de l'Europe totalitaire .....et racisme et xénophobie

Dossiers : Mondialisme Europe

 

Présentation :...Vladimir Bukovsky, l’ancien dissident soviétique âgé de 63 ans, craint que l’Union Européenne ne soit en train de devenir une autre Union Soviétique. Dans un discours prononcé à Bruxelles en février 2006, Mr. Bukovsky a qualifié l’UE de « monstre » qui doit être détruit le plus tôt possible, avant qu’il ne se transforme en un Etat totalitaire en pleine puissance.

Extraits :   Un ancien dissident soviétique met en garde contre une dictature de l’Union Européenne  Le but ultime de l’Union Soviétique était de créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique, sur tout le globe. La même chose est vraie dans l’UE aujourd’hui. Ils tentent de créer un nouveau peuple. Ils appellent ce peuple les « Européens », quoi que cela signifie.

Soviétiques avaient besoin d’un changement de relations avec l’Europe parce qu’ils entraient dans une crise structurelle prolongée et très profonde ; à l’Ouest, les partis de gauche craignaient d’être balayés et de perdre leur influence et leur prestige. Donc c’était une conspiration, faite par eux, négociée et élaborée tout à fait ouvertement.

 Ils devront nous contrôler pour 32 sortes de crimes – dont deux sont particulièrement effrayants, l’un est appelé racisme, l’autre xénophobie. Aucune cour criminelle sur terre ne définit une telle chose comme un crime [ce n’est pas entièrement vrai, puisque la Belgique le fait déjà – PB]. Donc c’est un nouveau crime, et nous avons déjà été avertis. Un membre du gouvernement britannique nous a dit que ceux qui s’opposent à l’immigration incontrôlée du tiers-monde seront considérés comme racistes et que ceux qui s’opposent à la poursuite de l’intégration européenne seront considérés comme xénophobes.

L'UE veut condamner le racisme mais pas le communisme  ... Une des mesures clés réside dans l’instauration d’une peine minimale pour tout auteur d’acte de violence raciste ou xénophobe.

L'anti-racisme, cheval de Troie de l'idéologie progressiste   la disparition de l'identité de l'autre entraîne la disparition de sa propre identitè ... il suffit d'instituer un libre-échange intégral : ainsi les masses de main d’œuvre afflueront dans les pays de haut salaires ... les nations jadis riches deviendront des mosaïques inextricables de communautés hétérogènes, sans unité ou volonté propre. Il en résultera un renforcement de la culture du n'importe quoi. A terme, le métissage étant devenu intégral, l'univers sera unifié par l'homogénéisation raciale et par la domination culturelle du n'importe quoi. Ce but ne peut être atteint que par l'organisation d'une destruction culturelle nationale et intégrale. En fait, il s'agit d'une entreprise totalitaire comportant anéantissement culturel, déportation d'immenses masses humaines, déposition de tous les pouvoirs nationaux existants et exténuation de la démocratie en noyant les nations dans d'immenses ensembles technico-oligarchiques ».

L’homosexualité devient une race:  une punition pouvant aller jusqu’à quatre ans au regard de ceux qui se rendent coupables d’actions de discrimination à cause de préjugés raciaux, ethniques, nationaux, religieux ou concernant l’orientation sexuelle et l’identité de genre».

et voila d'un bon usage possible des lois anti-racistes ..   Qui cherche des sites pédophiles trouvera la police ....

en z relations ....   homenTRANCHE ....  la HALDE .... discrimination ... préférence nationale ... homophobie ...liberté de conscience ... IVG .... éducation NATIONALE ...  anti-nation ...anti- identité ...christianophobie ... l'homme nomade ... sans racines

des tentations des "mono..ismes" verticaux

Endoctrinement des enfants : opération cartes postales

 

 

n   Un ancien dissident soviétique met en garde contre une dictature de l’Union Européenne

Auteur:   AMI France

Source:  http://fr.altermedia.info/general/un-ancien-dissident-sovietique-met-en-garde-contre-une-dictature-de-lunion-europeenne_10064.html

Date : 8/1/2007   

 

Mr. Bukovsky a rendu visite au Parlement Européen il y a quelques mois sur l’invitation du FIDESZ, le Forum civique hongrois. Le FIDESZ, membre du groupe chrétien-démocrate européen, avait invité l’ancien dissident soviétique, vivant en Angleterre, à l’occasion du 50e anniversaire de la révolte hongroise de 1956. Après sa rencontre du matin avec les Hongrois, Mr. Bukovsky a fait un discours l’après-midi dans un restaurant polonais de la Trier Straat, en face du Parlement Européen, où il a parlé sur l’invitation du Parti de l’Indépendance du Royaume-Uni (UKIP), dont il est le parrain.

Une interview avec Vladimir Bukovsky sur l’imminente UERSS

Dans son discours, Mr. Bukovsky fit référence à des documents confidentiels venant des dossiers soviétiques qu’il fut autorisé à lire en 1992. Ces documents confirment l’existence d’une « conspiration » pour transformer l’Union Européenne en une organisation socialiste. J’ai assisté à la rencontre et tapé le discours. Une transcription, ainsi que le fragment audio (environ 15 minutes), peut être trouvé plus bas. J’ai eu aussi une brève interview avec Mr. Bukovsky (4 minutes), dont une transcription et un fragment audio peuvent aussi être trouvés ci-dessous. L’interview sur l’Union Européenne a dû être abrégée parce que Mr. Bukovsky avait d’autres engagements, mais elle m’a rappelé quelques souvenirs, quand j’avais interviewé Vladimir Bukovsky vingt ans auparavant, en 1986, alors que l’Union Soviétique, le premier monstre qu’il avait si vaillamment combattu, était encore vivant et florissant.

Mr. Bukovsky fut l’un des héros du XXe siècle. Encore jeune homme, il dénonça l’utilisation de l’emprisonnement psychiatrique contre les prisonniers politiques dans l’ancienne URSS (Union des Républiques Socialistes Soviétiques, 1917-1991) et passa au total douze ans (1964-1976), depuis l’âge de 22 ans jusqu’à 34 ans, dans les prisons, les camps de travail et les institutions psychiatriques soviétiques. En 1976, les Soviétiques l’expulsèrent en Occident. En 1992, il fut invité par le gouvernement russe pour servir d’expert témoignant au procès conduit pour déterminer si le Parti Communiste Soviétique avait été une institution criminelle. Pour préparer son témoignage, Mr. Bukovsky obtint l’accès à un grand nombre de documents des archives secrètes soviétiques. Il est l’une des rares personnes à avoir vu ces documents, puisqu’ils sont encore classifiés. En utilisant un petit scanner portable et un ordinateur portable, cependant, il réussit à copier beaucoup de documents (certains avec une mention de haute sécurité), y compris des rapports du KGB au gouvernement soviétique.

Une interview avec Vladimir Bukovsky

Paul Belien : Vous avez été un célèbre dissident soviétique, et maintenant vous tracez un parallèle entre l’Union Européenne et l’Union Soviétique. Pouvez-vous expliquer cela ?

Vladimir Bukovsky : Je fais référence aux structures, à certaines idéologies qui sont inculquées, aux plans, à la direction, à l’inévitable expansion, à l’effacement des nations, ce qui était le but de l’Union Soviétique. La plupart des gens ne comprennent pas cela. Ils ne le savent pas, mais nous le savons parce que nous avons été élevés en Union Soviétique où nous devions étudier l’idéologie soviétique à l’école et à l’université. Le but ultime de l’Union Soviétique était de créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique, sur tout le globe. La même chose est vraie dans l’UE aujourd’hui. Ils tentent de créer un nouveau peuple. Ils appellent ce peuple les « Européens », quoi que cela signifie.

D’après la doctrine communiste ainsi que de nombreuses formes de pensée socialiste, l’Etat, l’Etat national, est supposé disparaître. En Russie, cependant, c’est le contraire qui arriva. Au lieu de disparaître, l’Etat soviétique devint un Etat très puissant, mais les nationalités furent effacées. Mais quand vint le temps de l’effondrement soviétique, ces sentiments réprimés d’identité nationale revinrent en force et ils détruisirent presque le pays. C’était si effrayant.

PB : Pensez-vous que la même chose puisse arriver quand l’Union Européenne s’effondrera ?

VB : Absolument, vous pouvez presser un ressort seulement jusqu’à un certain point, et la psyché humaine est très résistante, vous savez. Vous pouvez la presser, vous pouvez la presser, mais n’oubliez pas qu’elle accumule toujours de la force pour rebondir. Elle est comme un ressort et elle revient toujours en force.

PB : Mais tous ces pays qui ont rejoint l’UE l’ont fait volontairement.

VB : Non, ils ne l’ont pas fait. Regardez le Danemark qui a voté contre le traité de Maastricht deux fois. Regardez l’Irlande [qui a voté contre le traité de Nice]. Regardez beaucoup d’autres pays, ils sont sous une énorme pression. C’est presque du chantage. La Suisse a été forcée de voter cinq fois dans un référendum. Les cinq fois ils l’ont rejeté, mais qui sait ce qui arrivera la sixième fois, la septième fois. C’est toujours la même chose. C’est un truc pour les idiots. Les gens doivent voter dans des référendums jusqu’à ce que les gens votent de la manière souhaitée. Ensuite ils doivent s’arrêter de voter. Pourquoi s’arrêter ? Continuons à voter. L’UE est ce que les Américains appelleraient un mariage forcé.

PB : Que pensez-vous que les jeunes devraient faire concernant l’UE ? Sur quoi doivent-ils insister, démocratiser l’institution ou simplement l’abolir ?

VB : Je pense que l’UE, comme l’Union Soviétique, ne peut pas être démocratisée. Gorbatchev a tenté de la démocratiser et elle a éclaté. Ce genre de structure ne peut jamais être démocratisé.

PB : Mais nous avons un Parlement Européen qui est choisi par le peuple.

VB : Le Parlement Européen est élu sur la base de la représentation proportionnelle, ce qui n’est pas une vraie représentation. Et sur quoi vote-t-on ? Le pourcentage de graisse dans les yoghourts, ce genre de chose. C’est ridicule. On lui donne la tâche du Soviet Suprême. Le parlementaire moyen peut parler six minutes par an à la Chambre. Ce n’est pas un vrai parlement.

Transcription du discours de Mr. Bukovsky à Bruxelles

En 1992, j’ai eu un accès sans précédent aux documents secrets du Politburo et du Comité Central qui avaient été classifiés, et qui le sont encore maintenant, pour 30 ans. Ces documents montrent très clairement que toute l’idée de transformer le marché commun européen en Etat fédéral fut acceptée par les partis de gauche européens et par Moscou comme un projet conjoint que Gorbatchev appela en 1988-89 notre « maison commune européenne ».

L’idée était très simple. Elle apparut pour la première fois en 1985-86, quand les communistes italiens rendirent visite à Gorbatchev, suivis par les sociaux-démocrates allemands. Ils se plaignaient tous que les changements dans le monde, particulièrement après que Mme Thatcher ait introduit la privatisation et la libéralisation économique, menaçaient de balayer toutes les réalisations (comme ils les appelaient) de générations de socialistes et de sociaux-démocrates – menaçant de les inverser complètement. Par conséquent la seule manière de résister à cette agression du capitalisme sauvage (comme ils l’appelaient) était de tenter d’introduire les mêmes buts socialistes dans tous les pays immédiatement. Avant cela, les partis de gauche et l’Union Soviétique s’étaient opposés à l’intégration européenne surtout parce qu’ils la percevaient comme un moyen de bloquer leurs buts socialistes. A partir de 1985, ils changèrent complètement de vision. Les Soviétiques parvinrent à la conclusion et à un accord avec les partis de gauche, que s’ils travaillaient ensemble ils pouvaient détourner tout le projet européen et l’inverser complètement. Au lieu d’un marché ouvert, ils le transformeraient en un Etat fédéral.

D’après les documents [soviétiques], 1985-86 est le moment-clé. J’ai publié la plupart de ces documents. Vous pouvez même les trouver sur internet. Mais les conversations qu’ils ont eues sont vraiment révélatrices. Pour la première fois vous comprenez qu’il y a eu une conspiration – très compréhensible pour eux, puisqu’ils tentaient de sauver leurs peaux politiques. A l’Est, les Soviétiques avaient besoin d’un changement de relations avec l’Europe parce qu’ils entraient dans une crise structurelle prolongée et très profonde ; à l’Ouest, les partis de gauche craignaient d’être balayés et de perdre leur influence et leur prestige. Donc c’était une conspiration, faite par eux, négociée et élaborée tout à fait ouvertement.

En janvier 1989, par exemple, une délégation de la Commission Trilatérale vint voir Gorbatchev. Elle comprenait Nakasone, Giscard d’Estaing, [David] Rockefeller et Kissinger. Ils eurent une très jolie conversation où ils tentèrent d’expliquer à Gorbatchev que la Russie Soviétique devait s’intégrer dans les institutions financières du monde, comme le Gatt, le FMI et la Banque Mondiale.

Au milieu de la conversation, Giscard d’Estaing entre soudain en piste et dit : « Mr. le Président, je ne peux pas vous dire exactement quand cela arrivera – probablement dans 15 ans – mais l’Europe va devenir un Etat fédéral et vous devez vous y préparer. Vous devez élaborer avec nous, et avec les dirigeants européens, la manière dont vous réagiriez à cela, comment vous permettriez aux autres pays d’Europe de l’Est d’interagir avec lui ou comment en faire partie, vous devez être prêt ».

C’était en janvier 1989, à un moment où le traité de Maastricht [1992] n’avait même pas été esquissé. Comment diable Giscard d’Estaing savait-il ce qui allait se passer dans 15 ans ? Et surprise, surprise, comment devint-il l’auteur de la constitution européenne [en 2002-03] ? Très bonne question. Ça sent la conspiration, n’est-ce pas ?

Heureusement pour nous, la partie soviétique de cette conspiration s’effondra avant et elle n’atteignit pas le point où Moscou aurait pu influencer le cours des événements. Mais l’idée originelle était d’avoir ce qu’ils appelaient une convergence, par laquelle l’Union Soviétique s’adoucirait quelque peu et deviendrait plus sociale-démocrate, pendant que l’Europe occidentale deviendrait sociale-démocrate et socialiste. Ensuite il y aurait eu une convergence. Les structures devaient s’adapter l’une à l’autre. C’est pourquoi les structures de l’Union Européenne furent initialement bâties dans le but de s’adapter à la structure soviétique. C’est pourquoi elles sont aussi similaires dans leur fonctionnement et dans leur structure.

Ce n’est pas un hasard si le Parlement Européen, par exemple, me rappelle le Soviet Suprême. Il ressemble au Soviet Suprême parce qu’il a été conçu comme lui. De même, quand vous regardez la Commission Européenne, elle ressemble au Politburo. Je veux dire qu’elle lui ressemble exactement, sauf pour le fait que la Commission a maintenant 25 membres et que le Politburo avait habituellement 13 ou 15 membres. A part ça, ils sont exactement les mêmes, ne rendant de compte à personne, sans être directement élus par personne. Quand vous regardez toute cette activité bizarre de l’UE avec ses 80.000 pages de règlements, ça ressemble au Gosplan. Nous avions une organisation qui planifiait tout dans l’économie, dans les moindres détails, cinq ans à l’avance. C’est exactement la même chose qui se passe dans l’UE. Quand vous regardez le type de corruption de l’UE, c’est exactement le type soviétique de corruption, allant de haut en bas, plutôt que de bas en haut.

Si vous parcourez toutes les structures et tous les traits de ce monstre européen émergeant, vous remarquerez qu’il ressemble de plus en plus à l’Union Soviétique. Bien sûr, c’est une version plus douce de l’Union Soviétique. S’il vous plaît, ne vous méprenez pas. Je ne dis pas qu’il a un Goulag. Il n’a pas de KGB – pas encore – mais je surveille très attentivement des structures comme l’Europol par exemple. Cela m’effraye réellement parce que cette organisation aura probablement des pouvoirs plus grands que ceux du KGB. Ils auront l’immunité diplomatique. Pouvez-vous imaginer un KGB avec l’immunité diplomatique ? Ils devront nous contrôler pour 32 sortes de crimes – dont deux sont particulièrement effrayants, l’un est appelé racisme, l’autre xénophobie. Aucune cour criminelle sur terre ne définit une telle chose comme un crime [ce n’est pas entièrement vrai, puisque la Belgique le fait déjà – PB]. Donc c’est un nouveau crime, et nous avons déjà été avertis. Un membre du gouvernement britannique nous a dit que ceux qui s’opposent à l’immigration incontrôlée du tiers-monde seront considérés comme racistes et que ceux qui s’opposent à la poursuite de l’intégration européenne seront considérés comme xénophobes. Je crois que Patricia Hewitt a dit cela publiquement.

Donc, nous avons maintenant été avertis. Pendant ce temps, ils introduisent de plus en plus d’idéologie. L’Union Soviétique était un Etat dirigé par l’idéologie. L’idéologie d’aujourd’hui de l’Union Européenne est sociale-démocrate, étatiste, et en grande partie politiquement correcte. Je surveille très attentivement la manière dont le politiquement correct se répand et devient une idéologie oppressive, sans parler du fait qu’ils interdisent de fumer presque partout maintenant. Regardez la persécution de gens comme le pasteur suédois qui a été persécuté pendant plusieurs mois parce qu’il a dit que la Bible n’approuve pas l’homosexualité. La France a voté la même loi de crime d’injures [hate crime] concernant les gays. La Grande-Bretagne est en train de voter des lois de crime d’injures concernant les relations raciales et maintenant le discours religieux, et ainsi de suite. Ce que vous observez, mis en perspective, est une introduction systématique d’idéologie qui pourrait être renforcée plus tard par des mesures oppressives. Apparemment c’est tout le but de l’Europol. Autrement pourquoi en aurions-nous besoin ? L’Europol me paraît très suspect. Je surveille très attentivement qui est persécuté, pour quelle raison, et ce qui se passe, parce que c’est un domaine dans lequel je suis un expert. Je sais de quelle manière le Goulag apparaît.

C’est comme si nous vivions dans une période de démantèlement rapide, systématique et très cohérent de la démocratie. Regardez ce projet de réforme législatif et de réglementation. Il transforme les ministres en législateurs qui peuvent introduire de nouvelles lois sans en parler au Parlement ni à quiconque. Ma réaction immédiate est : pourquoi avons-nous besoin de ça ? La Grande-Bretagne a survécu à deux guerres mondiales, à la guerre contre Napoléon, à l’Armada espagnole, sans parler de la guerre froide durant laquelle on nous disait à tout moment que nous pouvions avoir une guerre mondiale nucléaire, sans aucun besoin d’introduire ce genre de législation, sans avoir besoin de suspendre nos libertés civiles et d’introduire des pouvoirs spéciaux. Pourquoi en avons-nous besoin maintenant ? Ceci peut transformer votre pays en dictature en un rien de temps.

La situation d’aujourd’hui est vraiment sinistre. Les principaux partis politiques se sont fait complètement avoir par le nouveau projet de l’UE. Aucun d’entre eux ne s’y oppose vraiment. Ils sont devenus très corrompus. Qui va défendre nos libertés ? C’est comme si nous allions vers une sorte d’effondrement, une sorte de crise. Le résultat le plus probable est qu’il y aura un effondrement économique en Europe, ce qui arrivera forcément avec cette croissance des dépenses et des taxes. L’incapacité à créer un environnement compétitif, la sur-réglementation de l’économie, la bureaucratisation, cela va conduire à un effondrement économique. L’introduction de l’euro était une idée particulièrement folle. La monnaie n’est pas supposée être politique.

Je n’ai aucun doute là-dessus. Il va y avoir un effondrement de l’Union Européenne tout comme l’Union Soviétique s’est effondrée. Mais n’oubliez pas que quand ces choses s’effondrent, elles laissent une telle dévastation qu’il faut une génération pour s’en remettre. Pensez seulement à ce qui se passera s’il arrive une crise économique. Les récriminations entre nations seront immenses. Ça pourrait mener à une explosion. Regardez l’immense nombre d’immigrants du tiers-monde vivant maintenant en Europe. Cela a été encouragé par l’Union Européenne. Que se passera-t-il avec eux s’il y a un effondrement économique ? Nous aurons probablement, comme en Union Soviétique à la fin, tellement d’affrontements ethniques que cela donne le vertige. Dans aucun autre pays il n’y a eu autant de tensions ethniques que dans l’Union Soviétique, sauf probablement en Yougoslavie. Donc c’est exactement ce qui arrivera ici aussi. Nous devons nous préparer à cela. Cet immense édifice de bureaucratie va s’effondrer sur nos têtes.

C’est pourquoi, et je suis très franc là-dessus, plus tôt nous en finirons avec l’UE, mieux cela vaudra. Plus tôt elle s’effondrera, moins il y aura de dégâts pour nous et pour les autres pays. Mais nous devons faire vite parce que les eurocrates agissent très rapidement. Il sera difficile de les vaincre. Aujourd’hui, c’est encore simple. Si un million de gens marchent sur Bruxelles aujourd’hui, ces types s’enfuiront jusqu’aux Bahamas. Si demain la moitié de la population britannique refuse de payer ses impôts, rien ne se passera et personne n’ira en prison. Aujourd’hui vous pouvez encore faire ça. Mais je ne sais pas quelle sera la situation demain avec un Europol en pleine puissance bourré d’anciens officiers de la Stasi [est-allemande] ou de la Securitate [roumaine]. Tout peut arriver.

Nous perdons du temps. Nous devons les vaincre. Nous devons nous asseoir et réfléchir, élaborer une stratégie le plus rapidement possible pour obtenir un effet maximum. Autrement il sera trop tard. Donc que dirais-je ? Ma conclusion n’est pas optimiste. Jusqu’ici, en dépit du fait que nous avons des forces anti-UE dans presque chaque pays, ce n’est pas assez. Nous perdons et nous gaspillons du temps.

Publié sur www.brusselsjournal.com/node/865

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L'UE veut condamner le racisme mais pas le communisme

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/01/lue_veut_condam.html

11.01.07

Le rapport de l’Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes (EUMC) rendu public le 28 novembre dernier (pdf) constatait les discriminations et les crimes racistes dont sont victimes les migrants et les minorités ethniques. L’Allemagne compte répondre à l’EUMC, qui prône «l’intensification des efforts contre le racisme», en mettant à profit sa présidence pour concrétiser le projet de législation commune. Une des mesures clés réside dans l’instauration d’une peine minimale pour tout auteur d’acte de violence raciste ou xénophobe.

Discuté depuis plusieurs années, le projet de doter la communauté d’une législation commune en matière de révisionnisme et de racisme dans le sens le plus global du terme avait toujours été repoussé, notamment par l’Italie de Silvio Berlusconi. Désormais dirigé par Prodi, le pays accepte de s’associer. Le débat sera ouvert très prochainement. Certains pays veulent élargir la définition de révisionnisme, pour l’instant limitée à la prohibition de la glorification de l’extrême droite et la négation de l’Holocauste, pour l’étendre à l’extrême gauche et ses dérives dictatoriales meurtrières, notamment dans l’ex bloc communiste. Le gouvernement d’Angela Merkel refuse cette association.

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Roman Herzog juge inquiétant le déficit démocratique dans l'UE

14 janvier 2007

Le Welt am Sonntag d'aujourd'hui a publié une tribune, longue et argumentée, co-signée par Roman Herzog, président de la RFA de 1995 à 1999 - un véritable pavé dans la mare européiste. Extrait (p3):

"Les structures institutionnelles de l'UE souffrent, à un degré inquiétant, d'un déficit de démocratie et, dans les faits, d'une abolition de la séparation des pouvoirs.

"La Constitution ne résout pas ces problèmes."

 M. Herzog ne renie pas l'intégration de l'UE - les solutions qu'il propose sont le renforcement du rôle du Parlement de l'UE et l'instauration d'un système bicaméral. Mais il a le mérite de mettre explicitement en cause le processus de centralisation rampante à l'oeuvre dans l'UE, en particulier par l'action conjuguée de la Commission et de la Cour de Justice.

M. Herzog affirme qu'en privé, les responsables politiques de RFA font part d'une inquiétude croissante devant ce processus, mais "presque aucun n'exprime ses inquiétudes et ses doutes en public."

Henri Védas (via EU Referendum)

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L'anti-racisme, cheval de Troie de l'idéologie progressiste

http://www.europaegentes.com/modules.php?name=News&file=article&sid=307

Depuis le début des années 80 et en fait, depuis l'émergence du mouvement SOS RACISME dont il est intéressant de rappeler la filiation élyséenne (SOS RACISME a pu être lancé grâce à l'aide de Monsieur Attali à l'époque où il était conseiller de Mitterrand), il convient d'observer un véritable matraquage intellectuel relatif au racisme, supposé ou véritable, de certaines composantes de notre société. Concerts, affiches, reportages, cours d'instruction civique, films, spots publicitaires : rien n'est épargné pour faire l'apologie d'un monde version UNITED COLORS OF BENETTON.

Entendons-nous bien: il ne s'agit pas ici en démasquant l'idéologie anti-raciste de prendre par contre-pied la défense d'une idéologie raciste. Mais, de même que les concepts de tolérance ou de liberté sont faussés par des idéologues, de même l'anti-racisme est un vecteur de démantèlement des spécificités nationales et culturelles. En outre, il constitue avec le racisme biologique et instinctif l'une des faces de la médaille en chocolat que l'on veut nous faire avaler. Il conviendra donc d'éviter le piège tendu et de décortiquer le mécanisme de l'idéologie anti-raciste qui, par ses excès risque fort d'obtenir ce qu'elle prétend annihiler.

Contradiction de l'anti-racisme

Pourtant, les partisans d'une société multiculturelle ou multiraciale ne reculent devant aucune contradiction. D'une part, l'on prétend qu'il n'y a pas de races. Les hommes ne seraient alors identifiables que par d'autres critères, mais il serait interdit de recourir à des moyens d'identification de ce type. Ainsi l'on va hurler contre les fichiers des RG relatifs aux groupes ethniques en invoquant les heures les plus sombres de notre histoire et même ôter de ses statuts toute référence à la notion de race comme le proposent certaines associations tiers-mondiste (ex:le GISTI). Ce faisant, on ne va pas hésiter à se faire les apôtres des peuples en lutte du tiers-monde affirmant leur identité culturelle et ethnique face à l'homme blanc, de Léopold Senghor et de son culte de la négritude, de la spécificité d'une culturelle africaine ou tamoule ou tibétaine menacées par l'homogénéisation de voisins gênants ou de superpuissances.

Une discrimination à l'envers

La Hollande, toujours en tête du progrès, de l'euthanasie en passant par les mariages homosexuels, n'a-t-elle pas instauré un mécanisme de discrimination "positive", plus connu aux Etats-Unis sous le nom de Positive Action.
En d'autres termes, on affirme haut et fort que la discrimination culturelle ou ethnique est la pire des absurdités, mais par ailleurs, on fait l'éloge d'une discrimination à l'envers.
Reconnaître la spécificité des cultures africaines ou tibétaines, c'est d'une certaine manière admettre l'existence de différences culturelles ou ethniques. Prôner des mesures de positive action comme c'est le cas aux Etats-Unis dans l'optique de permettre aux jeunes enfants noirs d'atteindre le même niveau universitaire ou social de jeunes blancs ou de jeunes asiatiques, c'est considérer qu’il existerait une inégalité entre cultures ou ethnies différentes. Ce raisonnement est contradictoire et dangereux : il risque d’attiser la haine interethnique et le ressentiment, qui sont des plaies pour la paix sociale. En d'autres termes, nos spécialistes de la morale se font l'écho non seulement d'un racisme de fait, mais d'un racisme consacré sur le plan juridique.

Comment expliquer cette contradiction ?

II est certain que des esprits sensibles, mais terriblement sincères, peuvent se laisser déstabiliser par ce genre de raisonnement.

Altérité et identité

Entre partisan de l’accueil de « l'autre » ou du «repli sur soi », le premier fait figure du gentil ouvert, le second d’une personne particulièrement rétrograde, égoïste et mesquine.

En réalité, le véritable débat qui est celui de la conciliation pacifique entre identité et altérité a été occulté au profit d'un débat passionné où l'on pose l'alternative de la façon suivante:

- soit l'hypothèse d'une société totalement xénophobe et basée sur un racisme biologique qui est vouée à dégénérer à terme, faute de renouvellement,
- soit celle, à priori plus généreuse, d'une France Terre d'asile, sans frontières aboutissant à terme à la dissolution de la nation française dans un melting-pot confus et anarchique où au nom de l'accueil de l'autre, on devrait adopter le profil bas afin de ne pas heurter les sensibilités.

Paradoxalement, cette attitude qui relève d'une espèce d'auto-phobie, qui se veut le contre-pied de la xénophobie, dessert ce que l'on prétend servir. On ne peut apporter à l'autre ce que l'on a déjà : si l'on a renié son identité, on n'a alors plus rien à apporter à l'autre. Elle est à mettre sur le même plan que l'hypothèse d'une société fermée qui évoluerait en vase clos où les cellules vieillissent et dégénèrent.

Par conséquent, il est indispensable, aussi bien pour soi que pour les autres, qu'il existe des liens d'échanges qui permettent à l'identité de chacun de croître sans pour autant porter préjudice à l'autre.

Du reste, la disparition de l'identité de l'autre entraîne la disparition de sa propre identité. Une identité n'existe que par rapport à autre chose. Si l'autre n'existe plus, notre spécificité non plus. En fait, identité et altérité ne sont pas contradictoires mais complémentaires. La dialectique marxiste issue de la dialectique hégélienne, a fait de ce qui pourrait être une source d'enrichissement, un facteur de division où ni l'identité ni l'altérité ne peuvent pleinement s'épanouir.

Une vision réductionniste de la Nation

Ensuite, le débat sur l'identité a été réduit à sa dimension raciale, occultant les données culturelles ou spirituelles. En réduisant à une attitude raciste, tout ce qui consiste à vouloir valoriser un patrimoine national ou culturel, on réduit le concept de nation à sa dimension purement raciale. C'est-à-dire que l'on racialise un débat qui à l'origine ne l'était pas et on aboutit à cette situation réductrice où l'identité française, par exemple ne serait qu'une affaire de couleur de peau.

En dévalorisant l'idée de nation, notamment par une acquisition de la nationalité totalement bradée, on dévalorise ceux qui, en dépit de leur couleur de peau ou de leur origine ont fait de véritables efforts pour servir et aimer la France, car on les met sur le même plan que les parasites ou les profiteurs.

Le critère pour juger qui est français ou qui ne l'est pas devient alors purement racial.

L'anti-racisme, piège à gogos tendu par les mondialistes

Ensuite, cette idéologie soi disant anti-raciste est en fait, au service d'une idéologie mondialiste et d'une volonté d'uniformisation des mœurs et des cultures. Cette volonté n'a rien de démocratique : elle est largement encouragée par des financiers et des capitalistes qui rêvent d'un monde où ils tireraient les ficelles et où les lois du marché suffiraient à tout réguler.

Henri Hude, dans «Ethique et politique »décrit ce mécanisme : « il suffit d'instituer un libre-échange intégral : ainsi les masses de main d’œuvre afflueront dans les pays de haut salaires ... les nations jadis riches deviendront des mosaïques inextricables de communautés hétérogènes, sans unité ou volonté propre. Il en résultera un renforcement de la culture du n'importe quoi. A terme, le métissage étant devenu intégral, l'univers sera unifié par l'homogénéisation raciale et par la domination culturelle du n'importe quoi. Ce but ne peut être atteint que par l'organisation d'une destruction culturelle nationale et intégrale. En fait, il s'agit d'une entreprise totalitaire comportant anéantissement culturel, déportation d'immenses masses humaines, déposition de tous les pouvoirs nationaux existants et exténuation de la démocratie en noyant les nations dans d'immenses ensembles technico-oligarchiques ».

Pour que la chose puisse se faire, il faut poursuit-il:
1. Que l'emprise des média sur l'esprit des gens devienne intégrale, ce qui suppose la fin de toute liberté de la presse,
2. Le pourrissement moral doit être universel, car la conservation des vraies forces morales dans une nation compromettrait le succès de l'entreprise,
3. L'entreprise doit résulter non d'une volonté humaine mais d'une loi de la nature: c'est l'idéologie économiste des pseudo-libéraux.

II n'y a pas un complot mais une logique. II convient donc de refuser cette logique folle. L'homogénéisation absolue ne tient pas compte d'une donnée essentielle selon Henri Hude. Les hommes, faute de pouvoir s'identifier dans une nation et une culture, s'identifieront alors par la négation d'autrui et par la simple apparence d'autrui, c'est-à-dire par sa couleur de peau. C'est ce qu'on appelle l'identité du pauvre.

Cette entreprise d'homogénéisation forcée est en outre une entreprise totalitaire et raciste : au totalitarisme monoracial répond celui du super métis, remplaçant de l'aryen.

Véritable amour de l'autre et idéologie

Aussi, il convient de distinguer un métissage qui serait le fruit d'un amour qui transcende les espaces et les différences. Cela a toujours existé dans l'antiquité chez les Romains, cela existera et ce n'est pas aux sociétés de se prononcer. Mais cela n'a rien à voir avec le métissage mis au service d'une idéologie qui tend à uniformiser les hommes et les cultures pour obtenir une espèce de zombie hermaphrodite dont Michael Jackson est l'archétype.

En outre, cette politique occulte le poids de certaines religions telles que l’islam, où la dimension culturelle et politique n'est pas absente. Le matérialisme occidental fera-t-il le poids, si tenté qu'il mérite d'être défendu, face à une religion obscurantiste, mais beaucoup plus sérieuse que les nouvelles pseudo-spiritualités, style New-âge?

En fait, cette politique qui est le fait des occidentaux eux-mêmes relève encore une fois d'un nihilisme: rejet du passé dont il faut faire table rase, doublé d'un sentiment de culpabilité au point de se renier. Ce n'est pas le meilleur moyen ni de se relever ni de servir l'autre qui légitimement tirera sur la ficelle.

Ainsi cette tension naturelle susceptible de se traduire par un échange réciproque et une cohabitation pacifique entre les peuples dans le respect de tous se traduira par une attitude dialectique hostile.

Que faire ? S'agit-il de camper sur une position sceptique ou au contraire essayer de surmonter cette contradiction. Et quel est le facteur qui peut nous permettre de surmonter cette contradiction sinon le facteur spirituel ?

Seul le facteur spirituel est un facteur d'unité et d'universalité dans la diversité et non dans la confusion. La confusion: c'est Babel : c'est l'orgueil des hommes qui veulent construire un monde sans Dieu. Cette vision est à l'image des mondialistes, qui veulent uniformiser le monde en partant d'une vision utopique de l'homme et qui nie le réel: aussi bien le réel spirituel, c’est-à-dire Dieu que le réel temporel : c’est-à-dire les réalités humaines et leurs diversités.

Le spirituel, c'est ce qui unit les hommes dans leurs dimensions supérieures: leur cœur, leur courage, leur volonté, leur esprit d'abnégation et de don de soi. C’est pourquoi la véritable noblesse n'a pas de frontière.

Mais elle ne nie pas pour autant les réalités temporelles de façon moralisatrice : en jetant l'opprobre sur les manifestations légitimes d'identité nationale, en les réduisant à une réaction raciste ce qu'elle ne sont pas à l'origine, on « racialise » le débat en plaçant des gens désespérés - en l'occurrence des petites blancs de banlieue abandonnés par les autorités et les technocrates qui manifestent à leur égard un mépris profond - dans une alternative terrifiante qui est celle de la guerre civile:

-soit la fusion et la disparition dans un cadre absolument inhumain (banlieues hideuses)
-soit affirmation d'une identité du pauvre: c'est-à-dire l'identité par la négation qui occulte la véritable richesse que l'autre peut nous apporter à condition que cela se fasse dans la mesure.

En d'autres termes, cela risque de transformer nos cités en de gigantesques arènes ou des petits blancs abandonnés en viendraient à se battre tels des gladiateurs avec de pauvres bougres venus d'Afrique ou de l'Orient, parce que des démagogues leur ont fait miroiter un nouvel eldorado.

La réponse à tout cela est à la fois la conciliation intelligente du réalisme humain et de l'universalité spirituelle. Les hommes, les races, sont différents en fait mais doivent être égaux en droit et le sont en tout état de cause sur le plan spirituel. Il faut défendre un modèle de société réaliste et sans haine ni frilosité, n'hésitant pas à constater les différences anthropologiques, ni les comparaisons, pour en dénoter la complémentarité.

D'autre part, il faut faire valoir que nous sommes tous créatures de Dieu, donc frères, donc responsables les uns les autres et qu'il existe quelque chose de plus profond qui dépasse ces différences sans pour autant les tuer.

Le touareg de Saint-Exupéry, le vieux paysan vietnamien au fond de sa rizière qui travaille pour nourrir sa famille, le petit gamin des bidonvilles de Calcutta qui porte sur son dos son petit frère orphelin et le protège becs et ongles contre le trafiquant d'organes, ont une noblesse et une grandeur d'âme qui dépassent hélas de beaucoup celles de certains de nos compatriotes.

Faire du touareg un vigile dans un supermarché de banlieue, dans lequel le paysan vietnamien converti en vendeur de Nêms se fait chaparder son étalage par le petit orphelin de Calcutta coiffé d'une casquette de rappeur, est-ce bien une solution pour créer une unité entre les peuples ? La tradition de notre pays ainsi que celle de l’Europe, de par leur universalité ont su assimiler, à certaines conditions et dans des justes proportions, ce qui était étranger. C'est pourquoi le combat pour la nation et l’Europe, est indissociable d'un combat spirituel, car une nation conçue de façon saine, et non idolâtrique est le meilleur garant de la distinction entre spirituel et temporel.

Dans ce dur combat de la vie, nous sommes tous de fait solidaires. Le mondialisme niveleur en nous proposant un consommateur déshumanisé nous prive de la richesse de l'humanité.

II convient donc à la fois de jeter un regard réaliste sans pour autant perdre sa vision spirituelle et humaine.

Il faut donc rappeler que l’universalité ne nie pas les différences mais les respecte tout en les transcendant, à la différence du mondialisme, niveleur et source de confusion donc de conflit…

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http://www.bafweb.com/2007/01/29/italie-lhomosexualite-devient-une-race/

 

Italie :  l’homosexualité devient une race

http://www.bafweb.com/2007/01/29/italie-lhomosexualite-devient-une-race/

29 01 2007

La loi contre le racisme a été étendue aux discriminations contre les gays et les lesbiennes 

Le Conseil des ministres a approuvé à l’unanimité, jeudi 25 janvier, un projet de loi qui étend, et ce d’une façon plus stricte, les normes à l’égard de ceux qui «diffusent la supériorité raciale et qui commettent ou incitent à commettre des actes discriminatoires».

En effet, la disposition prévoit «une peine jusqu’à trois ans [de prison] envers tous ceux qui diffusent des idées racistes et une punition pouvant aller jusqu’à quatre ans au regard de ceux qui se rendent coupables d’actions de discrimination à cause de préjugés raciaux, ethniques, nationaux, religieux ou concernant l’orientation sexuelle et l’identité de genre».

et voila du bon usage des lois anti-racistes ..

ENFIN ! Qui cherche des sites pédophiles trouvera la police

http://www.bafweb.com/2007/01/29/enfin-qui-cherche-des-sites-pedophiles-trouvera-la-police/

Matin Bleu: Les four­nisseurs d’accès à In­ternet suisses vont blo­quer 1200 sites au con­tenu pédophile. Cette mesure vise des diffu­seurs de pornographie enfantine basés à l’étranger, pour lesquels les moyens de poursuite pénale et d’entraide in­ternationale font défaut.

Les adresses des sites sont introduites dans un filtre. Si l’une d’elles est sollicitée, l’inter­naute est dirigé là où il s’attend le moins: l’Of­fice fédéral de la police. De plus, un avertisse­ment apparaîtra sur l’écran de l’utilisateur. La liste des sites reste secrète.

Ce procédé est déjà uti­lisé dans d’autres pays. En Suède par exemple, le nombre de tentatives d’accès à des sites pédo­philes est passé, en quel­ques mois, de 8000 à 300 par jour.

Christian Vanneste condamné : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/01/christian_vanne_1.html

 

page ouverte en jan 07  

 

 

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