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Extraits :
Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis,
mais au-dedans ce sont des loups voraces. C'est à leurs fruits que vous
les reconnaîtrez.
en
z
relations
.... discernement
... un arbre <>des fruits ... la société nous fait <> nous
la faisons ... l'homocoques ...la famille ...la nation ... la
civilisation d'amour ... la chrétienté .... l'homenMULTETUN ....
aimer aimer ....
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mercredi 27 juin 2007
Le mercredi de la 12e semaine
du Temps Ordinaire
Saint(s) du jour :
Saint Ladislas, roi de Hongrie (+ 1095),
Notre Dame du perpétuel secours,
Saint Cyrille d'Alexandrie (370-444)
Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Saint Ignace d’Antioche :
Nous serons reconnus par nos fruits
Evangile de
Jésus-Christ selon saint Matthieu 7,15-20.
Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis,
mais au-dedans ce sont des loups voraces. C'est à leurs fruits que vous
les reconnaîtrez. On ne cueille pas du raisin sur des épines, ni des
figues sur des chardons. C'est ainsi que tout arbre bon donne de beaux
fruits, et que l'arbre mauvais donne des fruits détestables. Un arbre
bon ne peut pas porter des fruits détestables, ni un arbre mauvais
porter de beaux fruits. Tout arbre qui ne donne pas de beaux fruits est
coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les
reconnaîtrez.
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Commentaire du jour :
Saint Ignace d’Antioche (?-vers 110), évêque et martyr
Lettre aux Ephésiens, 13-15
Nous serons reconnus par nos fruits
Efforcez-vous de vous réunir plus fréquemment pour rendre à Dieu
actions de grâces et louange. Car, quand vous vous rassemblez souvent,
les puissances de Satan sont abattues et son oeuvre de ruine détruite
par l’unanimité de votre foi. Rien ne surpasse la paix, qui triomphe de
tous les assauts que nous font les puissances célestes et terrestres.
Rien de tout cela ne vous est caché, si vous portez à Jésus Christ
une foi et un amour parfaits, qui sont le commencement et la fin de la
vie : le commencement, c'est la foi, et la fin, la charité. Les deux
réunies, c'est Dieu. Toutes les autres vertus qui mènent à la perfection
découlent de ces deux premières. Nul, s'il professe la foi, ne pèche ;
nul, s'il possède la charité, ne hait. « On connaît l'arbre à ses fruits
» ; de même, c’est à leurs oeuvres qu’on reconnaîtra ceux qui font
profession d'être du Christ. Car aujourd’hui l’oeuvre qui nous est
demandée n'est pas une simple profession de foi, mais d'être trouvés
dans la pratique de la foi jusqu'à la fin.
Mieux vaut se taire et être, que de parler sans être. Il est bon
d'enseigner, si celui qui enseigne agit. Nous n’avons qu'un seul maître,
celui qui « a dit et tout a été fait » (Ps 32,9) ; même les oeuvres
qu'il a faites dans le silence sont dignes de son Père. Celui qui
comprend véritablement la parole de Jésus peut entendre même son silence
; c’est alors qu’il sera parfait : il agira par sa parole et se fera
connaître par son silence. Rien n'est caché au Seigneur ; même nos
secrets lui sont familiers. Faisons donc tout dans la pensée qu'il
demeure en nous ; nous serons ainsi ses temples et lui-même sera en nous
notre Dieu.
page ouverte en 06/07
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