juifs antisionistes .....

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Extraits :   Ces représentants juifs ont affirmé que la Shoah avait certes eu lieu, mais ont cependant prétendu qu’elle s’était produite à cause du mouvement sioniste.

en z relations ....   homenUN .... shoa ...

Les limites ont été dépassées à Téhéran  (Tévet 5767 / Janvier 2007) ..http://kountras.magic.fr/index.php?publid=159&articleno=3

 

n  Le rabbin Aryeh Cohen victime d’ostracisme

 

Source:  http://fr.altermedia.info/general/le-rabbin-aryeh-cohen-victime-dostracisme_9971.html

Date : 22.12.06    

Le rabbin Aryeh Cohen, de la communauté des Netourei Karta de Manchester, qui a participé au colloque sur l’holocauste de Téhéran et a été photographié serrant la main d’Ahmadinejad, ne pourra plus être “anonyme” dans sa ville. Des manifestations hostiles ont accompagné son retour. Il a été insulté, a reçu des lettres de menaces, sa voiture a été endommagée et toutes les communautés juives de la ville se sont publiquement démarquées de son attitude, la dénonçant comme “inacceptable et insultante”.

Rappelons que plusieurs représentants de la communauté des Netourei Karta se sont rendus au colloque sur l’holocauste de Téhéran. Ils ont été reçus chaleureusement par le Président iranien. Ces représentants juifs ont affirmé que la Shoah avait certes eu lieu, mais ont cependant prétendu qu’elle s’était produite à cause du mouvement sioniste.

Aryeh Cohen a subi des manifestations devant son domicile de sionistes religieux et non-religieux “brandissant des drapeaux de l’Etat juif, pour le vomir de la communauté juive.”

“La communauté ne lui pardonne pas et n’a nullement l’intention de rester silencieuse. Il ne peut pas voyager comme cela, revenir et faire ce qui lui plait avec les ennemis d’Israël, tout en s’imaginant agir correctement,» a affirmé un membre de la communauté juive de Manchester.

«Il ne pourra plus se rendre à la synagogue, il a d’ailleurs essayé Shabbat dernier, mais il a été expulsé,» raconte David Sharon, 37 ans, membre d’un groupe sioniste britannique. «La Hevra Kadisha (les pompes funèbres) lui a déjà rendu son argent et il ne pourra même pas bénéficier d’un enterrement juif, seulement derrière la barrière,» a-t-il ajouté. Selon Sharon, les grands rabbins de Manchester ont ordonné aux magasins cashers de ne plus lui vendre de nourriture cashère. «Quiconque violera l’excommunication, ce verra également touché d’anathème.»

Le 15 décembre, le grand rabbin ashkénaze, le rav Yonah Metzger, avait appelé à excommunier les orthodoxes qui ont participé à la Conférence de Téhéran. Le rabbin Metzger avait dit aux journalistes : «il faut excommunier et boycotter les Juifs qui ont participé à cette conférence. Il s’agit d’une insulte à Dieu et aux saints tombés pendant la Shoah.» Le grand rabbin a demandé à tous les rabbins ayant des juifs antisionistes dans leur communauté de ne pas leur permettre d’entrer à la synagogue ou de participer à tout les actes saints : ne pas les faire participer au Minyan et monter à la Torah. Il a également demandé à l’Etat d’Israël de trouver un moyen légal de les empêcher de venir en Israël.

 

 

La conférence de Téhéran telle qu’elle fut

http://fr.altermedia.info/general/la-conference-de-teheran-telle-quelle-fut_9973.html#more-9973

C’est le titre de l’article signé Georges Theil paru dans Rivarol n° 2791 du 22 déc. 2006. Lequel Rivarol porte à la une en gros titre ‘T o u s R é v i s i o n n i s t e s ?” et en p. 2 un article intitulé ” Une conférence et ses conséquences ” avec une belle photo du Pr. Faurisson avec Lady Renouf.

Que n’avait-on pas entendu sur la préparation de cette conférence, annoncée depuis quelques mois ! Un ramassis de négateurs, animés des plus viles intentions, sponsorisé par un président iranien acharné à la destruction d’Israël, allait se réunir à Téhéran pour y éructer d’odieux propos. Il n’en fut rien, je puis vous le dire, car j’en ai été le témoin direct. J’y avais été convié par l’IPIS ( le Sciendes-PO iranien ), institut bien informé notamment des énormes peines à moi infligées ( un an de prison et plus de 100.000 euros d’amendes et de dommages ), pour la diffusion d’une bluette autobiographique intitulée Un cas d’insoumission, qui relate le cheminement intellectuel d’un jeune homme d’abord troublé par les deux conflits du XXème siècle qui avait emporté son père et son grand-père, puis dubitatif devant la version officielle de la Seconde Guerre Mondiale. Et qui se heurte rapidement à des obstructions de toutes sorters dans ses recherches, à des menaces de sanctions professionnelles s’il persiste, et à la fin se voit traîné en justice.

J’avais donc préparé pour la Conférence de Téhéran une contribution intitulée ” Notre mission : démonter la calomnie pour bâtir un monde honnête ” . Je me plaçais là dans une position post-faurissonienne, en considérant comme le socle de notre réflexion présente les travaux de Robert Faurisson complétés par les rapports de Fred Leuchter et de Germar Rudolf. Les conclusions de Robert Faurisson n’ont pu être réfutées; les rapports Leuchter et Rudolf n’ont fait non plus l’objet d’aucun contre-rapport. J’ai donc examiné dans ma contribution le chemine-ment de la croyance imposée et les conséquences gravissimes associées - occupation du territoire palestinien, attaque de l’Irak.

Nous étions plus de soixante intervenants (d’une trentaine de pays) dont trois Français. La contribution de Robert Faurisson fut brillantissime par son exposé des vingt points qui démonte la construction des tenants de la version officielle. Son échange public de vues avec un tenant iranien de la thèse officielle, le Dr. Golamreza Vatandost de l’ Université de Chiraz [et Visiting Professor, à Seattle, de l’University of Washington], tourna à la confusion de ce dernier qui s’en tenait à la notoriété publique de l’ “holocauste”; prié par Robert Faurisson, à cinq reprises, de fournir un seul document incontestable à titre de preuve l’universitaire capitula.

Au soir de la seconde journée de ces rencontres, les sessions et ateliers étant terminés, nous étions là dans notre Guest House, le professeur Faurisson et moi, silencieux, dégustant un thé. Je remarquai un ouvrage, “sa” Clé des Chimères, posé entre nous sur la table basse; il remarqua que j’avais repéré le livre. Rompant le silence, il me dit alors : ” Voulez-vous que je vous dise des vers de Gérard de Nerval ? ” Cette proposition de sa part ne me surprit qu’à moitié, je connaissais les facettes de cet homme étonnant. Venant après la tension de la conférence, la musique nervalienne me conquit. Et les vers d’ El Desdichado maintenant me troublaient : n’avais-je pas devant moi celui qui par deux fois vainqueur avait traversé l’Achéron ?

Georges Theil

 

 

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