à présent, ne se sont jamais gênés pour
écrire des « psychanalyse de l’antisémite » et traiter leurs
adversaires de « paranoïaques », d’ « antisémites pathologiques », de
« pervers » et de « fous », dont les idées seraient « nauséabondes ».
Je me souviens encore comment le professeur Faurisson a été insulté
publiquement par les trois avocats des parties civiles au cours de son
procès, au mois de juillet dernier. Ne trouvant pas d’arguments
scientifiques à lui opposer, et se sentant en position de force, ils
se sont défoulés à leur manière habituelle. Cette propension aux
insultes et à la calomnie est un des traits de caractère de
l’intellectuel cosmopolite. Bernard-Henri Lévy, Alain Minc et Daniel
Cohn-Bendit se distinguent tout particulièrement dans ce domaine.
Voyez encore ce qu’a déclaré Elie
Wiesel à l’émission Tout le monde en parle, au sujet du président
iranien Ahmadinejad : « Le chef religieux de l’Iran est un fou, je
veux dire pathologiquement malade ; il est fou de haine. » (6 mai
2006). Ce à quoi il ajoute en toute bonne logique : « Sa bombe ne
menace pas Israël, mais le monde entier. » (projection névrotique !)
Vous l’avez compris : tous ceux qui s’opposent aux projets des juifs
sont des « fous », que le monde occidental a le devoir de combattre.
Mon propos à moi n’est pas
d’insulter les juifs ni de favoriser l’antisémitisme. Je sais trop
bien qu’ils se nourrissent depuis des siècles de la haine que les
autres leur portent, et la vérité est qu’ils ont un besoin vital de
cette haine pour resserrer les rangs de leur communauté. En revanche,
je crois que la « perfidie » des juifs, telle qu’elle a été dénoncée
par l’Eglise et tous les grands penseurs occidentaux à travers les
âges (Tacite, Jean Chysostome, Pierre le Vénérable, Luther, Voltaire,
Dostoïevski, Wagner, Drumont, Céline et cent autres) ne correspond pas
au fond véritable de la personnalité juive. C’est ce que je pense
avoir découvert. Bien qu’aucune statistique ne soit disponible, je
peux vous dire qu’il existe un très fort taux de suicide dans cette
communauté. Mon propos est simplement d’attirer l’attention sur ce
drame méconnu qui touche une partie de nos concitoyens, et je serais
heureux si je pouvais contribuer à les délivrer de leur « dybbuk »,
comme ils disent.
Commandes à
www.librad.com
Les Espérances planétariennes, 2005,
432 pages, 26 euros ::
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Psychanalyse du judaïsme, 2006, 400 pages, 26 euros
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