I - La
population nordique de l'Inde ancienne
.......
......
Il semble encore que les
nordiques indiens soient passés par le Caucase vers 1.700
.... Depuis très longtemps
ils étaient très étroitement associés avec les Persans et les deux races
parlaient la même langue, l'indo-iranien (dit aussi « aryen »). Les
traces de cette langue commune (l'indo-persan) indiquent qu'il y eut un
itinéraire commun suivi par ces deux populations de la Russie
méridionale jusqu'au Caucase. On peut donc supposer que les peuples
indo-persans habitaient l'Europe sud-orientale depuis très longtemps,
parce que dans les langues hungaro-finnoises on trouve, entre les mots
allogènes acquis plus anciennement, un considérable nombre de mots
indo-persans. Il s’ensuit que les races indo-persanes (c'est-à-dire :
ces peuples de race nordique qui s'établirent ensuite en Inde et en
Iran, où donnèrent origine à des peuples historiques) durent habiter
dans l'Europe sud-Orientale comme voisins de peuples de langue
hungaro-finnoise (et de race balte-orientale). Encore au temps
d'Hérodote (au Vème siècle AEC), la Russie centrale et septentrionale
était habitée par des peuples de langue hungaro-finnoise ; il est donc
probable que la Russie méridionale ait été la zone de rencontre entre
les indo-persans et les peuples de langue hungaro-finnoise. Même les
différents noms de fleuves indiqueraient que la Russie méridionale a été
le lieu temporaire de résidence des indo-persans, noms qui peuvent être
expliqués comme dérivants du mot persan (ossète don), comme Don, Dnepr (Danapris),
Dnjestr (Danastrus), Donau [Danube].
L'archéologie a même
identifié cette zone Sud-Est européenne comme un lieu de permanence de
peuples indo-iraniens.
Déjà, avant 1400 AEC, les
Indo-persans avaient dû pénétrer dans les zones adjacentes
à celle des Hittites
(principalement de race levantine) ; ceci est indiqué par des mots
indo-iraniens empruntés à la langue Hittite. Peu de temps après, les
indo-persans durent rejoindre la zone arménienne. Vers 1.400 AEC les
Indiens acquièrent une physionomie spécifique, dans les terres
arméniennes, et s'appellent mêmes « Hari », c'est-à-dire« les blonds ».
Dans les sagas indiennes
anciennes, dieux* et héros sont toujours décrits comme
« blonds ». Une vieille saga
indienne indique que le Cashmire était leur première contrée de
peuplement ; cependant que, tant le Veda indien que l'Avesta iranien
contiennent des traces d'une fête* solsticiale d'hiver qui peuvent
s’expliquer seulement par une origine nord-européenne. Dans les
batailles entre Indra et le monstre Vrtra, il semblerait que le Veda
indique encore le combat de l'été contre l'hiver ; et les Indiens, comme
les Romains, s’maginaient que le siège des dieux* était dans le Nord.
Les combats décrits dans le poème indien Rig-Véda (comme cela été
découvert pour la première fois par Brunnhofer) ont comme scène
l'Afghanistan. De l'Afghanistan, suivit la migration vers les plaines
indiennes et la diffusion de la vallée de l'Indus vers l’Est et le
Sud-Est.
…Les immigrés apportèrent
avec eux l'architecture en bois et la coutume de
l'incinération des cadavres,
et avaient une structure sociale de relativement haut niveau. Dans les
documents indiens plus anciens les peuples conquérants de langue
indo-européenne* sont décrits comme « grands », « blancs », « clairs »
et de « bel aspect », pendant que les aborigènes du lieu sont dits « de
peau sombre », ainsi que « petits », « noirs » et « avec le nez plat »
ou « sans nez ». Est indicatif le fait qui le mot Indien pour `caste'
(varna) signifie aussi
`couleur'.
Encore maintenant, après des
millénaires, les Indiens des hautes castes sont reconnaissables à leur
peau plus claire et européenne nordique - comme le dit Häckel lors de
son voyage en Inde - et il cause la surprise des Indiens qui pensent
qu'il doit appartenir à une caste supérieure. Et, selon les vieilles
poésies religieuses, les anciens Indiens s'imaginaient leur dieu*
suprême - Indra, dieu de la tempête, blond à la barbe rousse
comme semblable à lui et y
voyaient la figure d'un véritable héros nordique.
Le Veda témoigne que, pour
les anciens Indiens, une nombreuse famille était une marque de richesse.
Il y a lieu de croire que la mortalité infantile dans la classe des
immigrés nordiques était relativement élevée pendant l'été - même dans
l'Europe méridionale, les enfants nordiques sont plus en danger que les
enfants de races plus sombres. Il est même probable que les Indiens
étaient devenus conscients des dangers du métissage dans une région à
laquelle ils étaient mal adaptés. Donc, une très rigide législation
garantit les castes en empêchant le mélange entre les seigneurs
nordiques et les natifs. Le livre des lois de Manu , le code judiciaire
plus ancien de l'Inde (écrit au début de notre calcul chronologique mais
qui conservait des legs beaucoup plus anciens), contient des lois visant
à empêcher le métissage ainsi que toute une série de très intéressantes
indications eugéniques. Il semble que le métissage fut évité pendant
très longtemps ; et ce furent ces temps d’encore relative pureté raciale
qui produisirent les chants héroïques, la philosophie indienne du
brahmanisme et la poésie indienne, tous témoignages de la forme indienne
de l'âme nordique. Les créations intellectuelles indiennes méritent
continuellement d'être appréciées, et elles ne cessent jamais d'étonner.
La signification de la pensée
indienne pour nous, a été indiqué d’une manière précise par Houston
Steward Chamberlain dans son livre Arische Weltanschauung [Vision du
monde aryen] » (1917).
Les Indiens
étaient un ensemble de
peuples nordiques ayant une physionomie spécifique et,chez eux, on
relève un accord de religion, de pensée et de poésie non encore
disjoints et proche de la source primitive de l'esprit nordique qui,
ensuite, se développent dans la créativité intellectuelle. Dans ces
temps primordiaux, la langue Indienne - qui nous a été transmise dans sa
forme sanscrite - développa toutes ses riches potentialités et il y eut
des travaux d'érudits
de la linguistique, dans le
champs de la grammaire, qui n'ont pas été égalés et encore moins
dépassés.
Il se pourrait que cela soit
la cause de l'apparition de Bouddha (né en 570 AEC) et
de sa doctrine, le
Bouddhisme, qui n'est plus d'esprit nordique et qui a irréversiblement
dissout l'esprit de
conscience raciale de ce splendide peuple. Provoqué dans une région où
la population indienne
nordique était insuffisante et diffuse, à ce qu’il semble, surtout
par ses missionnires non
nordiques, le Bouddhisme détruisit les vieilles traditions fidèles à
la race et, à la place de
la philosophie indienne ancienne, il mit une doctrine problématique
de salvation, laquelle (et
ceci est fondamental) ne faisait pas appel seulement à la
classe dominante nordique,
mais aux populations de chaque caste et race. La courageuse
spécificité de la sagesse
indienne archaïque fut dilacérée par le Bouddhisme, qui lui a
substitué l'esprit de
renoncement, au point que le grand penseur indien Sankara, dans
ses Réfutations du
Bouddhisme, lui reprochait « de ne pas avoir proposé, sinon son vraiment
immense déséquilibre, mais
sa haine du genre humain ».
Le Bouddhisme n’indique pas
la marque de quelque pensée créatrice et ne fait rien
d’autre que contrecarrer et
détruire ce qui avait été créé par le Brahmanisme dans les
temps anciens. De la syntonie
que l'Inde archaïque concédait à toute la nature, le Bouddhisme
tira la négation de la
volonté de reproduction. Il est possible que, à travers son
conseil d'éviter l'amour
charnel, et son aversion pour le mariage et pour la propriété, il ait
contribué à la disparition
du sang nordique ; puisque ce furent plus probablement les éléments
nordiques qui accueillirent
cette nouvelle doctrine, qui de l'antiquité Indienne
avait pris beaucoup, plutôt
que les personnes provenant des classes inférieures à peau
sombre. Le Sage brahmane
se dédiait à une vie de contemplation et de pensée seulement
après qu'il ait été époux
et père, qu’il ait pris part à la vie publique et connu ses fils et
neveux. Le Bouddhisme, par
contre, était contraire tant au mariage qu'à l'enracinement
de l'individu dans son
peuple, en le déliant de son devenir historique. Pour nous, le
Bouddhisme peut se définir
comme la « manifestation du triomphe d'une puissance
destructrice ».
Il est tout à fait évident
que même la situation climatique de l'Inde doit avoir contribué
à la dénordicisation du
peuple indien. En raison de leurs caractéristiques génétiques
mûries dans l'Europe
nord-occidentale, la constitution des Indiens nordiques n'était
pas appropriée pour la vie
dans les régions tropicales. L'ambiance indienne doit avoir
exercée de vraies selections
à rebours dans la composante nordique de la population. Déjà,
en Asie Mineure, pendant
l'été, la mortalité infantile des enfants blonds est très supérieure
à celle des enfants sombres.
C’est à ce type de contre
selection que le métissage doit avoir amené à la décadence
de la civilisation Indienne.
L'attaque macédonienne contre l'Inde (327 - 326 AEC) montra
déjà alors combien fut faible
l'état indien. La pénétration des populations que les
Grecs appelaient Indo-Scythes
(de même provenance du Nord-Ouest) semble avoir apporté
une retrempe dans l'élément
nordique. Ils fondèrent, dans l'Inde nord-occidentale,
un règne qui dura de 120 AEC
jusqu'à 400 EC.… et qui, pour un certain temps (après
environ 45 EC), porta sa
frontière occidentale jusqu'aux abords de la Perse. Dans ce règne
« indo-scythe » il y eut même
une renaissance de la poésie Indienne. Ce fut au IVème
ou Vème siècle EC. que
Kalidasa - le plus grand poète indien dont on sache le nom - écrivit
ses grands poèmes.
[Note du traducteur : Une
isola de ces Macédoniens est demeurée vivante - et
païenne – jusqu’à nos jours
dans le Nord de l’Afghanistan, aux confins montagneux du
Pakistan islamiste (!), ce
sont les Kalashs, des indo-européens du Chitral, en but aux exactions
et assassinats musulmans avec
l’aide (involontaire…?) de l’UNESCO .

Jeune fille
Kalash avec tatouages - Nord Pakistan