....de la philosophie contemporaine..

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de la relationnalité :    coqs E T coqs   ....Pour peu colons pensent montrer que nous avons bien une âme immortelle, comme le penser Platon, Saint-Thomas où Leibnitz, cela aurait pour nous une certaine importance. C'est la raison pour laquelle l'idée que la philosophie aurait disparue au saurait en voie de disparition me semble être une vue locale, passagère, à laquelle il est possible de répondre en signalant combien la philosophie est vivante partout où elle est prise au sérieux et cultiver au premier degré.   commentaires en relation : Dieu UN...contre-polarité virtuelle .......monade ...l'Eglise particulière ... Synode 78 des Yvelines ... L’analphabète secondaire du premier niveau s’excuse en reprenant l’ancien adage primum vivere, deinde philosophari. Mis à part que le deinde n’arrive presque jamais, Hans-Magnus Enzensberger, Conscience et goût de la réflexion date d'émergence : 06.2011

Auteur:   Ja Source:  http://www.amazon.fr/Philosophie-contemporaine-Pouivet-Roger/dp/2130568181/ref=pd_bxgy_b_img_b#reader_2130568181    .  En quoi consiste la tâche de voir les choses dans leur ensemble ? S'il est malaisé de le dire, cette tâche à au moins un nom : la métaphysique. Ou rétorquera que la métaphysique n'est qu'une partie de la philosophie et non pas son tout. C'est même une partie dont bon nombre de philosophes contemporains appartenant à des tendances différentes et hostiles de juger et qu'elle n'avait aucun sens, qu'elle était finie et caduque, illusoire est inutile. Cependant, qui est lié à débat à ce sujet, et que la philosophie contemporaine soit, pour une part, une anti-métaphysique, devrait convaincre que le coeur de la philosophie, aujourd'hui comme autrefois, est bien la métaphysique. Toutefois, pour certains, il est possible de remplacer la philosophie de la connaissance par la psychologique cognitive, l'éthique par la théorie de l'évolution, la psychologie sociale ou la sociologie, l'esthétique et par la psychologie de la perception et la sociologie des normes, bref de « naturaliser » la philosophie. On accompagnera et les disciplines scientifiques par une histoire des concepts philosophiques, remplacera la philosophie est expliquent quelle rôle ceux-ci ont joué dans les illusions métaphysiques. Nous faire alors se dessiner (ce qui constitue l'idéal de nombreux philosophes aujourd'hui, qu'il soit positiviste ou postmoderne) d'une part des sciences et de l'autre une histoire critique de la philosophie -- mais la philosophie serait quant à elle finie. Cependant, tentait des questions métaphysiques tarabustent certains, il est peu probable que la philosophie disparaisse. C'est pourquoi il existe une philosophie contemporaine, et non un simple résidu de feu la philosophie du passé. Mais à quoi bon se poser des questions auxquelles nulle information empirique de donne de réponse ? Je ne sais irai pas de répondre ici à cette question qui trouble les philosophies depuis longtemps. J'ajoute en revanche que l'expertise propre aux philosophes de consiste pas en effet à connaître les informations sûres les objets qui sont les leurs puisque et, en instance, leurs objets sont aussi tous ceux des sciences dans lesquelles il y a des informations à donner. Leur expertise consiste à connaître des arguments, en faveur et contre certaines thèses, et à être capable de le discuter. Voici un exemple, choisis parmi les questions débattues depuis toujours, avons-nous une âme immortelle ? Qu'en pensez-vous ? Pensez-vous seulement avoir une âme qu'elles soient immortelles ou non ? En faveur d'une réponse, qu'elle soit aussi petite ou négative, qu'elle consista même à dire que la question est insensée ou témoigne d'une illusion métaphysique dont nous ferions bien de nous débarrasser, il existe des arguments. Les philosophes ont en charge de les élaborer, de le discuter, de les contester, de les améliorer. Pour peu colons pensent montrer que nous avons bien une âme immortelle, comme le penser Platon, Saint-Thomas où Leibnitz, cela aurait pour nous une certaine importance. Certains philosophes contemporains clament que cela n'a aucun sens de se poser des questions de cet ordre -- et les philosophes français contemporains par généralement ainsi. Mais d'autres philosophes contemporains posent de telles questions ; il pense que leur caractère classique ne doit pas des empêcher de les examiner sérieusement et de façon non historique. C'est la raison pour laquelle l'idée que la philosophie aurait disparue au saurait en voie de disparition me semble être une vue locale, passagère, à laquelle il est possible de répondre en signalant combien la philosophie est vivante partout où elle est prise au sérieux et cultiver au premier degré.

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