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de
l'Europe totalitaire .....et racisme et xénophobie |
Dossiers
:
Mondialisme
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Présentation :...Vladimir Bukovsky,
l’ancien dissident soviétique âgé de 63 ans, craint que l’Union
Européenne ne soit en train de devenir une autre Union Soviétique. Dans
un discours prononcé à Bruxelles en février 2006, Mr. Bukovsky a
qualifié l’UE de « monstre » qui doit être détruit le plus tôt possible,
avant qu’il ne se transforme en un Etat totalitaire en pleine puissance.
Extraits :
Un ancien dissident soviétique
met en garde contre une dictature de l’Union Européenne Le but
ultime de l’Union Soviétique était de créer une nouvelle entité
historique, le peuple soviétique, sur tout le globe. La même chose est
vraie dans l’UE aujourd’hui. Ils tentent de créer un nouveau peuple. Ils
appellent ce peuple les « Européens », quoi que cela signifie.
Soviétiques avaient besoin d’un changement de
relations avec l’Europe parce qu’ils entraient dans une crise
structurelle prolongée et très profonde ; à l’Ouest, les partis de
gauche craignaient d’être balayés et de perdre leur influence et leur
prestige. Donc c’était une conspiration, faite par eux, négociée et
élaborée tout à fait ouvertement.
Ils devront nous contrôler pour 32 sortes de crimes –
dont deux sont particulièrement effrayants, l’un est appelé racisme,
l’autre xénophobie. Aucune cour criminelle sur terre ne définit
une telle chose comme un crime [ce n’est pas entièrement vrai,
puisque la Belgique le fait déjà – PB]. Donc c’est un nouveau crime,
et nous avons déjà été avertis. Un membre du gouvernement britannique
nous a dit que ceux qui s’opposent à l’immigration incontrôlée du
tiers-monde seront considérés comme racistes et que ceux qui s’opposent
à la poursuite de l’intégration européenne seront considérés comme
xénophobes.
L'UE veut
condamner le racisme mais pas le communisme ...
Une des mesures clés réside dans l’instauration d’une
peine minimale pour tout auteur d’acte de violence raciste ou xénophobe.
L'anti-racisme, cheval de Troie de l'idéologie progressiste
la disparition de
l'identité de l'autre entraîne la disparition de sa propre identitè ...
il suffit d'instituer un libre-échange intégral : ainsi les masses de
main d’œuvre afflueront dans les pays de haut salaires ... les nations
jadis riches deviendront des mosaïques inextricables de communautés
hétérogènes, sans unité ou volonté propre. Il en résultera un
renforcement de la culture du n'importe quoi. A terme, le métissage
étant devenu intégral, l'univers sera unifié par l'homogénéisation
raciale et par la domination culturelle du n'importe quoi. Ce but ne
peut être atteint que par l'organisation d'une destruction culturelle
nationale et intégrale. En fait, il s'agit d'une entreprise totalitaire
comportant anéantissement culturel, déportation d'immenses masses
humaines, déposition de tous les pouvoirs nationaux existants et
exténuation de la démocratie en noyant les nations dans d'immenses
ensembles technico-oligarchiques ».
L’homosexualité devient une race: une
punition pouvant aller jusqu’à quatre ans au regard de ceux qui se
rendent coupables d’actions de discrimination à cause de préjugés
raciaux, ethniques, nationaux, religieux ou concernant l’orientation
sexuelle et l’identité de genre».
et voila d'un bon usage possible des lois
anti-racistes .. Qui
cherche des sites pédophiles trouvera la police ....
en
z
relations
.... homenTRANCHE .... la HALDE ....
discrimination ... préférence nationale ... homophobie ...liberté de
conscience ... IVG .... éducation NATIONALE ... anti-nation
...anti- identité ...christianophobie ... l'homme nomade ... sans
racines
des
tentations des "mono..ismes" verticaux
Endoctrinement des enfants : opération cartes postales
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n
Un ancien dissident soviétique
met en garde contre une dictature de l’Union Européenne
Auteur:
AMI France
Source: http://fr.altermedia.info/general/un-ancien-dissident-sovietique-met-en-garde-contre-une-dictature-de-lunion-europeenne_10064.html
Date :
8/1/2007
Mr. Bukovsky a rendu visite au
Parlement Européen il y a quelques mois sur l’invitation du FIDESZ,
le Forum civique hongrois. Le FIDESZ, membre du groupe
chrétien-démocrate européen, avait invité l’ancien dissident
soviétique, vivant en Angleterre, à l’occasion du 50e anniversaire
de la révolte hongroise de 1956. Après sa rencontre du matin avec
les Hongrois, Mr. Bukovsky a fait un discours l’après-midi dans un
restaurant polonais de la Trier Straat, en face du Parlement
Européen, où il a parlé sur l’invitation du Parti de l’Indépendance
du Royaume-Uni (UKIP), dont il est le parrain.
Une interview avec
Vladimir Bukovsky sur l’imminente UERSS
Dans son discours, Mr. Bukovsky
fit référence à des documents confidentiels venant des dossiers
soviétiques qu’il fut autorisé à lire en 1992. Ces documents
confirment l’existence d’une « conspiration » pour transformer
l’Union Européenne en une organisation socialiste. J’ai assisté à la
rencontre et tapé le discours. Une transcription, ainsi que le
fragment audio (environ 15 minutes), peut être trouvé plus bas. J’ai
eu aussi une brève interview avec Mr. Bukovsky (4 minutes), dont une
transcription et un fragment audio peuvent aussi être trouvés
ci-dessous. L’interview sur l’Union Européenne a dû être abrégée
parce que Mr. Bukovsky avait d’autres engagements, mais elle m’a
rappelé quelques souvenirs, quand j’avais interviewé Vladimir
Bukovsky vingt ans auparavant, en 1986, alors que l’Union
Soviétique, le premier monstre qu’il avait si vaillamment combattu,
était encore vivant et florissant.
Mr. Bukovsky fut l’un des héros du
XXe siècle. Encore jeune homme, il dénonça l’utilisation de
l’emprisonnement psychiatrique contre les prisonniers politiques
dans l’ancienne URSS (Union des Républiques Socialistes Soviétiques,
1917-1991) et passa au total douze ans (1964-1976), depuis l’âge de
22 ans jusqu’à 34 ans, dans les prisons, les camps de travail et les
institutions psychiatriques soviétiques. En 1976, les Soviétiques
l’expulsèrent en Occident. En 1992, il fut invité par le
gouvernement russe pour servir d’expert témoignant au procès conduit
pour déterminer si le Parti Communiste Soviétique avait été une
institution criminelle. Pour préparer son témoignage, Mr. Bukovsky
obtint l’accès à un grand nombre de documents des archives secrètes
soviétiques. Il est l’une des rares personnes à avoir vu ces
documents, puisqu’ils sont encore classifiés. En utilisant un petit
scanner portable et un ordinateur portable, cependant, il réussit à
copier beaucoup de documents (certains avec une mention de haute
sécurité), y compris des rapports du KGB au gouvernement soviétique.
Une interview avec Vladimir
Bukovsky
Paul Belien : Vous avez été un
célèbre dissident soviétique, et maintenant vous tracez un parallèle
entre l’Union Européenne et l’Union Soviétique. Pouvez-vous
expliquer cela ?
Vladimir Bukovsky : Je fais
référence aux structures, à certaines idéologies qui sont
inculquées, aux plans, à la direction, à l’inévitable expansion, à
l’effacement des nations, ce qui était le but de l’Union Soviétique.
La plupart des gens ne comprennent pas cela. Ils ne le savent pas,
mais nous le savons parce que nous avons été élevés en Union
Soviétique où nous devions étudier l’idéologie soviétique à l’école
et à l’université. Le but ultime de l’Union Soviétique était de
créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique, sur tout
le globe. La même chose est vraie dans l’UE aujourd’hui. Ils tentent
de créer un nouveau peuple. Ils appellent ce peuple les « Européens
», quoi que cela signifie.
D’après la doctrine communiste
ainsi que de nombreuses formes de pensée socialiste, l’Etat, l’Etat
national, est supposé disparaître. En Russie, cependant, c’est le
contraire qui arriva. Au lieu de disparaître, l’Etat soviétique
devint un Etat très puissant, mais les nationalités furent effacées.
Mais quand vint le temps de l’effondrement soviétique, ces
sentiments réprimés d’identité nationale revinrent en force et ils
détruisirent presque le pays. C’était si effrayant.
PB : Pensez-vous que la même chose
puisse arriver quand l’Union Européenne s’effondrera ?
VB : Absolument, vous pouvez
presser un ressort seulement jusqu’à un certain point, et la psyché
humaine est très résistante, vous savez. Vous pouvez la presser,
vous pouvez la presser, mais n’oubliez pas qu’elle accumule toujours
de la force pour rebondir. Elle est comme un ressort et elle revient
toujours en force.
PB : Mais tous ces pays qui ont
rejoint l’UE l’ont fait volontairement.
VB : Non, ils ne l’ont pas fait.
Regardez le Danemark qui a voté contre le traité de Maastricht deux
fois. Regardez l’Irlande [qui a voté contre le traité de Nice].
Regardez beaucoup d’autres pays, ils sont sous une énorme pression.
C’est presque du chantage. La Suisse a été forcée de voter cinq fois
dans un référendum. Les cinq fois ils l’ont rejeté, mais qui sait ce
qui arrivera la sixième fois, la septième fois. C’est toujours la
même chose. C’est un truc pour les idiots. Les gens doivent voter
dans des référendums jusqu’à ce que les gens votent de la manière
souhaitée. Ensuite ils doivent s’arrêter de voter. Pourquoi
s’arrêter ? Continuons à voter. L’UE est ce que les Américains
appelleraient un mariage forcé.
PB : Que pensez-vous que les
jeunes devraient faire concernant l’UE ? Sur quoi doivent-ils
insister, démocratiser l’institution ou simplement l’abolir ?
VB : Je pense que l’UE, comme
l’Union Soviétique, ne peut pas être démocratisée. Gorbatchev a
tenté de la démocratiser et elle a éclaté. Ce genre de structure ne
peut jamais être démocratisé.
PB : Mais nous avons un Parlement
Européen qui est choisi par le peuple.
VB : Le Parlement Européen est élu
sur la base de la représentation proportionnelle, ce qui n’est pas
une vraie représentation. Et sur quoi vote-t-on ? Le pourcentage de
graisse dans les yoghourts, ce genre de chose. C’est ridicule. On
lui donne la tâche du Soviet Suprême. Le parlementaire moyen peut
parler six minutes par an à la Chambre. Ce n’est pas un vrai
parlement.
Transcription du discours de Mr.
Bukovsky à Bruxelles
En 1992, j’ai eu un accès sans
précédent aux documents secrets du Politburo et du Comité Central
qui avaient été classifiés, et qui le sont encore maintenant, pour
30 ans. Ces documents montrent très clairement que toute l’idée de
transformer le marché commun européen en Etat fédéral fut acceptée
par les partis de gauche européens et par Moscou comme un projet
conjoint que Gorbatchev appela en 1988-89 notre « maison commune
européenne ».
L’idée était très simple. Elle
apparut pour la première fois en 1985-86, quand les communistes
italiens rendirent visite à Gorbatchev, suivis par les
sociaux-démocrates allemands. Ils se plaignaient tous que les
changements dans le monde, particulièrement après que Mme Thatcher
ait introduit la privatisation et la libéralisation économique,
menaçaient de balayer toutes les réalisations (comme ils les
appelaient) de générations de socialistes et de sociaux-démocrates –
menaçant de les inverser complètement. Par conséquent la seule
manière de résister à cette agression du capitalisme sauvage (comme
ils l’appelaient) était de tenter d’introduire les mêmes buts
socialistes dans tous les pays immédiatement. Avant cela, les partis
de gauche et l’Union Soviétique s’étaient opposés à l’intégration
européenne surtout parce qu’ils la percevaient comme un moyen de
bloquer leurs buts socialistes. A partir de 1985, ils changèrent
complètement de vision. Les Soviétiques parvinrent à la conclusion
et à un accord avec les partis de gauche, que s’ils travaillaient
ensemble ils pouvaient détourner tout le projet européen et
l’inverser complètement. Au lieu d’un marché ouvert, ils le
transformeraient en un Etat fédéral.
D’après les documents
[soviétiques], 1985-86 est le moment-clé. J’ai publié la plupart de
ces documents. Vous pouvez même les trouver sur internet. Mais les
conversations qu’ils ont eues sont vraiment révélatrices. Pour la
première fois vous comprenez qu’il y a eu une conspiration – très
compréhensible pour eux, puisqu’ils tentaient de sauver leurs peaux
politiques. A l’Est, les Soviétiques avaient besoin d’un changement
de relations avec l’Europe parce qu’ils entraient dans une crise
structurelle prolongée et très profonde ; à l’Ouest, les partis de
gauche craignaient d’être balayés et de perdre leur influence et
leur prestige. Donc c’était une conspiration, faite par eux,
négociée et élaborée tout à fait ouvertement.
En janvier 1989, par exemple, une
délégation de la Commission Trilatérale vint voir Gorbatchev. Elle
comprenait Nakasone, Giscard d’Estaing, [David] Rockefeller et
Kissinger. Ils eurent une très jolie conversation où ils tentèrent
d’expliquer à Gorbatchev que la Russie Soviétique devait s’intégrer
dans les institutions financières du monde, comme le Gatt, le FMI et
la Banque Mondiale.
Au milieu de la conversation,
Giscard d’Estaing entre soudain en piste et dit : « Mr. le
Président, je ne peux pas vous dire exactement quand cela arrivera –
probablement dans 15 ans – mais l’Europe va devenir un Etat fédéral
et vous devez vous y préparer. Vous devez élaborer avec nous, et
avec les dirigeants européens, la manière dont vous réagiriez à
cela, comment vous permettriez aux autres pays d’Europe de l’Est
d’interagir avec lui ou comment en faire partie, vous devez être
prêt ».
C’était en janvier 1989, à un
moment où le traité de Maastricht [1992] n’avait même pas été
esquissé. Comment diable Giscard d’Estaing savait-il ce qui allait
se passer dans 15 ans ? Et surprise, surprise, comment devint-il
l’auteur de la constitution européenne [en 2002-03] ? Très bonne
question. Ça sent la conspiration, n’est-ce pas ?
Heureusement pour nous, la partie
soviétique de cette conspiration s’effondra avant et elle
n’atteignit pas le point où Moscou aurait pu influencer le cours des
événements. Mais l’idée originelle était d’avoir ce qu’ils
appelaient une convergence, par laquelle l’Union Soviétique
s’adoucirait quelque peu et deviendrait plus sociale-démocrate,
pendant que l’Europe occidentale deviendrait sociale-démocrate et
socialiste. Ensuite il y aurait eu une convergence. Les structures
devaient s’adapter l’une à l’autre. C’est pourquoi les structures de
l’Union Européenne furent initialement bâties dans le but de
s’adapter à la structure soviétique. C’est pourquoi elles sont aussi
similaires dans leur fonctionnement et dans leur structure.
Ce n’est pas un hasard si le
Parlement Européen, par exemple, me rappelle le Soviet Suprême. Il
ressemble au Soviet Suprême parce qu’il a été conçu comme lui. De
même, quand vous regardez la Commission Européenne, elle ressemble
au Politburo. Je veux dire qu’elle lui ressemble exactement, sauf
pour le fait que la Commission a maintenant 25 membres et que le
Politburo avait habituellement 13 ou 15 membres. A part ça, ils sont
exactement les mêmes, ne rendant de compte à personne, sans être
directement élus par personne. Quand vous regardez toute cette
activité bizarre de l’UE avec ses 80.000 pages de règlements, ça
ressemble au Gosplan. Nous avions une organisation qui planifiait
tout dans l’économie, dans les moindres détails, cinq ans à
l’avance. C’est exactement la même chose qui se passe dans l’UE.
Quand vous regardez le type de corruption de l’UE, c’est exactement
le type soviétique de corruption, allant de haut en bas, plutôt que
de bas en haut.
Si vous parcourez toutes les
structures et tous les traits de ce monstre européen émergeant, vous
remarquerez qu’il ressemble de plus en plus à l’Union Soviétique.
Bien sûr, c’est une version plus douce de l’Union Soviétique. S’il
vous plaît, ne vous méprenez pas. Je ne dis pas qu’il a un Goulag.
Il n’a pas de KGB – pas encore – mais je surveille très
attentivement des structures comme l’Europol par exemple. Cela
m’effraye réellement parce que cette organisation aura probablement
des pouvoirs plus grands que ceux du KGB. Ils auront l’immunité
diplomatique. Pouvez-vous imaginer un KGB avec l’immunité
diplomatique ? Ils devront nous contrôler pour 32 sortes de crimes –
dont deux sont particulièrement effrayants, l’un est appelé racisme,
l’autre xénophobie. Aucune cour criminelle sur terre ne définit une
telle chose comme un crime [ce n’est pas entièrement vrai, puisque
la Belgique le fait déjà – PB]. Donc c’est un nouveau crime, et nous
avons déjà été avertis. Un membre du gouvernement britannique nous a
dit que ceux qui s’opposent à l’immigration incontrôlée du
tiers-monde seront considérés comme racistes et que ceux qui
s’opposent à la poursuite de l’intégration européenne seront
considérés comme xénophobes. Je crois que Patricia Hewitt a dit cela
publiquement.
Donc, nous avons maintenant été
avertis. Pendant ce temps, ils introduisent de plus en plus
d’idéologie. L’Union Soviétique était un Etat dirigé par
l’idéologie. L’idéologie d’aujourd’hui de l’Union Européenne est
sociale-démocrate, étatiste, et en grande partie politiquement
correcte. Je surveille très attentivement la manière dont le
politiquement correct se répand et devient une idéologie oppressive,
sans parler du fait qu’ils interdisent de fumer presque partout
maintenant. Regardez la persécution de gens comme le pasteur suédois
qui a été persécuté pendant plusieurs mois parce qu’il a dit que la
Bible n’approuve pas l’homosexualité. La France a voté la même loi
de crime d’injures [hate crime] concernant les gays. La
Grande-Bretagne est en train de voter des lois de crime d’injures
concernant les relations raciales et maintenant le discours
religieux, et ainsi de suite. Ce que vous observez, mis en
perspective, est une introduction systématique d’idéologie qui
pourrait être renforcée plus tard par des mesures oppressives.
Apparemment c’est tout le but de l’Europol. Autrement pourquoi en
aurions-nous besoin ? L’Europol me paraît très suspect. Je surveille
très attentivement qui est persécuté, pour quelle raison, et ce qui
se passe, parce que c’est un domaine dans lequel je suis un expert.
Je sais de quelle manière le Goulag apparaît.
C’est comme si nous vivions dans
une période de démantèlement rapide, systématique et très cohérent
de la démocratie. Regardez ce projet de réforme législatif et de
réglementation. Il transforme les ministres en législateurs qui
peuvent introduire de nouvelles lois sans en parler au Parlement ni
à quiconque. Ma réaction immédiate est : pourquoi avons-nous besoin
de ça ? La Grande-Bretagne a survécu à deux guerres mondiales, à la
guerre contre Napoléon, à l’Armada espagnole, sans parler de la
guerre froide durant laquelle on nous disait à tout moment que nous
pouvions avoir une guerre mondiale nucléaire, sans aucun besoin
d’introduire ce genre de législation, sans avoir besoin de suspendre
nos libertés civiles et d’introduire des pouvoirs spéciaux. Pourquoi
en avons-nous besoin maintenant ? Ceci peut transformer votre pays
en dictature en un rien de temps.
La situation d’aujourd’hui est
vraiment sinistre. Les principaux partis politiques se sont fait
complètement avoir par le nouveau projet de l’UE. Aucun d’entre eux
ne s’y oppose vraiment. Ils sont devenus très corrompus. Qui va
défendre nos libertés ? C’est comme si nous allions vers une sorte
d’effondrement, une sorte de crise. Le résultat le plus probable est
qu’il y aura un effondrement économique en Europe, ce qui arrivera
forcément avec cette croissance des dépenses et des taxes.
L’incapacité à créer un environnement compétitif, la
sur-réglementation de l’économie, la bureaucratisation, cela va
conduire à un effondrement économique. L’introduction de l’euro
était une idée particulièrement folle. La monnaie n’est pas supposée
être politique.
Je n’ai aucun doute là-dessus. Il
va y avoir un effondrement de l’Union Européenne tout comme l’Union
Soviétique s’est effondrée. Mais n’oubliez pas que quand ces choses
s’effondrent, elles laissent une telle dévastation qu’il faut une
génération pour s’en remettre. Pensez seulement à ce qui se passera
s’il arrive une crise économique. Les récriminations entre nations
seront immenses. Ça pourrait mener à une explosion. Regardez
l’immense nombre d’immigrants du tiers-monde vivant maintenant en
Europe. Cela a été encouragé par l’Union Européenne. Que se
passera-t-il avec eux s’il y a un effondrement économique ? Nous
aurons probablement, comme en Union Soviétique à la fin, tellement
d’affrontements ethniques que cela donne le vertige. Dans aucun
autre pays il n’y a eu autant de tensions ethniques que dans l’Union
Soviétique, sauf probablement en Yougoslavie. Donc c’est exactement
ce qui arrivera ici aussi. Nous devons nous préparer à cela. Cet
immense édifice de bureaucratie va s’effondrer sur nos têtes.
C’est pourquoi, et je suis très
franc là-dessus, plus tôt nous en finirons avec l’UE, mieux cela
vaudra. Plus tôt elle s’effondrera, moins il y aura de dégâts pour
nous et pour les autres pays. Mais nous devons faire vite parce que
les eurocrates agissent très rapidement. Il sera difficile de les
vaincre. Aujourd’hui, c’est encore simple. Si un million de gens
marchent sur Bruxelles aujourd’hui, ces types s’enfuiront jusqu’aux
Bahamas. Si demain la moitié de la population britannique refuse de
payer ses impôts, rien ne se passera et personne n’ira en prison.
Aujourd’hui vous pouvez encore faire ça. Mais je ne sais pas quelle
sera la situation demain avec un Europol en pleine puissance bourré
d’anciens officiers de la Stasi [est-allemande] ou de la Securitate
[roumaine]. Tout peut arriver.
Nous perdons du temps. Nous devons
les vaincre. Nous devons nous asseoir et réfléchir, élaborer une
stratégie le plus rapidement possible pour obtenir un effet maximum.
Autrement il sera trop tard. Donc que dirais-je ? Ma conclusion
n’est pas optimiste. Jusqu’ici, en dépit du fait que nous avons des
forces anti-UE dans presque chaque pays, ce n’est pas assez. Nous
perdons et nous gaspillons du temps.
Publié sur
www.brusselsjournal.com/node/865
haut de page

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/01/lue_veut_condam.html
11.01.07
Le
rapport de l’Observatoire européen des phénomènes racistes et
xénophobes (EUMC)
rendu public le 28 novembre dernier (pdf)
constatait les discriminations et les crimes racistes
dont sont victimes les migrants et les minorités ethniques.
L’Allemagne compte répondre à l’EUMC, qui prône «l’intensification
des efforts contre le racisme», en mettant à profit sa
présidence pour concrétiser le projet de législation commune. Une
des mesures clés réside dans l’instauration d’une peine
minimale pour tout auteur d’acte de violence raciste ou xénophobe.
Discuté depuis plusieurs années,
le projet de doter la communauté d’une législation commune en
matière de révisionnisme et de racisme dans le sens le plus
global du terme avait toujours été repoussé, notamment par l’Italie
de Silvio Berlusconi. Désormais dirigé par Prodi, le pays accepte de
s’associer. Le débat sera ouvert très prochainement.
Certains pays veulent élargir la définition de révisionnisme,
pour l’instant limitée à la prohibition de la glorification de
l’extrême droite et la négation de l’Holocauste, pour
l’étendre à l’extrême gauche et ses dérives dictatoriales
meurtrières, notamment dans l’ex bloc communiste. Le
gouvernement d’Angela Merkel refuse cette association.
haut de page

Roman Herzog juge inquiétant le déficit démocratique dans l'UE
14 janvier 2007
Le
Welt am
Sonntag d'aujourd'hui a publié une tribune, longue et
argumentée, co-signée par Roman Herzog, président de la RFA
de 1995 à 1999 - un véritable pavé dans la mare européiste.
Extrait (p3):
"Les structures
institutionnelles de l'UE souffrent, à un degré inquiétant, d'un
déficit de démocratie et, dans les faits, d'une
abolition de la séparation des pouvoirs.
"La Constitution ne
résout pas ces problèmes."
M. Herzog ne renie
pas l'intégration de l'UE - les solutions qu'il propose sont le
renforcement du rôle du Parlement de l'UE et l'instauration d'un
système bicaméral. Mais il a le mérite de mettre
explicitement en cause le processus de centralisation rampante à
l'oeuvre dans l'UE, en particulier par l'action conjuguée
de la Commission et de la Cour de Justice.
M. Herzog affirme qu'en
privé, les responsables politiques de RFA font part d'une inquiétude
croissante devant ce processus, mais "presque aucun
n'exprime ses inquiétudes et ses doutes en public."
Henri
Védas (via
EU Referendum)
haut de page

L'anti-racisme, cheval de Troie de l'idéologie progressiste
http://www.europaegentes.com/modules.php?name=News&file=article&sid=307
Depuis
le début des années 80 et en fait, depuis l'émergence du
mouvement SOS RACISME dont il est intéressant de
rappeler la filiation élyséenne (SOS RACISME a pu être
lancé grâce à l'aide de Monsieur Attali à
l'époque où il était conseiller de Mitterrand), il
convient d'observer un véritable matraquage intellectuel
relatif au racisme, supposé ou véritable, de
certaines composantes de notre société. Concerts,
affiches, reportages, cours d'instruction civique,
films, spots publicitaires : rien n'est épargné pour
faire l'apologie d'un monde version UNITED COLORS OF
BENETTON.
Entendons-nous bien: il ne s'agit pas ici en démasquant
l'idéologie anti-raciste de prendre par contre-pied la
défense d'une idéologie raciste. Mais, de même que les
concepts de tolérance ou de liberté sont faussés par des
idéologues, de même l'anti-racisme est un vecteur de
démantèlement des spécificités nationales et
culturelles. En outre, il constitue avec le racisme
biologique et instinctif l'une des faces de la médaille
en chocolat que l'on veut nous faire avaler. Il
conviendra donc d'éviter le piège tendu et de
décortiquer le mécanisme de l'idéologie anti-raciste
qui, par ses excès risque fort d'obtenir ce qu'elle
prétend annihiler.
Contradiction de l'anti-racisme
Pourtant, les partisans d'une société multiculturelle
ou multiraciale ne reculent devant aucune
contradiction. D'une part, l'on prétend qu'il n'y a pas
de races. Les hommes ne seraient alors identifiables que
par d'autres critères, mais il serait interdit de
recourir à des moyens d'identification de ce type. Ainsi
l'on va hurler contre les fichiers des RG relatifs aux
groupes ethniques en invoquant les heures les plus
sombres de notre histoire et même ôter de ses statuts
toute référence à la notion de race comme le proposent
certaines associations tiers-mondiste (ex:le GISTI). Ce
faisant, on ne va pas hésiter à se faire les apôtres des
peuples en lutte du tiers-monde affirmant leur
identité culturelle et ethnique face à l'homme blanc,
de Léopold Senghor et de son culte de la
négritude, de la spécificité d'une culturelle africaine
ou tamoule ou tibétaine menacées par l'homogénéisation
de voisins gênants ou de superpuissances.
Une discrimination à l'envers
La Hollande, toujours en tête du progrès, de
l'euthanasie en passant par les mariages homosexuels,
n'a-t-elle pas instauré un mécanisme de discrimination
"positive", plus connu aux Etats-Unis sous le nom de
Positive Action.
En d'autres termes, on affirme haut et fort que la
discrimination culturelle ou ethnique est la pire des
absurdités, mais par ailleurs, on fait l'éloge d'une
discrimination à l'envers.
Reconnaître la spécificité des cultures africaines ou
tibétaines, c'est d'une certaine manière admettre
l'existence de différences culturelles ou ethniques.
Prôner des mesures de positive action comme c'est le cas
aux Etats-Unis dans l'optique de permettre aux jeunes
enfants noirs d'atteindre le même niveau universitaire
ou social de jeunes blancs ou de jeunes asiatiques,
c'est considérer qu’il existerait une inégalité entre
cultures ou ethnies différentes. Ce raisonnement est
contradictoire et dangereux : il risque d’attiser la
haine interethnique et le ressentiment, qui sont des
plaies pour la paix sociale. En d'autres termes, nos
spécialistes de la morale se font l'écho non seulement
d'un racisme de fait, mais d'un racisme consacré sur le
plan juridique.
Comment expliquer cette
contradiction ?
II est certain que des esprits sensibles, mais
terriblement sincères, peuvent se laisser déstabiliser
par ce genre de raisonnement.
Altérité et identité
Entre partisan de l’accueil de « l'autre » ou du «repli
sur soi », le premier fait figure du gentil ouvert, le
second d’une personne particulièrement rétrograde,
égoïste et mesquine.
En réalité, le véritable débat qui est celui de la
conciliation pacifique entre identité et altérité a été
occulté au profit d'un débat passionné où l'on pose
l'alternative de la façon suivante:
- soit l'hypothèse d'une société totalement xénophobe et
basée sur un racisme biologique qui est vouée à
dégénérer à terme, faute de renouvellement,
- soit celle, à priori plus généreuse, d'une France
Terre d'asile, sans frontières aboutissant à terme à la
dissolution de la nation française dans un
melting-pot confus et anarchique où au nom de
l'accueil de l'autre, on devrait adopter le profil bas
afin de ne pas heurter les sensibilités.
Paradoxalement, cette attitude qui relève d'une
espèce d'auto-phobie, qui se veut le contre-pied de la
xénophobie, dessert ce que l'on prétend servir. On
ne peut apporter à l'autre ce que l'on a déjà : si
l'on a renié son identité, on n'a alors plus rien à
apporter à l'autre. Elle est à mettre sur le même
plan que l'hypothèse d'une société fermée qui évoluerait
en vase clos où les cellules vieillissent et dégénèrent.
Par conséquent, il est indispensable, aussi bien pour
soi que pour les autres, qu'il existe des liens
d'échanges qui permettent à l'identité de chacun de
croître sans pour autant porter préjudice à l'autre.
Du reste, la disparition de l'identité de l'autre
entraîne la disparition de sa propre identité. Une
identité n'existe que par rapport à autre chose. Si
l'autre n'existe plus, notre spécificité non plus. En
fait, identité et altérité ne sont pas
contradictoires mais complémentaires. La dialectique
marxiste issue de la dialectique hégélienne, a fait de
ce qui pourrait être une source d'enrichissement, un
facteur de division où ni l'identité ni l'altérité ne
peuvent pleinement s'épanouir.
Une vision réductionniste de la Nation
Ensuite, le débat sur l'identité a été réduit à sa
dimension raciale, occultant les données culturelles ou
spirituelles. En réduisant à une attitude raciste, tout
ce qui consiste à vouloir valoriser un patrimoine
national ou culturel, on réduit le concept de nation à
sa dimension purement raciale. C'est-à-dire que l'on
racialise un débat qui à l'origine ne l'était pas et
on aboutit à cette situation réductrice où l'identité
française, par exemple ne serait qu'une affaire de
couleur de peau.
En dévalorisant l'idée de nation, notamment par une
acquisition de la nationalité totalement bradée, on
dévalorise ceux qui, en dépit de leur couleur de peau ou
de leur origine ont fait de véritables efforts pour
servir et aimer la France, car on les met sur le même
plan que les parasites ou les profiteurs.
Le critère pour juger qui est français ou qui ne l'est
pas devient alors purement racial.
L'anti-racisme, piège à gogos tendu par les
mondialistes
Ensuite, cette idéologie soi disant anti-raciste est en
fait, au service d'une idéologie mondialiste et
d'une volonté d'uniformisation des mœurs et des
cultures. Cette volonté n'a rien de démocratique :
elle est largement encouragée par des financiers et des
capitalistes qui rêvent d'un monde où ils tireraient les
ficelles et où les lois du marché suffiraient à tout
réguler.
Henri Hude, dans «Ethique et politique »décrit
ce mécanisme : « il suffit d'instituer un
libre-échange intégral : ainsi les masses de main
d’œuvre afflueront dans les pays de haut salaires ...
les nations jadis riches deviendront des mosaïques
inextricables de communautés hétérogènes, sans unité ou
volonté propre. Il en résultera un renforcement de la
culture du n'importe quoi. A terme, le métissage étant
devenu intégral, l'univers sera unifié par
l'homogénéisation raciale et par la domination
culturelle du n'importe quoi. Ce but ne peut être
atteint que par l'organisation d'une destruction
culturelle nationale et intégrale. En fait, il s'agit
d'une entreprise totalitaire comportant anéantissement
culturel, déportation d'immenses masses humaines,
déposition de tous les pouvoirs nationaux existants et
exténuation de la démocratie en noyant les nations dans
d'immenses ensembles technico-oligarchiques ».
Pour que la chose puisse se faire, il faut
poursuit-il:
1. Que l'emprise des média sur l'esprit des gens
devienne intégrale, ce qui suppose la fin de toute
liberté de la presse,
2. Le pourrissement moral doit être universel,
car la conservation des vraies forces morales dans une
nation compromettrait le succès de l'entreprise,
3. L'entreprise doit résulter non d'une volonté humaine
mais d'une loi de la nature: c'est l'idéologie
économiste des pseudo-libéraux.
II n'y a pas un complot mais une logique. II
convient donc de refuser cette logique folle.
L'homogénéisation absolue ne tient pas compte d'une
donnée essentielle selon Henri Hude. Les hommes, faute
de pouvoir s'identifier dans une nation et une culture,
s'identifieront alors par la négation d'autrui et par la
simple apparence d'autrui, c'est-à-dire par sa couleur
de peau. C'est ce qu'on appelle l'identité du pauvre.
Cette entreprise d'homogénéisation forcée est en outre
une entreprise totalitaire et raciste : au
totalitarisme monoracial répond celui du super métis,
remplaçant de l'aryen.
Véritable amour de l'autre et idéologie
Aussi, il convient de distinguer un métissage qui serait
le fruit d'un amour qui transcende les espaces et les
différences. Cela a toujours existé dans l'antiquité
chez les Romains, cela existera et ce n'est pas aux
sociétés de se prononcer. Mais cela n'a rien à voir avec
le métissage mis au service d'une idéologie qui tend à
uniformiser les hommes et les cultures pour obtenir une
espèce de zombie hermaphrodite dont Michael Jackson est
l'archétype.
En outre, cette politique occulte le poids de certaines
religions telles que l’islam, où la dimension culturelle
et politique n'est pas absente. Le matérialisme
occidental fera-t-il le poids, si tenté qu'il mérite
d'être défendu, face à une religion obscurantiste, mais
beaucoup plus sérieuse que les nouvelles
pseudo-spiritualités, style New-âge?
En fait, cette politique qui est le fait des occidentaux
eux-mêmes relève encore une fois d'un nihilisme: rejet
du passé dont il faut faire table rase, doublé d'un
sentiment de culpabilité au point de se renier. Ce n'est
pas le meilleur moyen ni de se relever ni de servir
l'autre qui légitimement tirera sur la ficelle.
Ainsi cette tension naturelle susceptible de se traduire
par un échange réciproque et une cohabitation pacifique
entre les peuples dans le respect de tous se traduira
par une attitude dialectique hostile.
Que faire ? S'agit-il de camper sur une position
sceptique ou au contraire essayer de surmonter cette
contradiction. Et quel est le facteur qui peut nous
permettre de surmonter cette contradiction sinon le
facteur spirituel ?
Seul le facteur spirituel est un facteur d'unité et
d'universalité dans la diversité et non dans la
confusion. La confusion: c'est Babel : c'est
l'orgueil des hommes qui veulent construire un monde
sans Dieu. Cette vision est à l'image des mondialistes,
qui veulent uniformiser le monde en partant d'une vision
utopique de l'homme et qui nie le réel: aussi bien le
réel spirituel, c’est-à-dire Dieu que le réel temporel :
c’est-à-dire les réalités humaines et leurs diversités.
Le spirituel, c'est ce qui unit les hommes dans leurs
dimensions supérieures: leur cœur, leur courage, leur
volonté, leur esprit d'abnégation et de don de soi.
C’est pourquoi la véritable noblesse n'a pas de
frontière.
Mais elle ne nie pas pour autant les réalités
temporelles de façon moralisatrice : en jetant
l'opprobre sur les manifestations légitimes d'identité
nationale, en les réduisant à une réaction raciste ce
qu'elle ne sont pas à l'origine, on « racialise » le
débat en plaçant des gens désespérés - en l'occurrence
des petites blancs de banlieue abandonnés par les
autorités et les technocrates qui manifestent à leur
égard un mépris profond - dans une alternative
terrifiante qui est celle de la guerre civile:
-soit la fusion et la disparition dans un cadre
absolument inhumain (banlieues hideuses)
-soit affirmation d'une identité du pauvre:
c'est-à-dire l'identité par la négation qui occulte la
véritable richesse que l'autre peut nous apporter à
condition que cela se fasse dans la mesure.
En d'autres termes, cela risque de transformer nos cités
en de gigantesques arènes ou des petits blancs
abandonnés en viendraient à se battre tels des
gladiateurs avec de pauvres bougres venus d'Afrique ou
de l'Orient, parce que des démagogues leur ont fait
miroiter un nouvel eldorado.
La réponse à tout cela est à la fois la conciliation
intelligente du réalisme humain et de l'universalité
spirituelle. Les hommes, les races, sont différents en
fait mais doivent être égaux en droit et le sont en tout
état de cause sur le plan spirituel. Il faut défendre
un modèle de société réaliste et sans haine ni
frilosité, n'hésitant pas à constater les différences
anthropologiques, ni les comparaisons, pour en dénoter
la complémentarité.
D'autre part, il faut faire valoir que nous sommes tous
créatures de Dieu, donc frères, donc responsables les
uns les autres et qu'il existe quelque chose de plus
profond qui dépasse ces différences sans pour autant les
tuer.
Le touareg de Saint-Exupéry, le vieux paysan vietnamien
au fond de sa rizière qui travaille pour nourrir sa
famille, le petit gamin des bidonvilles de Calcutta qui
porte sur son dos son petit frère orphelin et le protège
becs et ongles contre le trafiquant d'organes, ont une
noblesse et une grandeur d'âme qui dépassent hélas de
beaucoup celles de certains de nos compatriotes.
Faire du touareg un vigile dans un supermarché de
banlieue, dans lequel le paysan vietnamien converti en
vendeur de Nêms se fait chaparder son étalage par le
petit orphelin de Calcutta coiffé d'une casquette de
rappeur, est-ce bien une solution pour créer une unité
entre les peuples ? La tradition de notre pays ainsi que
celle de l’Europe, de par leur universalité ont su
assimiler, à certaines conditions et dans des justes
proportions, ce qui était étranger. C'est pourquoi le
combat pour la nation et l’Europe, est indissociable
d'un combat spirituel, car une nation conçue de façon
saine, et non idolâtrique est le meilleur garant de la
distinction entre spirituel et temporel.
Dans ce dur combat de la vie, nous sommes tous de fait
solidaires. Le mondialisme niveleur en nous proposant un
consommateur déshumanisé nous prive de la richesse de
l'humanité.
II convient donc à la fois de jeter un regard réaliste
sans pour autant perdre sa vision spirituelle et
humaine.
Il faut donc rappeler que l’universalité ne nie pas
les différences mais les respecte tout en les
transcendant, à la différence du mondialisme,
niveleur et source de confusion donc de conflit…
haut de page
http://www.bafweb.com/2007/01/29/italie-lhomosexualite-devient-une-race/
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Italie :
l’homosexualité devient une
race
http://www.bafweb.com/2007/01/29/italie-lhomosexualite-devient-une-race/
29 01 2007
La loi contre le racisme a été
étendue aux discriminations contre les gays et les lesbiennes
Le Conseil des ministres a approuvé
à l’unanimité, jeudi 25 janvier, un projet de loi qui étend, et ce
d’une façon plus stricte, les normes à l’égard de ceux qui «diffusent
la supériorité raciale et qui commettent ou incitent à commettre des
actes discriminatoires».
En effet, la disposition prévoit
«une peine jusqu’à trois ans [de prison] envers tous ceux qui
diffusent des idées racistes et une punition pouvant aller jusqu’à
quatre ans au regard de ceux qui se rendent coupables d’actions de
discrimination à cause de préjugés raciaux, ethniques, nationaux,
religieux ou concernant l’orientation sexuelle et l’identité de
genre».

et voila du bon
usage des lois anti-racistes ..
ENFIN ! Qui cherche des sites pédophiles
trouvera la police
http://www.bafweb.com/2007/01/29/enfin-qui-cherche-des-sites-pedophiles-trouvera-la-police/
Matin Bleu: Les fournisseurs
d’accès à Internet suisses vont bloquer 1200 sites au contenu
pédophile. Cette mesure vise des diffuseurs de pornographie enfantine
basés à l’étranger, pour lesquels les moyens de poursuite pénale et
d’entraide internationale font défaut.
Les adresses des sites sont
introduites dans un filtre. Si l’une d’elles est sollicitée,
l’internaute est dirigé là où il s’attend le moins: l’Office fédéral
de la police. De plus, un avertissement apparaîtra sur l’écran de
l’utilisateur. La liste des sites reste secrète.
Ce procédé est déjà utilisé dans
d’autres pays. En Suède par exemple, le nombre de tentatives d’accès à
des sites pédophiles est passé, en quelques mois, de 8000 à 300 par
jour.
Christian Vanneste condamné :
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/01/christian_vanne_1.html

page ouverte en jan 07
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